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culture et histoire - Page 995

  • L'Anjou dans la tourmente révolutionnaire : une résistance exemplaire

    Michel Janva

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  • Rééditions des "Poèmes de Fresnes" de Robert Brasillach

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  • Université du Centre Charlier : Révolutions et subversions du 18ème siècle à nos jours

    6a00d83451619c69e201bb09ac5a5a970d-250wi.pngProgramme des journées (susceptible de modifications)

    Mercredi 2 août :

    • 14 h à 17 h : accueil des participants.
    • 17 h – 19 h : Mot d’accueil – Commentaires d’actualité par Bernard Antony.
    • Questions réponses avec l’équipe de la réplique.
    • 19 h 15 : Apéritif
    • 19 h 30 : Dîner.
    • 21 h : Veillée  et prière du soir.

    Jeudi 3 août :

    • 7 h 30 à 8 h 30 : petit déjeuner.
    • 9 h : Aspects majeurs de la révolution russe – la trinité bolchevique du mal : Lénine-Trotsky-Staline. Révolution antirusse, révolution antichrétienne Par Monica Papazzu, publiciste roumaine, théologienne orthodoxe
    • 10 h : L’idéologie du « contrat social » de Jean-Jacques Rousseau, fondement des totalitarismes modernes Par Pierre Henri
    • 11 h 30 : messe (toutes les messes sont célébrées dans la forme extraordinaire du rite romain).
    • 12 h 30 : déjeuner
    • 18 h : Justice et subversion par l’idéologie anti-raciste par Jérôme Triomphe
    • 19 h 30 : Dîner.
    • 21 h : Veillée  et prière du soir.

    Vendredi 4 août

    • 7 h 30 à 8 h 30 : petit déjeuner.
    • 9 h : L’islam et le communisme : analogies et différences. Par Yves Daoudal
    • 10 h : Le Kominterm et la guerre d’Espagne Par Yann Baly
    • 11 h 30 : messe  
    • 12 h 30 : déjeuner
    • 18 h : Justice et subversion par l’idéologie anti-raciste (suite) par Jérôme Triomphe
    • 19 h 30 : Dîner.
    • 21 h : Veillée  et prière du soir.

    Samedi 5 août

    • 7 h 30 à 8 h 30 : petit déjeuner. 
    • 9 h : Conquête culturelle et conquête politique : l’apport de Gramsci est-il une surévaluation d’intello-bolchevique ? La révolution morale et sociétale contemporaine Par Jeanne Smits, journaliste, vice-présidente de l’AGRIF
    • 10 h : « Le phénomène socialiste » au long de l’histoire selon le livre d’Igor Chafarevitch Par Cécile Montmirail 
    • 11 h 30 : messe  
    • 12 h 30 : déjeuner
    • 18 h : Les sociétés de pensée et la Révolution française. L’œuvre d’Augustin Cochin et des penseurs contre-révolutionnaires Par Guillaume de Thieulloy
    • 19 h 30 : Dîner.
    • 21 h : Veillée  et prière du soir.

    Dimanche 6 août

    • 7 h 30 à 8 h 30 : petit déjeuner.
    • 11 h : Grand-messe célébrée par l’abbé Gouyaud à l’église Saint François de Paule 104 cours Lafayette à Toulon. (Missionnaires de la Miséricorde divine, abbé Loiseau). Chorale du centre Charlier. 
    • 13 h : déjeuner
    • 15 h – 18 h : sortie au Mont Faron – plage – etc…
    • 18 h : La nuit du 4-Août, masque du totalitarisme jacobin Par Michel Léon
    • 19 h 30 : Dîner.
    • 21 h : Veillée  et prière du soir.

    Lundi 7 août

    • 7 h 30 à 8 h 30 : petit déjeuner.
    • 10 h : Messe célébrée par Monseigneur Rey
    • 11 h : conférence de Monseigneur Rey 
    • 12 h 30 : déjeuner
    • 18 h : table ronde : « droite de conviction »
    • 19 h 30 : Dîner.
    • 21 h : Veillée  et prière du soir.

