Jean-Michel Vernochet, Lucien Cerise et Patrick Gofman sur le stand des éditions "Le retour aux sources" cliquez ici
L'Ami Gofman toujours audacieux lorsqu'une jolie fille passe devant lui...
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Jean-Michel Vernochet, Lucien Cerise et Patrick Gofman sur le stand des éditions "Le retour aux sources" cliquez ici
L'Ami Gofman toujours audacieux lorsqu'une jolie fille passe devant lui...
Cette journée a pour thème “Ne laissons pas mourir la France”.
Et il y a de quoi s’inquiéter, il est vrai.
Il y a bien sûr la submersion migratoire combinée à la dénatalité des Français de souche à qui l’AFP vient encore ces jours-ci d’affirmer qu’ils doivent faire moins d’enfants pour diminuer leur empreinte carbone et combattre le réchauffement climatique.
Il y a aussi le niveau inquiétant de nos gouvernants. Qui aurait jamais imaginé qu’un chef de l’Etat organise une fête dans la cour de l’Elysée autour d’un personnage central qui arbore un t-shirt sur lequel est inscrit “Fils d’immigré, noir et pédé” ? Il y a encore ces images du chef de l’Etat dans les Antilles et comme dit l’humoriste métisse Fabrice Eboué, “Dès que Macron voit des Noirs torse nu, il s’émoustille”. Mais, en politique, le désespoir est la pire des sottises, disait Charles Maurras.
Je voudrais donc vous parler de deux échéances, les élections européennes d’abord, les élections municipales, ensuite.
En 2019, nous serons invités à voter pour élire les députés du Parlement européen. Et je voudrais vous mettre en garde contre un piège qui nous est tendu. Vous aurez probablement tous appris la nouvelle : l’américain Steve Bannon, ex-conseiller de Donald Trump, veut s’occuper de nous et coordonner les populistes de toute l’Europe en vue de nous libérer de l’influence de George Soros. Je ne voudrais pas être désagréable mais la dernière fois que les Américains sont venus nous “libérer”, ils ne sont jamais vraiment repartis, ils nous ont imposé pour des décennies leur “american way of life”, leur coca-cola, leurs hamburgers, leur cinéma hollywoodien, l’OTAN, et des accords économiques à leur avantage. Alors, permettez-moi de douter de l’altruisme de Steve Bannon.
Surtout quand on apprend la suite.
Car si Steve Bannon sillonne l’Europe pour proposer à Marine Le Pen, à Matteo Salvini et à tant d’autres leaders politiques de rejoindre son club baptisé sobrement “Le Mouvement”, au bout de quelques recherches, on s’aperçoit que Steve Bannon n’en est pas le fondateur mais simplement le représentant de commerce.
Figurez-vous que c’est à Jérusalem, en décembre 2016, qu’a été imaginé ce projet, en marge du Sommet de Jérusalem des Leaders internationaux. Un mois plus tard, en janvier 2017, l’un des participants, l’avocat belge Mischaël Modrikamen, ancien président de la synagogue libérale de Bruxelles, déposait les statuts de la Fondation Le Mouvement dont Bannon assure la promotion. Les statuts de la Fondation Le Mouvement désignent Mischaël Modrikamen comme président. Deux autres personnes sont fondatrices : Yasmine Dehaene, son épouse, par ailleurs co-organisatrice du Sommet de Jérusalem des Leaders Internationaux, et Laure Ferrari, une amie très très intime de Nigel Farage.
Mieux encore, la presse israélienne a relayé un discours de Mischaël Modrikamen, président de la Fondation Le Mouvement, promue par Bannon, au cours duquel il déclare qu’ “Israël est une lumière pour les Nations”. Voilà résumé le programme proposé aux populistes d’Europe…
Cerise sur le gâteau : Mischaël Modrikamen est aussi le président du parti populaire belge dont l’ancien vice-président est son ami Joël Rubinfeld, président de la Ligue belge contre l’antisémitisme (l’équivalent de la LICRA) et vice-président du Parlement juif européen.
Voilà donc la nature du Mouvement que nous propose Steve Bannon pour sauver l’Europe et la France.
Et si Marine Le Pen se dit réservée, Louis Aliot se déclare pourtant très favorable à ce que le Rassemblement National rejoigne la Fondation Le Mouvement. Et je rappelle que Louis Aliot se propose généreusement pour conduire la liste du Rassemblement National aux européennes.
Serions-nous condamnés à n’avoir le choix :
• entre le plan A de George Soros et le plan B de Jacques Attali incarné par la Fondation Le Mouvement,
• entre les médias appartenant à la famille Rothschild, ceux appartenant à Bertelsman et ceux appartenant à Patrick Drahi,
• entre Cyril Hanouna et Michel Drucker
• entre Bernard-Henri Lévy, Alain Finkielkraut et Eric Zemmour ?
