
La Revue d’Histoire Européenne n°20 vient de sortir avec notamment un dossier intitulé « L’Extrême droite, éternel épouvantail ».
Voici ci-dessous éditorial et sommaire
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La Revue d’Histoire Européenne n°20 vient de sortir avec notamment un dossier intitulé « L’Extrême droite, éternel épouvantail ».
Voici ci-dessous éditorial et sommaire

Par David Gattegno
En sa qualité de parti politique, nécessairement inscrit dans les perspectives que cela implique par la force des choses, le RN (comme tous les autres partis) ne saurait avoir aucune autre préoccupation que celle « électoraliste » (nous sommes en démocratie, c’est donc le nombre de suffrages qui prime, quelque affligeant que ce soit). Sans ces préoccupations-là, le RN se trouverait ravalé au rôle frivole du « témoignage », revendiqué par les micro-organismes partisans, dont on a vu à quel point ils avaient triste mine.

Liens avec le catholicisme social
Après la mort du comte de Chambord le royalisme s’était peu à peu réduit à lui-même. Il disposait encore d’une presse combattive, certes, mais moins puissante. En revanche si sa force parlementaire décline, ses liens avec le catholicisme social sont très forts.
La cérémonie d’ouverture m’avait énervé pour des raisons évidentes (déjà évoquées ici) mais ces Jeux Olympiques, dont je ne suis guère les épreuves, animent les places et les terrasses de Versailles d’une sympathique manière, et rendent les gens heureux, et pas seulement les Français surpris de se prendre au jeu (c’est le cas de le dire…) de cet événement jusque-là peu motivant et sans doute considéré comme « trop lointain ». En quelques jours, l’ambiance a changé et c’est une bonne occasion pour la France de se montrer, aux yeux du monde, sous un meilleur jour que lors des mois (et années) précédents : les rues semblent propres et régulièrement nettoyées, l’insécurité (et particulièrement son sentiment) en baisse, la tranquillité assurée et la joie assumée. Tout se passe bien, dirait-on, même si des menaces subsistent : le souvenir de Munich et du massacre d’athlètes israéliens en 1972 plane encore, mais sans inquiéter outre-mesure, l’esprit de la fête surmontant les craintes et les menaces. D’ailleurs, peu de manifestations d’hostilité se font jour à l’égard des sportifs arborant le drapeau bleu et blanc frappé de l’étoile de David, et c’est tant mieux. Idem pour les athlètes palestiniens, d’ailleurs. La trêve olympique, en somme. Peut-on s’en plaindre ? Sûrement pas !

Vous qui pensez que les JO de Paris seront une « formidable aventure humaine », qu’une reconversion professionnelle s’impose parce que, comme vous l’a redit votre psy la semaine dernière : « Dans la vie, il faut savoir prendre des risques. », ou qui hésitez encore entre deux défis au mois d’août (« Traverser la Corse sac au dos, c’est sûr, ce n’est pas donné à tout le monde ; d’un autre côté, quoi de mieux pour se ressourcer qu’un trek en Inde ? »), lisez donc le nouveau livre de François-Xavier Consoli, « Les aventuriers de la vie ». Vous verrez ce que c’est que de partir à l’aventure – la vraie, celle qui engage tout votre être, qui vous fait mal et vous fait faire du mal aux autres. De Spaggiari le perceur de coffres niçois à Ungern le dieu de la guerre, de Cravan le poète boxeur à Surcouf le corsaire du roi, F.-X. Consoli brosse avec un rare bonheur de plume le portrait de quinze authentiques aventuriers. Des hommes qui mirent leur peau au bout de leurs idées, et surtout de l’idée qu’ils se faisaient de la vie. C’est tout de même autre chose que de nager dans la Seine. Entretien.
Comme chaque année, le Parti de la France fait sa rentrée en Bretagne à l'occasion de la Fête du cochon organisée par son délégué régional Jean-Marie Lebraud et son équipe.
Au cours de cette journée, Thomas Joly, Président du PdF, prendra la parole, ainsi que Roland Hélie (Synthèse Nationale) et Pierre Cassen (Riposte Laïque).
Réservation obligatoire :
06.09.53.93.84 ou pdfbretagne@orange.fr

C'est un tout jeune homme de 22 ans, souriant, modeste, il est le premier Français à décrocher quatre médailles d'or au cours des mêmes Jeux Olympiques ! Ce nageur émérite semble voler sous l'eau et sur l'eau !
Talent, technique, sérénité : le jeune Léon Marchand a tout pour séduire. Face à des adversaires souvent plus costauds que lui, il arrive à s'imposer avec brio...
Malgré son jeune âge, il montre aussi une remarquable solidité mentale et une maturité étonnante.
On ne peut qu'être admiratif devant ses performances, et on imagine tout le travail de préparation et d'entraînements pour arriver à de tels résultats.