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divers - Page 138

  • IL Y A 7 ANS, L'ACTE ULTIME DE DOMINIQUE VENNER

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    L'avis de Jean-François Touzé

    "Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m'insurge contre la fatalité, contre les poisons de l'âme".

    Le 21 mai 2013, Dominique Venner, fidèle à son éthique agiado-achéenne, met fin à ses jours terrestres au coeur de la cathédrale Notre-Dame de Paris.

    Ceux qui me connaissent bien savent que je suis loin d'avoir toujours été en accord avec Venner. Mais sa haute vision de l'Europe grande et de l'homme vrai a de tout temps suscité mon estime tandis que le choix de sa mort a forcé mon respect.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Aux Mercredis de la NAR : #51 - Monique et michel Pinçon-Charlot pour leur livre “Le président des ultra-riches”.

    Mercredi 5 juin, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions une nouvelle fois Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot pour leur livre “Le président des ultra-riches”. Tous deux sociologues et anciens directeurs de recherche au CNRS, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot ont publié de très nombreux ouvrages qu’ils nous ont pour la plupart présentés. Spécialisés dans l’étude de la bourgeoisie et des dynasties financières, tous deux avaient vu en Nicolas Sarkozy le « président des riches » - qualificatif qui lui est resté. Après l’intermède François Hollande, lui-même si complaisant l’égard des milieux financiers, Emmanuel Macron s’est révélé comme “Le président des ultra-riches” selon le titre du livre que Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot ont publié aux éditions La Découverte. Pur produit de l’oligarchie, l’hôte de l’Élysée a comblé de cadeaux fiscaux ceux qui l’avaient porté au pouvoir et donné à la guerre de classe une intensité inédite, provoquant la révolte des Gilets jaunes qui ont significativement envahi les “Beaux quartiers…”

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/05/21/aux-mercredis-de-la-nar-51-monique-pincon-charlot-pour-leur-6240146.html

  • Nietzsch entre Volonté de puissance et Triomphe de la volonté

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    Avant d'être récupéré par des figures de l’intelligentsia parisienne post-soixante-huitarde comme Deleuze ou Foucault dans un sens libéral-libertaire, Nietzsche a longtemps été affublé d'une chemise brune.

    Parmi ses contempteurs les plus virulents, le philosophe marxiste Georg Lukacs, qui consacre dans La Destruction de la raison un chapitre à « Nietzsche, fondateur de l'irrationalisme de la période impérialiste », voit en lui le précurseur intellectuel du national-socialisme.

    Pourtant avant 1914, l'enseignement nietzschéen est surtout reçu par des dissidents et des radicaux féministes, socialistes et anarchistes. Certains marxistes présentent Nietzsche comme le chantre de la classe aristocratique dominante en Allemagne à la fin du XIXe siècle, alors que celle-ci lui serait plutôt hostile, son antichristianisme sapant les bases de la société traditionnelle. Quant à la droite allemande la plus virulente, celle des pangermanistes, elle le rejette. Friedrich Lange, auteur en 1900 d'un essai intitulé Gobineau und Nietzsche, affirme que la philosophie de Nietzsche est juste bonne « pour les névrosés et les littérateurs », « les artistes et les femmes hystériques ». De même, Otto Bonhard réfute « l’anarchisme nietzschéen ». Les rapports sont pires avec les antisémites. L'un des plus en vue est alors Theodor Fritsch. Premier traducteur allemand des Protocoles des sages de Sion et auteur d'un Antisemiten-Katechismus à la diffusion énorme, il finira député nazi. Recensant Par-delà bien et mal, il prétend n'y avoir trouvé qu'une « exaltation des juifs et une âpre condamnation de l'antisémitisme ». Il accuse Nietzsche d'être un « philosophe superficiel », ne nourrissant « aucune compréhension pour l'essence de la nation » et dont les écrits ne sont qu'« idioties superficielles d'un pauvre savant de pacotille, corrompu par les juifs ». Il est vrai que pour Nietzsche, qui dans Généalogie de la morale oppose la morale aristocratique à la morale de ressentiment - morale judéo-chrétienne à l'état pur -, l'antisémitisme contemporain, en s'attaquant à la richesse et au pouvoir des Juifs, n'exprime qu'un ressentiment des ratés de la vie.

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  • Michel Onfray annonce sa nouvelle revue Front Populaire.

    Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom: FRONT POPULAIRE. Les auteurs: d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes…

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • 1940 : Emmanuel Macron allonge la liste des défaites glorieuses françaises

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    Par Jean-Dominique Merchet

    En commémorant, ce dimanche, les combats de Montcornet (Aisne) de 1940, le président Macron a-t-il vraiment « regardé l’histoire en face », comme le promettait l’Elysée ? Dans un discours inhabituellement bref – seize minutes –, le chef de l’Etat n’a pas dévié d’un trait de la mythologie gaullienne et s’est prudemment abstenu d’analyser les causes de cette « étrange défaite » (Marc Bloch).

    Exaltant le « sacrifice » et le « courage » des combattants de mai- juin 1940, Emmanuel Macron a estimé que « les soldats français avaient mérité de la Patrie » et qu’ils étaient « des preux dans la défaite ».

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  • Le Cahier d'Histoire du nationalisme n°18, consacré à Honoré d'Estienne d'Orves, sortira à la fin de cette semaine...

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    Très attendu, ce Cahier n°18 cliquez ici, que nous devons à l'historien Didier Lecerf, sortira enfin dans les jours qui viennent. Il est actuellement à l'imprimerie. Initialement prévue pour la mi-mars, sa parution a dû être différée en raison de la crise sanitaire. Les choses rentrant petit à petit dans l'ordre, vous pourrez bientôt le recevoir.

    Nous remercions celles et ceux qui l'ont commandé depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois, pour leur patience et leur compréhension.  

    Le livre Réflexions pour un nouveau corporatisme cliquez là sera, lui aussi, disponible très prochainement.

    Commander :

    le CHN 18 cliquez ici

    Réflexions pour un nouveau corporatisme cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/05/17/le-cahier-d-histoire-du-nationalisme-n-18-consacre-a-honore-6239100.html

  • L’Etablissement et la démocratie apaisée, par Philippe Germain.

    La technocrature, maladie sénile de la démocratie : (10/12)

    Résumé  : En 2017 la technocrature  à pris le pouvoir. Evènement majeur de la République que l’Action française analyse au travers la  physique sociale. Elle découvre que Bonaparte a crée une nouvelle classe de privilégiés. Ce «  pays légal  » est un système oligarchique circulaire où trois élites financière, politique et médiatique s’épanouissent grace à l’Etat Républicain. La Technocratie, constituée en quatrième élite sous De Gaulle, fait prendre le virage mondialiste au pays légal, sous Giscard-Mitterand. Puis l’élite politique connait un énorme discrédit sous Sarkozy et Hollande.

    Dégagisme et Etat providence 

    Dès le début 2016, l’Etablissement prend conscience que l’important discrédit des centre-droit et centre-gauche affaisse la démocratie représentative. Ce discrédit multicausal aggrave la pathologie du  vieillissant système démocratique dont la situation commence a devenir critique à la veille de la présidentielle de 2017. 

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  • Bernard Lugan « Ce ne fut pas une révolution mais un pastiche de révolution. »

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    Bernard Lugan ce ne fut pas une révolution mais un pastiche de révolution 1.jpegOn connaît bien Bernard Lugan, l'emblématique africaniste à la moustache rebelle, mais pas l'acteur de l'histoire. Dans Mai 68 vu d'en face (Balland), il nous livre sa vision des événements. Étudiant, il était alors le responsable du service d'ordre de l'Action française en région parisienne.

    propos recueillis par Thierry Durolle

    Quelle fut la genèse de Mai 68 ?

    Si nous voulons comprendre ce qui s'est passé, nous devons revenir à la chronologie. Mai 1968 est un épisode imprévu de l'Histoire qui a pour origine une cristallisation de plus en plus violente entre les divers groupes gauchistes existant ou en gestation, et les militants des mouvements nationalistes, essentiellement Occident et l'Action française. Cette cristallisation s'est faite à partir de 1966, avec une accélération en 1967, et une extrême radicalisation au début de l'année 1968. Le mouvement de Mai 68 naît à la faculté de Nanterre, laboratoire puis incubateur des événements entre le 22 mars, date à laquelle les divers groupes gauchistes, maoïstes, situationnistes et autres, ont entamé la prise de contrôle de la faculté des Lettres, et le 3 mai 1968, date de la fermeture de la faculté. La résistance s'est organisée autour de la FNEF (Fédération nationale des étudiants de France) présidée localement par Didier Gallot assisté de Patrick Buisson, et de l'Action française que je dirigeais, secondé par Alain Sanders. Le mouvement Occident n'avait pas de groupe structuré à Nanterre.

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