    Mardi 8 août

    • 7 h 30 à 8 h 30 : petit déjeuner.
    • 9 h : Le grand affrontement :
      • d’un côté, les idéologies de l’émancipation et du déracinement de Rousseau  « déconstructeurs » contemporains
      • de l’autre, la valeur de l’enracinement selon Simone Weil, Gustave Thibon, les Charlier Par Marc Froidefont, professeur agrégé de philosophie
    • 10 h : Les idées et la praxis de la subversion marxiste dans l’Église catholique. La « théologie de la libération » Par l’abbé Christian Gouyaud, théologien et écrivain 
    • 11 h 30 : messe  
    • 12 h 30 : déjeuner
    • 18 h : Révolution et contre-révolution en Amérique Centrale et Latine Par Thibaut de La Tocnaye
    • 19 h 30 : Dîner.
    • 21 h : Veillée  et prière du soir.

    Mercredi 9 août

    • 7 h 30 à 8 h 30 : petit déjeuner.
    • 9 h : La subversion : caractéristiques générales et techniques particulières. Les travaux de Roger Mucchielli - les nouvelles formes au XXIème siècle Par Didier Rochard
    • 10 h : Les phénomènes de collaboration et soumission aux totalitarismes dans l’Église et la société de 1920 à nos jours. ParBernard Antony
    • 11 h 30 : messe  
    • 12 h 30 : déjeuner
    • 14 h : Mot de départ

    Michel Janva

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  • La Bastille par Jean-Christian Petitfils

    On ne présente plus Jean-Christian Petitfils. Il est l’auteur de nombreux ouvrages couronnés de succès, dont de nombreuses biographies (1) qui nous permettent de mieux connaître et comprendre notre histoire.

    Dans le présent livre, sous titré Mystères et secrets d’une prison d’Etat, il nous présente une Bastille bien éloignée des clichés propagés par le système éducatif républicain. La force de ce nouvel opus repose sur deux éléments. Comme à son habitude, l’auteur a fouillé et décrypté les archives. De plus, son ouvrage n’est pas qu’historique au sens académique du terme. Il se lit également comme un véritable roman d’aventures. En effet, les embastillés se livrèrent à des activités tellement diverses et variées que nous avons peine à y croire. Au sein de la vieille forteresse royale, il y eut des rebellions, des expériences alchimiques autorisées par le gouvernement, des évasions ratées ou réussies, la naissance d’un enfant, l’écriture de grands livres (2) et bien évidemment des histoires d’amour. Bien qu’elles ne représentent que 10% des prisonniers tout au long de l’histoire de la Bastille, les femmes enfermées ne se privaient pas de coquetterie et de galanteries, au point de faire tourner la tête de leurs gardiens et confrères prisonniers. A ce sujet, les murs les plus épais n’empêchèrent point l’amour courtois, mais il est vrai que nous étions dans une autre époque…

    Comme chacun sait, la Bastille fut prise le 14 juillet 1789 par les émeutiers. Elle devait avoir une triste réputation à cette époque pour représenter un « symbole de l’absolutisme royal ». Déjà, son aspect massif en imposait aux parisiens. Restif de La Bretonne a écrit : « C’était un épouvantail que cette Bastille redoutée, sur laquelle, en allant chaque soir dans la rue Saint-Antoine, je n’osais lever les yeux » (3). De même, les écrits des philosophes, non dépourvus d’exagération, contribuèrent à sa mauvaise réputation. A ce sujet le chapitre intitulé La Bastille et l’opinion expose comment la propagande et la force du verbe peuvent altérer et transformer la vérité. Voltaire, lors de son deuxième embastillement, écrivit des vers (4) dans lesquels il se plaignait de son fort mauvais traitement, alors qu’il fut bien considéré. Il put même dresser la liste de ses besoins : « Deux livres d’Homère, latin-grec ; deux mouchoirs d’indienne ; un petit bonnet ; deux cravates ; une coiffe de nuit ; une petite bouteille d’essence de geroufle. » L’ironie de l’histoire reste que la Bastille souffrait de la réputation contraire d’être à la fois « La plus douce et la plus dure prison de France ». Comme pour la vie en dehors de la forteresse, tout dépendait du statut social du prisonnier. Certains finissaient par mourir des mauvais traitements, de l’absence d’hygiène et des misérables conditions de vie. D’autres, à l’image du Cardinal de Rohan pouvait se promener librement dans l’enceinte. Il recevait même ses amis et autres affiliés : « Il préférait, quant à lui, recevoir dans son appartement aménagé dans le bâtiment de l’état-major, où rien ne ressemblait à une prison. Les festins qu’il y donnait étaient des plus fins et des plus recherchés. On mettait dix, quinze, vingt couverts, les repas, en robes brodées, gilets de soie, manchettes de dentelles et perruques poudrées, s’achevaient fort tard. » Ces conditions de vie ne se voyaient réserver qu’aux hôtes les plus prestigieux comme écrit plus haut. Certains prisonniers ne disposaient que d’une maigre paillasse pour dormir, et d’autres devaient attendre plusieurs mois avant de recevoir une couverture. Des détenus ne supportant pas leurs détentions refusaient de manger et se laissaient mourir. Pourtant dans la même prison, des reclus de haute naissance préféraient - malgré leur élargissement - rester quelques jours de plus, voire même des mois pour profiter du traitement « royal » qui leur était réservé. Comme quoi, l’histoire n’est jamais simple.