Et je précise immédiatement que je préfère écouter Zemmour que BHL et que j’ai même un incontestable plaisir à l’écouter clouer le bec d’un chantre du vivre ensemble ou d’une virago du féminisme. Mais lorsque j’ouvre le dernier livre de Zemmour intitulé “Destin français” et que j’y trouve un chapitre sur Saint Louis que Zemmour appelle le “roi juif”, je me dis qu’il y a un sérieux problème. Confirmé par sa conclusion qui lie le sort de la France à celui d’Israël.
Or, nul ne peut servir deux maîtres à la fois.
Et ce n’est pas parce que nous refusons à juste titre l’immigration de grand remplacement et l’islamisation de notre pays que nous avons à livrer celui-ci à l’influence d’Israël.
Je rappelle que l’acte fondateur de la France est le baptême de Clovis par l’évêque Saint Rémi, instaurant le principe que le roi de France est le « Lieutenant du Christ ». Ce n’est pas une circoncision par un rabbin ou un imam.
Et qu’on ne vienne pas me dire que la solution à tout cela, c’est la laïcité. Dans quelques semaines, les ayatollahs de la laïcité mèneront une fois de plus la guerre aux crèches de Noël. Mais les mêmes se précipiteront pour fêter Hanouccah ou la fin du Ramadan. Leur laïcité, c’est une parodie de religion dont le dogme essentiel est l’anti-christianisme et qui s’est marquée dans le sang par le génocide vendéen, lorsque l’armée de la république organisait les noyades de Nantes ou embrochait les bébés vendéens au fil de la baïonnette.
Chers amis, comprenez-moi bien.
Il ne tient qu’à nous de nous libérer de ces chimères et de reprendre notre destin en main.
Pour cela, il faut déjà cesser de déléguer à des personnes qui servent manifestement d’autres communautés le monopole de représenter publiquement et médiatiquement notre courant de pensée, notre culture, notre patrimoine, notre civilisation.
Qu’on soit catholique ou non, pratiquant ou non, la France est une terre catholique, dont les cathédrales font la renommée, dont près de 5.000 communes portent le nom d’un saint ou d’une sainte, et dont des dizaines de milliers de calvaires rythment nos promenades et longent nos routes.
La France se redressera lorsque le peuple de France s’en rappellera et le revendiquera.
Par deux fois, en 1789 et en 1968, la folie révolutionnaire française s’est exportée à travers le monde.
Si la France redevenait fidèle à son baptême, à sa mission, son influence salvatrice s’exporterait également, cette fois pour le bien du monde mais à l’inverse du plan du nouvel ordre mondial et de son messianisme judéo-maçonnique.
Si Civitas devait trouver les moyens financiers suffisants, nous déposerions une liste aux européennes pour proclamer haut et fort ces vérités.
Mais une autre échéance est à placer dans notre viseur. Je veux parler des élections municipales de 2020. Car l’enjeu local est essentiel à notre projet de reconquête. Et il faut s’y préparer dès maintenant.
C’est un enjeu à notre portée, qui s’inscrit dans un retour au réel, à l’échelon le plus naturel de la vie politique, au plus près du quotidien des Français.
Oui, je prêche pour profiter utilement de ces élections municipales pour organiser des villages gaulois et catholiques, des îlots de résistance, où sauvegarder nos traditions et nos coutumes, et à partir desquels il faudra envisager de rayonner pour organiser la reconquête de notre sol, la patrie, la terre de nos pères.
C’est au niveau local, sur le terrain, particulièrement dans la France rurale, que se situe notre plus grande opportunité. Il faut s’en saisir avant qu’il ne soit trop tard.
C'est la centième chronique « En deux mots ».
Nous y prendrons quelque distance avec « l'actualité » immédiate, même si cette dernière est contrastée, foisonnante, souvent agressive et violente, dangereuse en bien des régions du globe ; et même en France où, sans menace extérieure comme par le passé - une exception dans notre histoire - se profile, pour demain ou après-demain, le choc intérieur des communautés qui y vivent, soit depuis fort longtemps, de sorte que le patrimoine qu'elles y ont constitué au fil de nombreux siècles leur appartient, soit que, venues d'autres continents, d'autres civilisations, elles s'y soient installées plus ou moins récemment et continuent d'y venir en masse, sans pouvoir ni vouloir pour un grand nombre, s'y assimiler. Cette situation française explosive, comme d’autres dans le monde, atteste que la théorie dite de la fin de l'Histoire, du moins telle qu'elle a été comprise et vulgarisée en « Occident », n'est pas pertinente. Elle est née de l'illusion de l'inéluctable généralisation à la planète entière du modèle marchand américain après l'effondrement du bloc soviétique. Un monde plat, métissé et post-national devait remplacer l'ancien ordre différencié des continents, des nations, des peuples et des cultures. On voit ce qu'il en est aujourd'hui, où l'Histoire ressurgit partout dans le monde avec son lot d'ambitions et de menaces croisées.
