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culture et histoire - Page 776

  • "Interdit d'interdire : montée des nationalismes" avec François Bousquet

  • JeanClaude Rolinat présente son livre "La bombe africaine et ses fragmentations" (Dualpha)

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    Entretien avec Jean-Claude Rolinat, auteur de La Bombe africaine et ses fragmentationspréfacé par Alain Sanders (éditions Dualpha), publié sur le site de la réinformation européenne EuroLibertés (propos recueillis par Fabrice Dutilleul).

    L’Afrique, une bombe ? Vraiment ?

    Nous sommes face à une menace mortelle qui n’a jamais eu d’équivalent ; rien à voir avec les « grandes invasions » post-Empire romain de nos manuels scolaires ! C’est une épée de Damoclès qui plane sur nos têtes. Les premiers coups sont ces vagues d’immigrants qui, sans cesse, labourent les plages d’Europe, du détroit de Gibraltar aux archipels grecs. Des docteurs Folamour trahissent leurs concitoyens en facilitant un phénomène « d’invasion/immigration ». Même des ecclésiastiques travestissent et dévoient le message de l’Église, complices en cela du milliardaire George Soros qui est dans tous les mauvais coups portés contre la civilisation européenne. Des ONG type « SOS Méditerranée » veulent absolument nous culpabiliser. Serions-nous donc des « sans cœur », nous qui sommes conscients des conséquences de tout cela ? Et ça marche auprès de certains. Il n’est que de voir ces retraités, par ailleurs bien ponctionnés par Macron, s’affairer autour de marmites type soupe populaire, afin de nourrir les « migrants », pour qui ils ont benoîtement les yeux de Chimène !

    Soyez plus précis : cette bombe, c’est quoi ?

    Cette bombe n’est ni sexuelle, ni atomique, ni numérique, elle est DÉMOGRAPHIQUE ! L’Afrique est une usine humaine incroyablement prolifique. Jugez-en : en 1900, 100 millions d’habitants, l’homme blanc arrive avec ses médecins coloniaux. Petit à petit, ils vont éradiquer les grandes endémies, en 1990, le continent compte 640 millions de personnes, six fois plus en 90 ans ; il y a trois ans, en 2015, c’était déjà 1 milliard d’êtres humains, presque le double en 25 ans ! Nous sommes partis pour, excusez du peu ! 4 milliards 400 millions en 2100 ! C’est proprement invivable. Et pour eux ! Et pour nous ! Le Nigéria, par exemple, ce colosse aux pieds d’argile de l’Afrique de l’ouest, au bord de l’éclatement entre musulmans au Nord et chrétiens et animistes au Sud, aura 400 millions d’âmes à la fin du siècle, contre 190/200 de nos jours !

    Les ressources alimentaires vont être un problème, sinon LE problème ?

    L’écologiste René Dumont avait tiré la sonnette d’alarmes dans les années 1960, l’année de presque toutes les indépendances, et celle de la tragicomédie congolaise, dans un ouvrage intitulé L’Afrique noire est mal partie. Il est toujours d’actualité. Ses théories ont été renforcées par un autre livre paru chez Plon en 1976. Il disait, en gros, qu’une forte croissance démographique annulerait les progrès en agriculture et que la déforestation serait une catastrophe. Et comme si ces catastrophes parfois incontrôlables ne suffisaient pas, les gouvernements noirs, par idéologie, par vengeance et par « racialisme » pour ne pas dire plus – la haine du « Blanc » peut-être ? –, engendrent eux-mêmes des catastrophes économiques comme au Zimbabwe, l’ex-Rhodésie. Il faut se rappeler que la Rhodésie nourrissait non seulement son peuple, mais qu’elle exportait viande, tabac, maïs au lieu de les importer ! L’Afrique du Sud voisine du Président Cyril Ramaphosa, sous l’influence du raciste Julius Malema de son parti Economic freedom fighters (EFF), veut exproprier sans indemnité les quelque 40 000 fermiers afrikaners qui s’accrochent à leur terre ! C’est Ubu roi ! Ils vont faire « crever » ce pays déjà en complète récession. Rappelons qu’à l’arrivée de leurs descendants, il n’y avait pas un seul Noir dans cette partie du sous-continent, seulement quelques tribus d’aborigènes Hottentots, et des bushmen, comme ceux qui jouent dans le film comique, Les Dieux sont tombés sur la tête.

    Pouvez-vous nous donner quelques exemples chiffrés de la catastrophe démographique que vous prédisez ?

