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culture et histoire - Page 999

  • Le baccalauréat au rattrapage - Journal du jeudi 6 juillet 2017

  • Il y a une Histoire de la France dont le Système ne parle pas

    Entretien réalisé pour le Salon Beige avec François Montgisard, auteur de Ces Français qui gouvernèrent le monde :

    6a00d83451619c69e201bb09abe4f6970d-250wi.jpgFrançois Montgisard, vous ressortez pour l’été chez TerraMare une nouvelle édition augmentée de votre célèbre ouvrage Ces Français qui gouvernèrent le monde.  Pourquoi cette nouvelle édition aujourd’hui 

    Aussi curieux que cela puisse paraître, l’histoire des chefs d’État issus de familles française en ligne masculine n’avait jamais été traitée dans un livre ; ni même la recension de tous les territoires conquis par la France à un moment ou à un autre. La précédente édition avait connu un beau succès de librairie. Elle était épuisée. Je continuais les recherches sur son sujet, trouvant l’origine française de nouvelles familles de dirigeants politiques, cachée derrière des transformations patronymiques, parfois très étonnantes.  Arrive un moment où les ajouts sont suffisamment importants pour justifier une nouvelle édition contenant plus de 20 % d’informations supplémentaires et inédites sur le thème. Y compris, bien sûr, l’arrivée au pouvoir entre temps de nouveaux chefs d’État ou de gouvernement. 

    Ces Français qui gouvernèrent le monde : Est-ce un titre nostalgique sur la grandeur passée de la France ?

    La nostalgie ne nuit pas à l’amour que l’on peut porter à notre nation, à notre peuple. Bien au contraire. Le chanteur Michel Sardou rappelait que la nostalgie était même une condition pour qu’une chanson soit attachante et tout le monde a chanté avec lui « Ne m’appelez plus jamais France… ! »

    Et cette belle histoire racontée dans cet ouvrage continue : il y a aujourd’hui une dizaine de chefs d’État (de fait ou de droit) d’origine française dans le monde, même si elle est souvent lointaine, de l’immense Canada au (territorialement) minuscule Ordre souverain de Malte. 

    Vous avez reçu le soutien de SAR le Prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, pour cette nouvelle édition.  Pourquoi un si illustre préfacier ? 

    Avec mon éditeur, nous avons eu l’intuition qu’il fallait une grande figure pour incarner ce principe de continuité dynastique et d’« histoire longue », comme le dit si bien le professeur Bernard Lugan. Et qui incarne mieux cette histoire longue et cette continuité que le successeur légitime de Saint-Louis et de Louis XIV ? L’acceptation du duc d’Anjou  m’a particulièrement touché lorsque j’ai appris plus tard qu’il était souvent sollicité en ce sens, mais qu’il n’acceptait que très rarement. Ce livre n’évoque pas uniquement le passé. Loin de là. Il parle aussi du présent dans lequel va s’enraciner notre avenir. 

    A qui s’adresse votre ouvrage ? 

    A tous ceux qui aiment la France. A tous ceux qui veulent se souvenir de ce que furent les Français au cours des siècles et en assumer l’héritage. Et ce qu’ils peuvent redevenir lorsqu’ils auront renoué avec leurs valeurs fondatrices.

    Ce livre s’adresse aussi à tous ceux qui ne savent pas encore ce que fut notre pays. Un livre permet de convaincre « à distance ». Il est parfois pénible de se déjuger publiquement face à des arguments, même percutants. Un ouvrage peut faire évoluer des positions intellectuelles de départ, peu à peu, par la réflexion individuelle face à une chose, c'est-à-dire face à soi-même. En conséquence, ce livre peut révéler à des générations victimes de la propagande anti-française ininterrompue qu’il y a une Histoire de la France dont le Système ne leur parle pas. Et ce n’est bien sûr pas un hasard. En réalité, cet ouvrage s’adresse à tous Ces Français qui gouverneront lemonde et qui lisent sans aucun doute le Salon Beige !