    Concrètement, ce livre commence par un historique de la Bastille en expliquant les raisons de sa création et de son appellation. Nous voyons alors naître ce bâtiment qui deviendra un acteur majeur de l’histoire de la ville de Paris, et bien évidemment de l’histoire de France. Indubitablement ce château aura toujours représenté un intérêt stratégique, durant les guerres de religion, pendant la Fronde et la Révolution. Après ces salutaires rappels historiques, Petitfils aborde par le menu le fonctionnement de cette prison d’Etat. Il évoque également dans les grandes lignes les mécanismes de la justice royale. Puis, il nous livre des faits historiques intéressants qui confirment que la Bastille permet d’en apprendre beaucoup sur notre grande histoire française et sur la Révolution (5). En effet, les grands du royaume rebelles à l’autorité royale connurent l’hospitalité de la Bastille, en même temps que des sujets de la plus basse extraction. Des prisonniers d’Etat, comme les espions ennemis et autres assassins, séjournèrent dans cette prison. Suite à l’Affaire des Poisons qui gâta plusieurs années du règne de Louis XIV, les protagonistes connurent les geôles de la Bastille…  Le Masque de Fer même y mourut. La fausse Marie-Antoinette du bosquet de Vénus, dans l’Affaire dite du Collier de la Reine, enfanta dans cette prison. Autant dire que la haute et sérieuse politique se mêla aux plus vils intrigues dans cette forteresse construite par Charles V en 1370, que les révolutionnaires saccagèrent le 14 juillet de 1789, en prenant le soin, comme la coutume de la tabula rasa l’impose, de détruire et brûler les archives. Quant à nous, nous préférons les lires et les étudier. Ainsi nous recommandons fortement La Bastille qui ravira les passionnés d’histoire…

    F. A. http://www.vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2490-la-bastille-par-jean-christian-petitfils

    (1) Nous citons notamment les ouvrages suivants que nous avons lus et grandement appréciés : Louis XIIILouis XIVLouis XVLouis XVI et Jésus.

    (2) Sacy, prêtre et théologien de Port Royal, y traduisit son commentaire de l’Ancien Testament. Bassompierre en profita pour y achever Ses Mémoires. L’Abbé Roquette commença un volume de commentaires sur les Psaumes. Sade au cours de son séjour y commit Les Cent vingt journées de Sodome etc.

    (3) Ses Nuits de Paris

    (4) « Me voici donc en ce lieu de détresse, embastillé, logé à l’étroit, ne dormant point, buvant chaud, mangeant froid, trahi de tous, même de ma maîtresse… »

    (5) Les pages consacrées aux émeutes et aux exactions commises au nom de la Liberté montrent et démontrent la folie et la barbarie des révolutionnaires.

  • France-Algérie : la repentance, ça suffit !

    Abdelaziz Bouteflika, en remettant sa tournée sur le comptoir de la repentance, commet une énième double faute.

    L’Algérie et la France, c’est un peu comme les flippers d’antan : Same player shoots again et remettez un franc dans le nourrain !

    Sauf qu’aujourd’hui, il n’y a plus de parties gratuites et que l’actuel et très diminué président algérien Abdelaziz Bouteflika continue de faire comme au siècle dernier. D’où cette ubuesque sortie voulant qu’on en remette une couche nouvelle sur une possible repentance franco-algérienne, à sens unique, tel qu’il s’entend.

    Allez, les violons, et faites chialer les grandes orgues de la pleurniche. Un ancien d’El Moudjahid, quotidien historique du FLN, nous confie : « Toujours la même rhétorique. Pour masquer leur incompétence, les vieux généraux du FLN en remettent une couche sur ces Français ayant toujours bon dos. La presse française n’en dira pas grand-chose, alors que ses homologues du Maghreb n’en ont globalement rien à foutre ! » Il est un fait que la récente sortie du président en fauteuil roulant est un peu passée sous les écrans radar d’une presse maghrébine ayant sûrement mieux à commenter que de ressasser les mêmes antiennes.

