divers - Page 137
-
[RT18] UNABOMBER contre la société industrielle
-
Le déclin de l’Occident bréviaire pour des années décisives
Il y a cent ans exactement paraissait Le Déclin de l'Occident, ouvrage magistral d'un des principaux penseurs de la Révolution conservatrice, Oswald Spengler (1880-1936)
La parution du premier volume du Déclin de l'Occident, en avril 1918, quelques mois avant la fin de la Première Guerre mondiale, fit l'effet d'un coup de tonnerre. L'écho rencontré en Allemagne fut phénoménal, l'ouvrage remportant « le plus grand succès qu'un livre de philosophie historique ait connu [...] depuis Gibbon », selon l'historien Lucien Febvre. La première édition fut rapidement épuisée et, dans les dix années suivantes, des centaines de milliers d'exemplaires se vendirent. L'ouvrage, qualifié par Ludwig Wittgenstein de « vaste capharnaüm d'hypothèses en tout genre », eut un grand retentissement sur l'intelligentsia européenne de l'entre-deux-guerres, inspirant à Paul Valéry sa célèbre formule « Nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles. » Les ventes de la seule édition anglaise atteignirent 25 000 exemplaires avant la Deuxième Guerre mondiale. La traduction française, parue originellement en 1931, est rééditée régulièrement chez Gallimard depuis 1948. Il faudra attendre 1957 pour que paraisse l'édition italienne dans une traduction de Julius Evola, qui précisera dans une introduction le sens et les limites de cette oeuvre.
-
LES "BBR" 2020 ? LES 10 ET 11 OCTOBRE PROCHAINS À RUNGIS !
-
Aux Mercredis de la NAR : #55 - François Gerlotto pour son livre “Cataclysme ou transition ? : L'écologie au pied du mur”.
Mercredi 9 octobre, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions François Gerlotto pour son livre “Cataclysme ou transition ? : L'écologie au pied du mur”. Directeur de recherche en écologie marine, François Gerlotto a longtemps publié dans “Royaliste” des articles sur l’écologie et sur l’actualité scientifique sous le pseudonyme de François Villemonteix avant de signer depuis peu sous son nom. Notre collaborateur, membre du Conseil national de la NAR, a publié cet été un livre qui rassemble ses observations et réflexions : “Cataclysme ou transition ? : L'écologie au pied du mur”. Entre les annonces apocalyptiques et la négation radicale de l’urgence écologique, il est impossible de faire un choix raisonné car les discours antagonistes ont une base scientifique faible ou inexistante. C’est à partir d’une connaissance précise des phénomènes démographiques et climatiques qu’il est possible d’anticiper des bouleversements qui ne menacent pas la planète, comme on le dit trop souvent, mais notre civilisation. Il est encore possible de répondre à l’urgence écologique mais à des conditions politiques qui seront explicitées par notre invité.
-
Thomas Joly (Parti de la France) répond à ses auditeurs
-
Michel Houellebecq : le voyant singulier...
On ne change pas un Michel Houellebecq (MH) qui gagne en un banal confiné.
Le covid-19 fait des dégâts, tue et nous fait comprendre que la France est mortelle mais MH ne bouge pas d'un pouce : dans l'abondance de poncifs qui nous accablent depuis au moins trois mois, il sauve sa mise et trouve le moyen de demeurer fidèle à sa perception décapante du monde, du mal et de la vie.
Non pour provoquer mais parce que mêlant, sans pouvoir s'en défaire jamais, intelligence et pessimisme, il accepte d'aller au bout de l'enseignement porté par un désastre dont beaucoup se consolent d'une certaine manière en affirmant qu'il est extra-ordinaire.
-
Les démocraties sont bien fragiles !
Confinement, verbalisations, StopCovid, fichier informatique des malades, vaccination obligatoire, « brigades des anges-gardiens », etc. : les signes de restriction des libertés publiques semblent se multiplier au nom du primat de la santé sur toute autre considération (on peut se demander si les élites en charge du bien public sont aussi soucieuses de la santé publique que de leur propre allégeance à la doxa humanitariste, laquelle sert d’échelle des vertus…).
-
Dimanche 10 mai, Fête de Ste Jeanne d'Arc, plusieurs organisations nationalistes appellent à des commémorations restreintes ou virtuelles
HOMMAGE NATIONALISTE À JEANNE D’ARC :
« NOS FIDÉLITÉS SONT DES CITADELLES »
Suivez Yvan Benedetti en direct sur les réseaux sociaux le 10 mai à 10 h 30 :
- sur Youtube : cliquez ici
- sur Twitter : cliquez là
- sur Facebook : cliquez ici -
Bernanos, l'écologie face au modernisme, par Frédéric Poretti-Winkler.
Nous n’assistons pas à la fin naturelle d'une grande civilisation humaine, mais à la naissance d'une civilisation inhumaine qui ne saurait s'établir que grâce d’une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation valeurs de la vie. Car, on dépit de ce que j’écrivais tout à l’heure, il s’agit beaucoup moins de corruption que de pétrification. » (Georges Bernanos, La France contre les robots)
Bernanos est aussi un apôtre de l’écologie dans son combat contre la société mécanique, à l’image de Léon Bloy, Simone Weil, Gabriel Marcel, Nicolas Berdiaëff. Il s’insurge contre cette société déclinant vers un monde de « robots » : « dévorée par ses mécaniques comme une bête malade par ses poux ». Cette marche en avant de la technique mène la société vers la catastrophe. Il se retrouve ainsi comme d’autres écrivains comme Jean Giono, Genevoix, Jules Romains, Charles Peguy… La densité comme le nombre des machines, comme les techniques toujours plus sophistiquées ne sont pas sans conséquences sur la vie en société. Une certaine standardisation de celle-ci tend à discipliner de plus en plus l’individu à son rythme mécanique. La rapidité de l’évolution technologique amène des questionnements quant à l’assujettissement de l’homme à la machine. Est-ce que la fin de l’homme sera imposée par les machines ?
-
SAMEDI 10 ET DIMANCHE 11 OCTOBRE PROCHAINS : TOUS AU "RENDEZ-VOUS BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE