Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

divers - Page 135

  • Lafautearousseau salue l'ouverture du site "Front Populaire" de Michel Onfray.

    https://frontpopulaire.fr/p/home

    FRONT POPULAIRE: UNE NOUVELLE REVUE POUR LES JOURS "D'APRÈS"

    Sauvagerie de la mondialisation, dévoiement de l’Europe, arrogance des gouvernants, appauvrissement des classes populaires, collusion des médias et du pouvoir, casse de l’hôpital public, sécession des territoires perdus de la République : L'épidémie de coronavirus agit comme un révélateur photographique qui met au jour l’état désastreux de notre pays.

    Mais nos malheurs ne s'arrêtent pas là. Après la crise sanitaire viendra le temps de la facture économique. Et les ménages modestes seront à n'en point douter bien plus pénalisés que la France d'en haut. Il suffit de voir le durcissement du Code du travail décrété dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire... alors que le droit du capital, lui, n'a été retouché en aucune manière. En cette période troublée, la finance continue de régner.

    Alors que faire ? Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom : FRONT POPULAIRE. Les auteurs: d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes…

    Lire la suite

  • Jérôme Bourbon « Les défenses immunitaires de notre peupleront été abattues. »

    Jérôme Bourbon Les défenses immunitaires de notre pruple ont été abattues.jpeg

    Avec Réfléchir&Agir, Rivarol incarne le pendant le plus radical de la presse française. Nous en sommes fiers car le souci de réalisme et de vérité l'emporte chez nous sur des positions d'esthète et des demi-mesures qui, finalement, ne dénoncent ni ne règlent strictement rien. Directeur de Rivarol, Jérôme Bourbon a accepté de faire avec nous un tour d'horizon de l'actualité de notre combat.

    Jérôme Bourbon, qu'est-ce qui vous a poussé à vous engager en politique ?

    J'ai grandi dans une famille de centre droit. Le déclencheur a été l'émission L'Heure de Vérité de Jean-Marie Le Pen dans les années 80. Je l'avais trouvé génial, maniant la langue française comme personne. Et il tranchait avec les autres politiciens en parlant avec son coeur et ses tripes. Ses réponses durant l'émission étaient pleines de bon sens, de courage et de lucidité. Mais je dois avouer que la forme, chez lui, m'a encore plus séduit que le fond. J'étais à peine adolescent.

    Comme vous, j'ai adhéré au FN à la même époque en ne venant pas d'une famille d'extrême droite. Mais outre l'émergence médiatique de Jean-Marie Le Pen et ma révolte devant l'immigration, la mort de la paysannerie française aussi, la lecture d'auteurs comme Brasillach, Céline ou Drieu a autant fait pour ma conversion au fascisme...

    Je l'ai fait après car j'avais juste quinze ans quand j'ai été conquis par Le Pen. Ensuite bien entendu, j'ai lu Bardèche, Drumont, et toute la presse de droite nationale. Curieusement, j'ai commencé par Minute, puis j'ai lu National Hebdo, Présent, Rivarol...

    Lire la suite

  • Papacito « Une fête médiévale, c’est aussi utile que nos livres et nos revues. »

    L'avenir énergétique de l'Europe libre.jpeg

    Difficile d'échapper au phénomène Papacito-Marsault. Leur humour corrosif leur punch décomplexé et leur jeune âge font qu'ils séduisent une part importante de la jeunesse (il n'est que voir le nombre de vues de leurs vidéos aussi).

    propos recueillis par Pierre Gillieth

    L'avenir énergétique de l'Europe libre 1.jpegEt leur BD Fils de pute de la mode (textes de Papacito, dessins de Marsault) s'est vendue à 25 000 exemplaires. Il m'est arrivé souvent de voir, dans un bar ou un restaurant toulousains, des jeunes de moins de trente ans venir vers Papacito pour le féliciter ou lui demander un selfie. C'est très impressionnant. Je n'avais jamais vu ça, ou alors quand j'ai interviouvé des gens comme Brigitte Bardot ou Eric Zemmour. J'ai connu Papacito par mon ami Eric. Tous trois avons, à des époques différentes, lustré le ring d'un même vénérable club de boxe toulousain. J'ai découvert d'emblée un garçon de 32 ans, attachant, courageux, drôle, au parcours atypique. Un bon mec comme on dit. Alors, bien sûr, on n'est pas d'accord sur tout (et cet entretien se propose à la fois de mieux faire connaître Papacito à nos lecteurs mais aussi de parler - comme des amis - de nos désaccords). Mais dans un pays où on adule David Guetta, Calogero ou Gad Elmaleh, un garçon dont le film préféré est Nous avons gagné ce soir de Robert Wise ne peut pas être mauvais.

    Qui es-tu et où as-tu grandi ?