    Après, à quoi bon refaire l’Histoire ? Au-delà des deux rives de notre Mare Nostrum, commune depuis Homère et Ulysse, tout un chacun a été à peu près colonisé par tout le monde. Avec des bonheurs divers, certes. En Algérie, les Français ont laissé assez d’Arabes en vie pour se faire mettre dehors par d’autres nationalistes locaux. Idem en Andalousie, là où les Arabo-Musulmans, huit siècles durant, ont épargné assez d’Espagnols pour laisser la Reconquista se mettre en œuvre. On peut aussi décliner la question façon grecque : après quatre siècles de présence ottomane à Constantinople, que visitent les touristes, si ce n’est le Plaka, dernier quartier turc épargné par la furie nationaliste grecque ?

    Pourtant, de tout cet échange « colonial », parfois un brin rugueux, de belles choses demeurent, que ce soit à Séville ou Cordoue, Alger ou Tunis, Beyrouth ou Athènes. Allez là-bas en dehors des vacances, parlez aux gens, loin du tumulte, asseyez-vous avec les anciens, les vieux, dans ces campagnes où le touriste demeure encore chose inconnue. Oui, parlez avec eux, partagez thé, eau et sel – voire même vin sous la table – pour comprendre que nous participons aussi du même bloc civilisationnel et que l’islam, quoi qu’on puisse en dire, n’est jamais rien d’autre que magnifique hérésie chrétienne.

    D’un point de vue plus politique, Abdelaziz Bouteflika, en remettant sa tournée sur le comptoir de la repentance, commet donc une énième double faute.

    La première consiste à considérer l’occupation française en Algérie comme une sorte de remake de son homologue allemande des années quarante dans la France du siècle dernier ; l’anachronisme historique étant la principale faute des historiens. Le verdict vaut pour ceux qui confondent souvent Reconquista espagnole avec débarquement de Normandie ; à ce propos, prière de relire le très salutaire Historiquement correct de Jean Sévillia.

    La seconde est encore plus grave, sachant qu’elle pousse ses coreligionnaires et compatriotes à sombrer dans la posture victimaire. Nos cousins arabes seraient donc trop nigauds et trop faibles pour avoir eux aussi été colonisateurs ; mais ces bandits ont tout de même réussi à aller jusqu’aux Vosges, avant d’en repartir, rigueurs climatiques aidant, probablement… Colonisés ils furent, colonisateurs ils l’ont également été : ainsi va la marche du monde.

    Pour en revenir à la diatribe d’Abdelaziz Bouteflika, le problème est que personne n’y croit plus. Généraux du FLN ? Tout juste des adjudants-chefs dans l’armée française, avec des femmes qui savaient coudre des galons… Une camarilla de fantoches vieillissants ne parvenant même plus à faire illusion. Et Dieu sait si, pourtant, l’Algérie aurait pu être une sorte de Californie méditerranéenne. Elle avait tout. Agriculture, gaz et hydrocarbures. Mais importe désormais fruits et légumes de ses deux voisins « pauvres », Maroc et Tunisie.

    Jadis, Napoléon III caressait l’ambition de fonder un royaume français d’Orient dont couronne ou turban auraient été confiés à l’émir Abdelkader. Cela ne se fit point. L’Histoire de France est jonchée d’occasions perdues.

    En attendant, les Algériens, peuple fier par excellence, se rêvent en boat-people. Quelle tristesse.

    http://www.bvoltaire.fr/france-algerie-repentance-ca-suffit/

  • ENFIN, IL VIENT DE SORTIR : LE NOUVEAU RECUEIL DE CHANSONS TRÈS ATTENDU DE THIERRY BOUZARD

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    Les Chansons de notre identité

    Un recueil exceptionnel, avec l’histoire de chacune d’entre eux, de 220 chants politiques, militaires, religieux, historiques, scouts, marins, bretons, vendéens, d’ailleurs, modernes et anciens et même à boire… Bref une partie non négligeable de notre patrimoine. Un ouvrage remarquable réalisé par Thierry Bouzard, journaliste et musicologue bien connu des patriotes.

    318 pages, 220 chansons, nombreuses illustrations, 27 €

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    À ceux qui l'ont déjà commandé, les expéditions seront faites cette fin de semaine. Merci pour votre patience

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