Emmanuel Macron a souvent répété, en contradiction avec la théorie de la fin de l'Histoire mais sans incidence sur sa politique, que l'Histoire est tragique. Et cette tragédie, par-delà amitiés, alliances, et solidarités, qui sont toujours de circonstance, les nations la vivent finalement en solitaires, chacune selon sa destinée singulière.
Ni l'Histoire, ni les espaces géographiques où elle se déroule et qui la conditionnent, ni par conséquent, le politique, s'il s'affaiblit ici ou là, ne disparaissent vraiment ni tout à fait ni pour toujours.
Cette considération simple est en définitive le fil conducteur de ces chroniques, qu'elles traitent de la France ou de l'Allemagne, toujours confrontées, de notre vieille ennemie héréditaire, l'Angleterre, de l'immense Chine ou de l'Inde immémoriale, de l'Espagne et de l'Italie voisines, nos turbulentes sœurs latines, de la Mitteleuropa (photo), si souvent martyre, de l'Amérique ou de l'Islam, de l'immigration et du terrorisme, ces fléaux qui sont ceux de notre temps, de Poutine, de Trump, de Merkel ou d'Emmanuel Macron ...
Même l'évolution extraordinaire des techniques à laquelle nous assistons, à laquelle que nous le voulions ou non nous participons tous, ne nous semble pas en réalité pouvoir venir à bout ni de la géographie ni de l'Histoire, ces deux grandes forces génératrices. La financiarisation du monde, l'asservissement du politique aux puissances cosmopolites de l'Argent, seraient en passe d'y réussir. Est-ce si sûr ? Regardons le monde, la résurgence de la Russie éternelle avec Poutine, les nationalismes asiatiques, chinois, indien, japonais et autres, le Brexit, l'Italie, l'Europe Centrale, le phénomène Trump et le formidable retour du national-conservatisme américain ... Et même allemand. Rien de tout cela ne sonne la fin de l'Histoire ou du Politique.
Les nouvelles technologies (les avions, internet, les téléphones portables chers à Michel Serres, les moyens de communication, etc.) rendraient l'anéantissement des frontières, des anciennes cultures, et des peuples, inévitable. Mais cela aussi est une vue partielle : les avions transportent les voyageurs et les masses de touristes ( « l'homme en bermuda »*) mais aussi les terroristes, les soldats et accessoirement les bombes, y compris celles d'Hiroshima et Nagasaki, ils servent à la paix ou à la guerre ; Internet est dans un cas analogue : Il établit de multiples contacts entre individus, peut concourir à leur ressemblance, à leur uniformité, mais aussi à la diffusion des idéologies, des propagandes, à l'exaltation des particularismes de tous ordres, à l'expression des nationalismes, les meilleurs et les pires, il en est de même de toutes les technologies modernes : elles sont ambivalentes. Elles n'annihilent ni le poids de l'Histoire ni celui de la géographie sur les réalités politiques contemporaines.
Leur vitalité et leur perpétuelle résurgence, c'est ce que ces chroniques tentent de mettre en lumière au cas par cas. Il ne nous semble pas que l'actualité les démente. Au contraire.
Aux désespérés de l'avenir - français et au-delà - nous rapporterons que Jean-François Mattéi à qui, considérant son profond pessimisme, nous avions demandé s'il ne voyait aucun motif d'espérer en l'avenir, après un temps de réflexion nous avait répondu - en philosophe : « Heidegger pensait qu'à la fin tout recommence » (photo). Bainville, autre grand pessimiste, en la matière, pensait comme Heidegger.
Nous poursuivrons nos modestes réflexions sur l'actualité dans ce même esprit.
* Expression de Philippe Muray
Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots (100 à ce jour) en cliquant sur le lien suivant ...
On peut être gay, américain et porter une vision massivement illibérale du monde. La preuve par Jack Donovan, figure de l’alt-right américaine, provocateur ultraréactionnaire, homosexuel et néo-païen. Pour Jack, la voie des hommes, c’est « la voie de la chasse en horde ». Jack Donovan s’oppose aux chimères d’une évanescente « conscience globale » et pulvérise l’imposture de la bonté universelle. Dans Devenir un barbare, il s’attaque à « l’Empire du Rien » et enseigne avec pédagogie les fondamentaux de la pensée tribale. Voilà donc un livre qui tombe à point nommé, c’est-à-dire au moment précis où notre Europe est livrée sans combattre aux hordes ethniques, l’accueil de l’« autre » s’effectuant au nom d’un bien étrange universalisme compassionnel.
Ontologiquement, « l’Empire du Rien », c’est le vide émasculé de la vie moderne, le déracinement et le désespoir rédimés par un moralisme à prétention universelle.