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sortie d'un magnifique album racontant l'histoire du Kosovo, signé Luc Luret

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    Remarquable album de 80 planches, riches en illustrations, relatant, étape après étape, l'histoire de ce petit pays tant convoité par ceux qui veulent la destruction de la Serbie.

    Luc Luret, bon connaisseur de l'histoire des Balkans, à qui nous devons le livre Kosovska (La Cocarde 2016), nous raconte le passé du Kosovo, coeur de la Serbie, et nous aide à mieux comprendre ce qui se passe aujourd'hui. 

    Histoire illustrée du Kosovo et Métochie, Luc Luret, 80 planches illustrées, 2017, 15 € (+ 4 € de port)

    Pour le commander cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • UNE DEFINITION POLITIQUE, PHILOSOPHIQUE ET IDEOLOGIQUE DE LA GAUCHE

  • Il y a 55 ans, Oran, 5 juillet 1962 : l’armée française laisse le FLN massacrer 3.000 Français

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    Manuel Gomez Riposte laïque cliquez là

    J’accuse de Gaulle de complicité dans les enlèvements et les assassinats qui se sont produits à Oran, le 5 juillet 1962, en ordonnant à l’armée française de rester l’arme au pied, permettant ainsi au FLN et à l’ALN de massacrer, en toute impunité, 3000 Français innocents, y compris enfants et femmes.

    Le colonel Fourcade a témoigné sous la foi du serment, déclarant avoir assisté en début de matinée, ce 5 juillet, à l’entretien téléphonique entre le général Katz, qui informait le chef de l’Etat que dans toute la ville se perpétrait un massacre au « faciès blanc » et de Gaulle lui a donné l’ordre criminel le plus formel : « Surtout ne bougez pas ! »

    Le général Katz a décidé dans la matinée de survoler la ville en hélicoptère. Voici le témoignage du pilote : « Nous survolons la ville, partout des gens qui fuyaient et des cortèges de bras en l’air, escortés par des ATO (auxiliaires de l’Armée Nationale populaire) ou des civils en armes. Nous avons survolé le Petit Lac, là aussi une foule compacte bras en l’air, des gens qu’on faisait entrer dans l’eau et qu’on abattait froidement. J’ai hurlé : Mon général on abat des gens, je vois l’eau qui devient rouge de sang ».

    Le général m’a répondu : « Retour à la base ».

    Les Européens étaient escortés jusqu’au commissariat central, où ils étaient torturés et tués mais également vers le Petit Lac et la ville nouvelle. Ce massacre s’est poursuivi jusque vers 17 heures.

    3.000 Européens massacrés sous les yeux du général Katz et sur ordre du chef de l’état français de l’époque De Gaulle.

    Ce chiffre de plus de 3.000 morts et disparus a été enregistré par Mme Sallaberry, militaire de carrière en poste au bureau des exactions.

    Lors d’un entretien dans le magazine « Le Point » en février 2002, Jean-Pierre Chevènement affirme : « A l’époque sous-lieutenant en Algérie, j’ai vécu un drame affreux en mars 1962. Plusieurs de mes moghaznis (supplétifs musulmans) ainsi que le chef du village de Saint-Denis-du-Sig, ont été tués dans des conditions atroces par un commando du FLN. J’ai retrouvé Miloud, mon aide de camp, égorgé.

    J’ai appris que près de 20.000 personnes ont été torturées et égorgées dans le village Nègre (Quartier d’Otan).

    Par la suite il rectifiera à environ 3.000 morts et 800 disparus.

    Sous-lieutenant, Chevènement avait des soldats sous ses ordres, est-il intervenu ?

    Ces morts, en France, on s’en est totalement moqué et les Français ne les ont guère pleurés.

    Le général Katz, le bourreau d’Oran, publiera ses mémoires sous le titre “ Unedestinée unique ”. Unique il est vrai mais parce qu’elle s’est terminée dans le déshonneur et l’abject.

    Ses « restes » contaminent la terre d’Espagne, à Rosas où ils ont été déposés.

