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CE QUE LES FEMMES AIMENT CHEZ LES HOMMES | Retour sur ma première vidéo.
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La fin des villes-monde et la revanche des ploucs ?, par Georges-Henri Soutou.
Source : https://www.politiquemagazine.fr/
Se souvient-on des nombreux colloques depuis le début des années 2000 autour du thème de la « ville dense », luttant contre la tendance à la prolifération des zones résidentielles éloignées des centres urbains, pour favoriser et simplifier les déplacements et les économies d’énergie ? Ce qui a valu à Paris quelques nouveaux projets de gratte-ciels.
Se souvient-on aussi de la première rencontre entre Anne Hidalgo et Sadiq Khan, alors tout nouveau maire de Londres, et de leurs déclarations vantant les villes-monde, pionnières de la globalisation, de l’innovation, de la lutte contre le réchauffement climatique et de l’inclusivité multiculturelle, vibrante et apaisée ? « Le XIXe siècle était celui des empires, le XXe celui des États-nations et le XXIe est celui des villes », déclara le Britannique. C’était en août 2016. Anne Hidalgo allait prendre pour trois ans la présidence du C 40, réseau de grandes villes mondiales axé sur la lutte contre le changement climatique.
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Le 14 juillet est bien une fête nationale. Mais elle ne saurait être la seule.
Le 6 juillet 1880, sur proposition du député Benjamin Raspail, l'Assemblée nationale décidait de faire du 14 juillet le jour officiel et unique de la fête nationale.Contrairement à ce que beaucoup pensent et ce que voulut faire croire la République triomphante, ce choix ne fut pas dicté par une volonté de rendre hommage à la relativement consensuelle et nationale fête de la Fédération, puisque l'année de référence — 1789 ou 1790 — ne fut pas spécifiée dans le texte de la loi afin de permettre aux libéraux-conservateurs de se rallier à cette décision. C'est pourtant bien le souvenir de la prise de la Bastille, de l'émeute sanglante orchestrée par les révolutionnaires anti-Tradition, anti-monarchie, anti ordre naturel et surtout anti-Dieu qui était ainsi honoré par une décision dont la signification profonde ne doit pas être sous-estimée. -
Notre nouvelle stratégie
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La belle histoire du jour
La photo d’un prêtre solitaire marchant le long de l’autoroute 81 aux Etats-Unis a suscité l’intérêt de milliers de catholiques cette semaine.
Trempée de pluie, l’image apparaît comme une œuvre d’art : le noir de sa soutane, chargé d’eau, pourrait être des traces de peinture à l’huile. Le prêtre, maintenant identifié comme étant l’abbé John Killackey, était coincé dans une file de voitures le long de l’autoroute après que six véhicules ont été impliqués dans un accident, en Pennsylvanie, le 8 juillet.
La circulation s’est apparemment arrêtée en raison de fortes pluies. Une voiture, ne remarquant pas la circulation à l’arrêt, a heurté le train de voitures et le conducteur a été grièvement blessé. Le père Killackey a marché entre les voitures et les camions, offrant de l’aide à ceux qui souffraient. L’abbé, membre de la Fraternité Saint-Pierre, a pu administrer les derniers sacrements à une personne, juste avant sa mort.
L’abbé Killackey venait de célébrer le premier anniversaire de son ordination. Il est vicaire de la communauté Mater Dei de Harrisburg en Pennsylvanie. Les paroissiens ont été touchés par son dévouement et son témoignage tout au long de sa première année et n’ont pas été surpris d’apprendre son acte héroïque sur la route. Veronica Cecot, paroissienne, a déclaré:
Nous sommes tellement bénis de l’avoir dans notre communauté religieuse.» «Priez pour le père, car je suis sûre qu’il doit être secoué par ce dont il a été témoin. Et priez pour tous les prêtres.
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J’ai confondu Dupont Moretti avec Dupont de Ligonnes !
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L'or du Guyane ou la mémoire d'un mythe
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La rentrée du cercle richelieu
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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°583
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J.K. Huysmans - En rade