Matériellement, c’est le syndicat des intérêts croisés des sociétés transnationales, des médias, des institutions financières.
Dans ce monde, la veulerie supplante l’honneur. Plus de dieux ni de héros, puisqu’il n’y a plus de monstres ni de dragons (cela effraye les consommateurs).
Le peuple de l’Empire a été persuadé que liberté est synonyme de licence. Il croit donc qu’il est libre parce qu’on lui permet de se défoncer ou de changer de sexe ad libitum. L’inclusion, c’est bon pour le business.
Les mouvements de justice sociale « travaillent à imposer des “droits humains” qu’ils ont élaborés sur la tête de gens qu’ils n’ont jamais vus ».
Ce non-sens paralysant conduit les hommes à se disputer sur des questions sur lesquelles ils n’auront jamais aucun contrôle. La manipulation de masse est au bout de ce chemin de bonne volonté universelle. Des institutions internationales placent une morale hors-sol abstraite au-dessus des exigences concrètes de leur mandat. Voir le traitement de la question migratoire par l’Union européenne.
Mais que se passerait-il si nous cessions de prétendre nous soucier de tout ?
L’universaliste, qui n’a pas à s’occuper concrètement de ses proches, revendique la responsabilité du bien-être de l’humanité entière. Mais l’universaliste n’a rien d’un dieu omniscient ; il n’est qu’une « faillite nauséabonde ».
Le barbare reconnaît que d’autres ont des intérêts et des valeurs irréconciliables avec les siens.
Il « met fin aux relations sans signification, unilatérales et fantasmatiques ». Car l’amour est un choix, un acte discriminatoire.
Adopter le style de vie barbare, c’est devenir plus lié à la communauté et moins lié à l’État.
C’est en défendant la frontière tribale, en tuant la bête qui menace ses proches que les hommes trouvent l’accomplissement de leur « voie virile ». Car il ne suffit pas de simplement rejeter la douceur méprisable de la modernité et la solution ne consiste pas à revenir à l’individualisme atomisé, mythe libéral. Dans l’état de nature, les hommes n’ont aucun droit. La tribu offre une protection contre les dangers et un mécanisme communautaire permettant de régler les différends. « Le vagabond individualiste est une anomalie déviante. »
Le barbare ne s’excuse pas pour sa virilité et ne se satisfait pas de la médiocrité. Il deviendra donc un paria et ne pourra survivre seul ; sa seule option est celle du tribalisme. « On ne peut s’opposer au broyeur de viande de l’ensemble universel que par la séparation tribale. »
S’agit-il d’être fair-play avec « l’Empire du Rien » ? Certes pas. Le barbare « prend à l’Empire pour son peuple et ne donne rien à l’Empire en retour » ; il passera donc le changement de vitesses moral, cessant de penser en citoyen d’un Empire qu’il n’hésitera plus à piller.
Pas mon peuple, pas mon problème.
1) Le rattachement de la Corse à la France, il y a 250 ans. (Philippe)
2) REDIFFUSION – Le destin de la famille Romanov avec en invité Jean des Cars, auteur de “Nicolas II et Alexandra de Russie : une tragédie impériale”. (Philippe + Invité)
1) Le rattachement de la Corse à la France, il y a 250 ans. (Philippe)
2) REDIFFUSION – Le destin de la famille Romanov avec en invité Jean des Cars, auteur de “Nicolas II et Alexandra de Russie : une tragédie impériale”. (Philippe + Invité)
https://www.tvlibertes.com/2018/10/16/26272/rattachement-de-corse-a-france
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Hier se tenait à Rungis la XIIème Journée Nationale et Identitaire organisée par Synthèse Nationale et Roland Hélie.
Comme chaque année, la Dissidence Française était présente à cet évènement majeur de l’année nationaliste. En fin de matinée, Vincent Vauclin est intervenu à l’occasion d’un discours sur le thème de la reconquête nationale, sociale et identitaire.
Toute la journée, nos militants ont pu échanger avec de nombreux intéressés autour de notre stand où tracts, stickers et t-shirts étaient proposés.
Une franche réussite pour cette journée de convergence nationale qui a réuni plusieurs centaines de personnes autour d’un mot d’ordre : ne laissons pas mourir la France !
Manfred von Richthofen, plus connu sous le surnom de « Baron rouge », est un aviateur allemand qui a sévi durant la Première guerre mondiale. Avec ses 80 victoires confirmées, il est rapidement devenu une légende vivante du combat aérien, alors en pleine ébullition, et a marqué l’histoire de l’empreinte de son célèbre Triplan rouge vif. Malgré tout, de forts doutes planent sur l’esprit chevaleresque qu’on lui prête… Retour sur le parcours d’un as des as.
https://www.tvlibertes.com/2018/10/16/26269/baron-rouge-chevalier-ciel