    J’accuse les officiers de l’armée française de complicité dans le massacre de 3.000 Français, le 5 juillet 1962 à Oran, pour avoir obéi à leur chef, le général Katz, et avoir ordonné aux soldats de ne pas intervenir, laissant ainsi toute liberté d’assassiner au FLN et à l’ALN.

    Ce 5 juillet, un jeune appelé qui montait la garde, dans une guérite d’une caserne oranaise, vit venir à lui un groupe de Français affolés, hommes, femmes et enfants, tous terrorisés, qui le suppliaient d’ouvrir les grilles fermées. Il n’avait pas les clés. Il a appelé, supplié qu’on ouvre les grilles d’urgence… Mais déjà les tueurs avaient rejoint le groupe. Ces gens, hommes, femmes, enfants, ont été égorgés sous ses yeux,  alors qu’ils s’agrippaient aux grilles fermées à double tour. Il n’a pas pu utiliser son fusil non chargé pour leur porter secours. Cet homme a témoigné et fait ce récit horrible en pleurant… « Depuis je ne peux plus passer une nuit sans me réveiller en tremblant, avec les cris et les râles de ces pauvres gens dans les oreilles ».

    Celui qui sera surnommé “ le boucher d’Oran ”, le général Katz, perdait ainsi le peu d’honneur qui pouvait lui rester. N’aurait-il pas mérité que soit engagé contre lui un procès pour “ crime contre l’humanité ” pour sa complicité dans ce crime d’Etat ? Et pour justifier son ignominieuse conduite, il déclara haut et fort que le nombre des disparus était exagéré et que l’OAS avait provoqué les incidents en tirant sur les Arabes… Or à ce moment-là l’OAS avait cessé d’exister. Les derniers partisans avaient quitté Oran avant fin juin pour se diriger vers Alicante, en Espagne.

    On peut affirmer haut et fort que l’armée française s’est totalement déshonorée au cours de ces quelques jours. Son effectif s’élevait, pour la seule ville  d’Oran, à 18.000 hommes qui demeurèrent l’arme au pied face à ce massacre. 

    Les centaines d’officiers présents obtempérèrent sans état d’âme aux ordres indignes de leur hiérarchie.

    Malgré les appels au secours, les gendarmes mobiles refusèrent de se diriger vers les quartiers arabes où ils auraient pu libérer sans difficulté des centaines d’innocents retenus captifs.

    Le nouveau préfet d’Oran lui-même, M. Saouiah, un membre influent du FLN, déclarait cependant : « Nous ne pouvons tolérer de pareils actes criminels à un moment où il est demandé une mobilisation générale de toutes les énergies saines ».

    Il donna l’ordre de désarmement aux éléments incontrôlés, annonçant des mesures très sévères à cet effet.

    Donc le préfet en personne, un chef de la rébellion, confirmait devant la presse internationale que les responsabilités se dirigeaient vers des « éléments incontrôlés » de la rébellion algérienne et non pas le fait d’irréductibles de l’OAS comme on tentait de le faire croire dans la version officielle émanant de l’armée française.

    On ne connaîtra jamais le nombre exact des morts, des blessés et des disparus. La France ne le dira probablement pas… en admettant qu’elle le connaisse jamais.

    Quant à l’Algérie nous pouvons attendre encore longtemps sa repentance !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Université d'été d'Action française, le Camp Maxime Real Del Sarte, se tiendra du 20 au 27 août 2017

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    Voici donc d'ores et déjà annoncés, le lieu, les dates, le thème du prochain Camp Maxime Real del Sarte.

    Le Camp Maxime Real del Sarte (CMRDS) est une université d’été d’Action française, surtout destinée aux jeunes Français soucieux de l'avenir de leur pays 

    Ainsi, après le colloque du 13 mai dernier, dont le thème était Refonder le Bien Commun, colloque dont l'invité d'honneur a été le Prince Jean de France, le Camp Maxime Real del Sarte 2017 s'est logiquement donné pour sujet : France d'abord, l'avènement du projet capétien pour la France.  

    Le site du Centre Royaliste d'Acion Française donnera ultérieurement le programme du CMRDS 2017. On aura la possibilité de s'inscrire en ligne. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/