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Le Journal de TV Libertés du lundi 18 mai
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1940 : Emmanuel Macron allonge la liste des défaites glorieuses françaises
Par Jean-Dominique Merchet
En commémorant, ce dimanche, les combats de Montcornet (Aisne) de 1940, le président Macron a-t-il vraiment « regardé l’histoire en face », comme le promettait l’Elysée ? Dans un discours inhabituellement bref – seize minutes –, le chef de l’Etat n’a pas dévié d’un trait de la mythologie gaullienne et s’est prudemment abstenu d’analyser les causes de cette « étrange défaite » (Marc Bloch).
Exaltant le « sacrifice » et le « courage » des combattants de mai- juin 1940, Emmanuel Macron a estimé que « les soldats français avaient mérité de la Patrie » et qu’ils étaient « des preux dans la défaite ».
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Le Cahier d'Histoire du nationalisme n°18, consacré à Honoré d'Estienne d'Orves, sortira à la fin de cette semaine...
Très attendu, ce Cahier n°18 cliquez ici, que nous devons à l'historien Didier Lecerf, sortira enfin dans les jours qui viennent. Il est actuellement à l'imprimerie. Initialement prévue pour la mi-mars, sa parution a dû être différée en raison de la crise sanitaire. Les choses rentrant petit à petit dans l'ordre, vous pourrez bientôt le recevoir.
Nous remercions celles et ceux qui l'ont commandé depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois, pour leur patience et leur compréhension.
Le livre Réflexions pour un nouveau corporatisme cliquez là sera, lui aussi, disponible très prochainement.
Commander :
le CHN 18 cliquez ici
Réflexions pour un nouveau corporatisme cliquez là
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L’Etablissement et la démocratie apaisée, par Philippe Germain.
Table des matières
1.1 La technocrature, maladie sénile de la démocratie : (10/12)
1.2 Dégagisme et Etat providence
1.4 Progressistes contre conservateurs
La technocrature, maladie sénile de la démocratie : (10/12)
Résumé : En 2017 la technocrature à pris le pouvoir. Evènement majeur de la République que l’Action française analyse au travers la physique sociale. Elle découvre que Bonaparte a crée une nouvelle classe de privilégiés. Ce « pays légal » est un système oligarchique circulaire où trois élites financière, politique et médiatique s’épanouissent grace à l’Etat Républicain. La Technocratie, constituée en quatrième élite sous De Gaulle, fait prendre le virage mondialiste au pays légal, sous Giscard-Mitterand. Puis l’élite politique connait un énorme discrédit sous Sarkozy et Hollande.
Dégagisme et Etat providence
Dès le début 2016, l’Etablissement prend conscience que l’important discrédit des centre-droit et centre-gauche affaisse la démocratie représentative. Ce discrédit multicausal aggrave la pathologie du vieillissant système démocratique dont la situation commence a devenir critique à la veille de la présidentielle de 2017.
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Bernard Lugan « Ce ne fut pas une révolution mais un pastiche de révolution. »
On connaît bien Bernard Lugan, l'emblématique africaniste à la moustache rebelle, mais pas l'acteur de l'histoire. Dans Mai 68 vu d'en face (Balland), il nous livre sa vision des événements. Étudiant, il était alors le responsable du service d'ordre de l'Action française en région parisienne.
propos recueillis par Thierry Durolle
Quelle fut la genèse de Mai 68 ?
Si nous voulons comprendre ce qui s'est passé, nous devons revenir à la chronologie. Mai 1968 est un épisode imprévu de l'Histoire qui a pour origine une cristallisation de plus en plus violente entre les divers groupes gauchistes existant ou en gestation, et les militants des mouvements nationalistes, essentiellement Occident et l'Action française. Cette cristallisation s'est faite à partir de 1966, avec une accélération en 1967, et une extrême radicalisation au début de l'année 1968. Le mouvement de Mai 68 naît à la faculté de Nanterre, laboratoire puis incubateur des événements entre le 22 mars, date à laquelle les divers groupes gauchistes, maoïstes, situationnistes et autres, ont entamé la prise de contrôle de la faculté des Lettres, et le 3 mai 1968, date de la fermeture de la faculté. La résistance s'est organisée autour de la FNEF (Fédération nationale des étudiants de France) présidée localement par Didier Gallot assisté de Patrick Buisson, et de l'Action française que je dirigeais, secondé par Alain Sanders. Le mouvement Occident n'avait pas de groupe structuré à Nanterre.
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Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
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Entretien avec le curé enragé!
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Déconfinement, le jour se lève
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L'Action Française face à la question sociale. Partie 3 : Dépasser la lutte des classes.
Si l’on s’en tient à l’histoire des manuels scolaires ou du « politiquement correct », l’Action Française est, sur le plan social, conservatrice plus que sociale, et son monarchisme ne serait que la volonté de revenir à un ordre ancien constitué de privilèges et de hiérarchies établies une fois pour toutes en des temps lointains, voire immémoriaux : la réalité n’est pas si simple et l’AF encore moins simpliste, malgré les caricatures que certains, y compris se revendiquant du maurrassisme, ont pu donner d’elle. Il lui est même arrivée de frayer avec les syndicalistes révolutionnaires des années 1910 ou avec des « insurgés » des années 30 qui prônaient un véritable renversement du « désordre établi » et de la « démocratie capitaliste et bourgeoise », sans pour autant renoncer à une organisation « corporée » de la société du travail français, évidemment prioritairement dans le cadre national...
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LE PROCÈS DE LA RIPOUBLIQUE ! - Le Soleil se lève #6 (Abauzit, Piacentini, @Le Cercle Richelieu)