    S’il fallait ne retenir que quelques chiffres, ce sont ceux des indices synthétiques de fécondité du Niger par exemple, 7 enfants par femme, que même un Macron stigmatisait lors de son discours de Ouagadougou en novembre 2017 ; 6,06 au Mali, où nos soldats font le boulot que ne veulent pas faire ces jeunes qui fuient leur pays et qui inondent la France de leur masse migratoire ; 5,86 au Burkina Faso ; 5,31 de moyenne en Afrique du Sud alors que les femmes blanches qui sont restées dans leur pays, menacées de mort et de viols, n’en étaient qu’à 1,4 il y a dix ans, moins sans doute encore aujourd’hui, mais comme on les comprend : qui voudrait enfanter dans le beau pays « Arc-en-ciel » de feu Nelson Mandela, qui fut le plus développé, et de loin, de tous les pays du continent ?

    Plus précisément, qu’elle est la situation en France ?

    En France, ne nous faisons pas d’illusions : un tiers des naissances, grosso modo, sont le fait d’immigrés récents ou d’immigrés de deuxième ou troisième génération, dont beaucoup sont « francisés », tout au moins sur le papier. Nous n’avons qu’à observer les chiffres de la drépanocytose – une maladie du sang qui ne touche que les Africains, les Antillais ou les méditerranéens du Sud pour, par décantation –, avoir forcément une petite idée du panorama démographique français…

    La Bombe africaine et ses fragmentationsde Jean-Claude Rolinat, préface d’Alain Sanders, éditions Dualpha, collection « Vérités Pour L’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 570 pages, 37 euros cliquez ici.

    L'intervention de Jean-Claude Rolinat à la 12e Journée de Synthèse nationale (Rungis, 14 octobre 2018 cliquez ici)

     

  • Education / Le naufrage de l’école – Journal du lundi 22 octobre 2018

    Education / Le naufrage de l’école
    C’est une vidéo qui a fait le tour des réseaux sociaux. On y voit un élève d’origine étrangère pointer une arme sur son professeur, en classe, dans une école de Créteil dans le Val-de-Marne… Face à cela, le ministre de l’éducation nationale plaide pour l’interdiction du téléphone portable dans les établissements scolaires !

    Société / En Marche vers la PMA (et la GPA)
    Grande offensive médiatique et politique en faveur de la PMA et de la GPA. Dans l’impasse politique, le gouvernement pourrait bien se rabattre sur les questions dites sociétales… au risque de faire renaître les oppositions du quinquennat précédent.

    International / Immigration : Trump à l’épreuve de la réalité
    Alors que des milliers de Honduriens tentent de gagner les Etats-Unis, Donald Trump tente de faire face à une vague migratoire sans précédent. Un enjeu de taille à deux semaines des élections de mi-mandat.

    L’actualité en bref

    Serveur TVL

    Lien dailymotion

  • Les vérités cachées de la guerre d'Algérie, le nouveau livre de Jean Sévillia

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    1245754164.jpgLANCEMENT LE 24 OCTOBRE 2018 (416 pages, 23€)

    Plus d’un demi-siècle après l’indépendance de l’Algérie, est-il possible de raconter sans manichéisme et sans œillères la guerre au terme de laquelle un territoire ayant vécu cent trente ans sous le drapeau français est devenu un État souverain

    La conquête et la colonisation au XIXe siècle, le statut des différentes3865945549.jpg communautés au XXe siècle, le terrible conflit qui ensanglanta l’Algérie et parfois la métropole de 1954 à 1962, tout est matière, aujourd’hui, aux idées toutes faites et aux jugements réducteurs. 

    Avec ce livre, Jean Sévillia affronte cette histoire telle qu’elle fut : celle d’une déchirure dramatique où aucun camp n’a eu le monopole de l’innocence ou de la culpabilité, et où Français et Algériens ont tous perdu quelque chose, même s’ils l’ignorent ou le nient.

    Journaliste, essayiste et historien, auteur de nombreux ouvrages qui ont été des succès de librairie (Zita impératrice courage, Le Terrorisme intellectuel, Historiquement correct, Historiquement incorrect, Histoire passionnée de la France), Jean Sévillia est chroniqueur au Figaro Magazine et membre du conseil scientifique du Figaro Histoire

    Retrouvez toute l’actualité concernant Jean Sévillia sur son site :

    www.jeansevillia.com

    Contact presse : Sandie Rigolt : 06 38 92 71 58 / 01 44 49 79 71 / srigolt@editions-fayard.fr

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/10/20/societe-6098401.html

  • Nos guerres de Trente Ans

    6a00d8341c715453ef022ad39a70fc200d-320wi.jpgVotre serviteur se réjouit d'avance, quelque puissent apparaître ses désirs de critique ou ses irritations, à l'idée de regarder pour une fois un programme de télévision[1]. La chaîne franco-allemande, en effet programme la deuxième série de six émissions consacrées à la Guerre de Trente Ans.