    Je suis né à Toulouse dans une famille d'origine espagnole républicaine (mes parents ont été naturalisés français dans leur enfance). Mes deux grands-pères étaient communiste et anarchiste, l'un venant de la Mancha, l'autre de l'Aragon.

    Lire la suite

  • Le confinement permettra-t-il de relancer la natalité ?

    Le confinement permettra-t-il de relancer la natalité ?

    Malgré les appels gouvernementaux s’alarmant de “la baisse inquiétante des IVG”, Gregory Roose note dans Valeurs Actuelles :

    La période de confinement imposée aux Français semble avoir été profitable au renouvellement des générations. Depuis début mars, les ventes de préservatifs ont diminué de 27 % et l’achat de tests de grossesse a explosé, atteignant +40 % ces dernières semaines, ce qui devrait avoir pour conséquence un pic de naissance en 2021. Mais ce qui est annoncé dans la presse comme un prochain « baby-boom » ne devrait être, au mieux, qu’une légère excroissance sur la courbe déclinante de la natalité française, compensée depuis les années 1960 par des vagues successives de migrations de peuplement et par la forte fécondité des populations d’origine immigrée. Pourtant, sans sursaut démographique, la population française est inexorablement appelée à décliner.

    Avant l’immigration de masse, l’individualisme est la première cause du déclin de la population française

    Lire la suite

  • "J'ai changé" : une constante présidentielle...

    Sipa_ap22104443_000005

    On a le droit de s'offrir de petites joies avec certains travers de notre vie politique et de ceux qui ont l'honneur de présider notre pays.

    Si Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron sont liés par une complicité quasi amicale, le second exploitant avec un grand art la propension du premier à se croire toujours nécessaire, autre chose les unit (voir le billet du 18 août 2019 "Macron-Sarkozy : l'habileté de l'un, la vanité de l'autre...").

    En effet combien de fois, durant son quinquennat, Nicolas Sarkozy ne nous a-t-il pas annoncé qu'il avait changé, moins d'ailleurs sur le plan politique que sur le plan personnel ! On pouvait faire des progrès en calcul rien qu'en dénombrant ses métamorphoses proclamées comme, d'ailleurs, dans un tout autre registre, la multitude de ses invocations à la présomption d'innocence.

    Lire la suite

  • Des batteries quasi éternelles fabriquées à partir de déchets nucléaires.

    Vous êtes nombreux, maintenant, à être fidèles au rendez-vous hebdomadaire que vous donne Bayard, chaque jeudi, avec sa Chronique Alimentaire/Santé. Et vous appréciez la sûreté et l'abondance des renseignements très précis et très pratiques qu'il vous y donne. Il va aujourd'hui quitter sa spécialité habituelle, pour vous entretenir ici d'une information scientifique extrêmement intéressante, dont le proche avenir dira vite ce qu'il faut en penser...

    François Davin, Blogmestre

    Lire la suite

  • L’héritage de mai 68

    L'héritage de mai 68.jpeg

    Mai 68 n'a pas été une victoire politique mais sociétale. Elle a conforté le triomphe d'un libéralisme économique soi-disant honni, et installé tous les germes pour détruire l'identité française traditionnelle.

    Dès l'été 68, Raymond Aron écrivait à chaud La Révolution introuvable (un livre d'entretiens avec le déjà servile Alain Duhamel, paru chez Fayard). Il y parlait à juste titre de « décomposition soudaine de la société française ».

    Une France en mutation

    Au milieu des années 6o, la France est au cœur de ce qu'on a appelé les Trente Glorieuses, une période de prospérité où la croissance atteint les 5 %. Les guerres coloniales (Indochine, Algérie) sont terminées. Et on assiste à une « seconde révolution », selon le terme du sociologue Henri Mendras (La Seconde Révolution française 1965-1984, Gallimard, 1986), où la France comble son retard en matière d'urbanisation et d'industrialisation. Comme le reste des pays occidentaux développés, elle sacrifie au mythe faustien du progrès (économique, scientifique, technologique). L'économie se tertiarise et le travail féminin se développe. Une spirale qui, on le sait 50 ans après, n'a cessé de s'accélérer, enterrant une France traditionnelle, rurale, la France de toujours avec son village et son clocher (que l'on trouvait encore comme un symbole sur l'affiche présidentielle de Mitterrand en 1981). Mais ce progrès et cette urbanisation ne sont pas sans créer de nouveaux problèmes : anonymat des villes, solitude sociale... Certes, le Système capitaliste envoie un contrepoison avec la société de consommation (sur le modèle de l’american way of life). La publicité, les loisirs, les vacances, le cinéma, tout est bon pour faire passer la pilule. Dans son roman Les Choses Gulliard, 1965), Georges Perec montre un couple moderne pour lequel seul importe la possession de biens de consommation. Et ce couple ni heureux ni malheureux semble être finalement la chose de ses choses... Une fable toujours très actuelle.

    Lire la suite