    En leur temps, les horribles conséquences de ce conflit ont été dénoncées dans Les Grandes Misères de la Guerre, célèbres eaux-fortes du grand dessinateur et graveur lorrain Jacques Callot (1592-1635). La série d'Arte évoque également au travers des terribles destinées du soldat ou de l'orpheline, l'impact effroyable de ce qui fut infligé au peuple, au nom de la religion.

    D'autres conflits à répétition, d'une durée étrangement analogue ont fait reculer la civilisation. Le premier, connu sous le nom que lui a donné Thucydide de guerre du Péloponnèse (431-404) avait ruiné le monde grec. Le long affrontement fratricide du XXe siècle (1914-1945) a durablement plongé dans la déréliction l'Europe entière.

    Au XVIIe siècle c'est le Saint Empire qui fut ravagé de 1618 à 1648. Comme chacun le sait, ou plutôt devrait le savoir, la sortie de guerre fut organisée par la paix dite de Westphalie. Elle fut conclue par les deux traités de Münster, signés l'un en janvier entre l'Espagne et la Hollande, l'autre en octobre entre le Saint-Empire et la France, et, en septembre, par le traité d'Osnabrück entre l'Allemagne et la Suède.

    Réformant la constitution allemande, organisée jusque-là par la Bulle d'Or de 1356, cette conclusion de la guerre se traduira aussi, pour plus de deux siècles, par un affaiblissement du pouvoir central ; celui-ci deviendra tributaire de plus de 300 principautés. Cette situation durera jusqu'au recez de 1803. Il en résulta malgré tout, sur le plan culturel, un grand essor : celui de la philosophie et de la musique par exemple. Seul Bismarck parvint vraiment en 1871 à rétablir un pouvoir plus fort, respectueux de royaumes tel que la Saxe, le Wurtemberg ou la Bavière, l'Empire fédéral comptant alors 25 États souverains et une terre d'Empire : l'Alsace-Lorraine appelée en 1911 à devenir autonome.

    La parenthèse malheureuse de l'histoire allemande a trop souvent été considérée en France comme un bienfait. Toute une école historique admire en Richelieu, pourtant cardinal de l'Église romaine, l'habile allié des protestants. Il s'agissait pourtant au départ d'une guerre civile déclenchée contre le pouvoir impérial et contre la paix religieuse conclue à Augsbourg en 1555. Elle fut attisée par les calvinistes extrêmes de l'Union évangélique, fondée en 1608 par l'ambitieux mais velléitaire Frédéric V comte palatin du Rhin[2]. Roi d'un hiver en Bohème en 1618, après la fameuse défenestration des émissaires impériaux il permit notamment le vandalisme contre la cathédrale de Prague.

    Au contraire, dans son livre sur le Père Joseph [du Temblays][3], instrument des intrigues ourdies à distance par le Principal Ministre de Louis XIII, lors de la Diète de Ratisbonne de 1635, Aldous Huxley souligne à la fois la perversité cynique et les intentions de cette politique, aux conséquences durablement catastrophiques pour l'Europe. Dans le même esprit la série de Arte montre un Richelieu à peu près aussi antipathique que le personnage mythique des Trois Mousquetaires, très laid.

    J'avoue avoir trouvé fort stimulantes les trois premières saisons de cette série historique dont, évidemment, chaque détail peut faire débat. J'avoue juger particulièrement opportun de réfléchir et de contribuer, en cette occasion, à l'urgence d'en finir avec nos guerres de Trente ans et à l'émergence d'un véritable patriotisme européen.

    JG Malliarakis  

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    [1] Sur Arte "La guerre de Trente Ans" 1618-1648 : l’Europe à feu et à sang. Deuxième partie diffusée ce 20 octobre. Accessible en replay cette série est présentée ainsi par la chaîne : "Entre 1618 et 1648, une grande partie de l'Europe est dévastée par une guerre opposant catholiques et protestants, mais qui implique également les grandes puissances du continent. C'est au gré de leur religion et/ou de leurs intérêts politiques que toutes cherchent à protéger leurs territoires. De la défenestration de Prague à la paix de Westphalie, retour sur le premier grand conflit des Temps modernes."

    [2] Il n'est pas impossible que notre bon roi Henri IV, assassiné en 1610, ait eu la velléité de se rapprocher de ce parti dirigé contre les progrès de la Contre-Réforme et contre l'influence des Jésuites. De là à penser que Ravaillac, catholique fanatique, ait été inspiré par les papistes, avec le soutien du duc d'Epernon, il n'y a qu'un pas que les conspirationnistes franchiront sans difficulté. Quitte à remarquer que l'assassin ait rendu ainsi aux ambitions françaises un grand service, le Royaume des Lys n'entrant directement dans le conflit que 25 ans plus tard.
    [3] cf. "L'Éminence grise" par Aldous Huxley réédité en Poche en 2001.

    https://www.insolent.fr/2018/10/nos-guerres-de-trente-ans.html

  • Souvenirs inédits sur les maréchaux Foch et Pétain

    Souvenirs inédits sur les maréchaux Foch et Pétain

    Dans la perspective toute proche du centenaire de l’armistice de 1918, les éditions Economica publient un ouvrage du général Léon Zeller sur les maréchaux Foch et Pétain.

    Alors colonel, Léon Zeller a été sous-chef d’état-major du général Pétain à la 2e Armée lors de la bataille de Verdun. Il a été, en 1917, chef du 3e Bureau (opérations) au Grand Quartier Général à Compiègne lorsque le général Pétain était commandant-en-chef des armées françaises. Avant guerre, il a eu le colonel Foch comme enseignant à l’Ecole de guerre et l’a retrouvé à Vannes quand celui-ci commandait le 35e régiment d’artillerie.

    Les souvenirs qu’il leur a consacrés, rédigés dans les année 1930, fournissent une approche complémentaire aux ouvrages historiques traditionnels en ce sens qu’ils permettent de se faire une idée de la psychologie et du tempérament de ces deux grands chefs, hors de toute considération polémique.

    https://www.lesalonbeige.fr/180276-2/

  • Bistro Libertés avec la journaliste Charlotte d’Ornellas

    Caroline Parmentier et Martial Bild reçoivent la journaliste Charlotte d’Ornellas pour débattre du remaniement ministériel et de l’ensauvagement de la France.

  • Échec de la transmission de la langue française : fin de l’ascenseur social

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    Près d’un quart des élèves de CP ont des difficultés à reconnaître les lettres et le son qu’elles produisent. Et en CE1, un élève sur deux a des difficultés en calcul mental. C’est ce que nous apprennent les évaluations nationales pour ces deux classes en début d’année scolaire.

    Cela commence donc dès la première année d’école obligatoire et cela se poursuit tout au long de la scolarité, parce que, comme l’admet le ministre de l’Éducation nationale, l’école, qui a pourtant vocation à réduire les inégalités, se trouve en être le premier lieu d’expression.

    Pour y remédier, Blanquer veut rendre l’école obligatoire dès trois ans. Disons-le tout de suite, ça ne changera rien. La France est déjà l’un des pays où le taux d’accès à la maternelle dès trois ans est des plus élevés. Le ministre admet lui-même l’origine de cet écart : la maîtrise du langage est décisive. Les professeurs d’école le savent très bien : ils peuvent distinguer rapidement ceux pour qui l’apprentissage sera le plus compliqué en fonction de la richesse du vocabulaire.

    Ce n’est pas, non plus, de faire de l’enfant « l’acteur de son éducation », comme le défendent les pédagogues, qui le sauvera. Il n’y a qu’une solution : apprendre par cœur. Qui a dû faire apprendre ses tables de multiplication à son enfant sait que ce n’est pas une partie de plaisir. Mais c’est un fait : il faut apprendre par le cœur, car ce qui est inscrit dans notre mémoire nous appartient et c’est alors que nous le chérissons. Ce qui reste des fables de La Fontaine dans notre mémoire est là pour en témoigner.

    Tibor Navracsics se fourvoyait donc totalement en affirmant que « nous devons davantage orienter nos systèmes éducatifs vers les compétences ». Nous avons avant tout besoin de savoirs. C’est ce que j’ai rappelé à ce commissaire européen à l’éducation (notamment en avril 2016 et en juin dernier), ainsi qu’aux autres membres de la commission culture et éducation (notamment lorsqu’ont été abordées la modernisation de l’enseignement supérieur ou la place du numérique dans l’enseignement).

    Il ne sert de rien à nos enfants d’avoir telle ou telle compétence alors qu’à la fin de leurs études, le marché de l’emploi aura totalement changé. Laurent Alexandre, pourtant adepte de l’intelligence artificielle, l’affirmait dans un tweet dont le vocabulaire lui appartient : « Apprendre à coder à TOUS les enfants est aussi con qu’apprendre la sténo en 1970. [Le] code de base sera écrit par l’IA. »

    Dans une interview à Contrepoints, il rappelait le véritable enjeu : « On a 5 % de vrais illettrés et analphabètes en France. Quand il y a une vague technologique, ou quand il faut très rapidement se former, ne pas savoir lire la première page du manuel de formation va être très problématique. »Tout l’inverse de M. Navracsics, qui plaidait pour une alphabétisation numérique.

    Enfin, le problème naissant avant même l’entrée en primaire, il est impératif de mettre fin à l’immigration qui multiplie les difficultés d’apprentissage du français à mesure que le quartier et les camarades de classe ne le parlent plus. Un environnement où la langue française domine est le préalable à toute transmission, moteur de l’ascenseur social.

    Dominique Bilde

    http://www.bvoltaire.fr/echec-de-la-transmission-de-la-langue-francaise-fin-de-lascenseur-social/