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divers - Page 24

  • Renouvelables, biogaz, tout-électrique : série d’échecs

    par Henry Bonner

    Les constructeurs de voitures rencontrent à présent des problèmes avec les ventes de voitures à batteries. En réalité, le secteur dépend des subventions, et pas d’une préférence des consommateurs pour l’électrique. Les livraisons en France restent pour l’instant en hausse en raison des commandes du gouvernement pour le leasing social (le programme de subventions à la location). En revanche, ces livraisons chutent en Allemagne avec la fin des subventions depuis décembre.

    Selon Les Echos :

    «… la réduction ou la suppression des aides à l’achat de voitures 100% électriques décidées ces derniers mois dans plusieurs pays, se traduit par un gros coup de frein sur les immatriculations de «wattures» (-11,3% sur un an). Leur part de marché se replie à 13% du total des ventes, contre 13,7% en mars 2023.

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  • D’un nom de rue à l’autre…

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    Isidore Rouvier

    J’apprends ce matin que la « rue Bugeaud », située en plein cœur de Marseille, vient d’être débaptisée. Elle aura pour nom désormais « rue Ahmed Litim ». C’est d’abord une étrange sensation de tristesse et de nostalgie, mêlée à une colère immense, que je sens monter en moi en apprenant la nouvelle. Comme si l’État français, une fois de plus, se plaisait à me chier froidement au visage, à noyer le souvenir de mon pays et de mes ancêtres sous des kilotonnes d’excréments. Qui pouvait bien être cet Ahmed Litim, ce nom à consonance algérienne venu usurper la place du maréchal Bugeaud dans notre panthéon post-historique ? De la part d’un pays ravagé par la haine de soi, prêt à tout pour acheter, pour quelques secondes encore, l’illusion d’une paix sociale (en réalité raciale et ethnique), de la part d’un tel pays, je m’attendais à peu près à tout, et notamment à trouver, au contact de la biographie de cet Ahmed Litim, une nouvelle sodomie symbolique telle que l’État français en a le secret, et sait si bien en dispenser, dans un calme olympien, et à intervalle hélas trop réguliers, à son peuple indigène. Que cet Ahmed Litim fût le dernier des fellagas ou le premier des partisans du FLN algérien, cela ne m’aurait en effet en rien surpris.

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  • RAPPEL : SAMEDI 20 AVRIL, À CHATEAULIN (29) : CONFÉRENCE DE BERNARD GERMAIN SUR SON LIVRE "L'UNION EUROPÉENNE EN SORTIR... AU PLUS VITE !"

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  • Voitures électriques. Aucune durabilité et des inquiétudes sur la réparabilité

    Les problèmes avec les voitures électriques s’empilent, s’enchainent.

    Nous les connaissons tous.

    Mais l’un des plus problématique est évidemment la réparabilité et la durabilité.

    Il faut avoir les pièces. Il faut que les véhicules soient conçus pour être réparables et réparés.

    Rien de tout cela n’est pris en compte.

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  • Sortie prochaine du n°66 (printemps 2024) de la revue Synthèse nationale

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    Sommaire

    N°66 – PRINTEMPS 2024

    P 2 ÉDITORIAL Roland Hélie

    P 5 LE 9 JUIN, LE VOTE UTILE, C’EST LE VOTE MARION  Roland Hélie

    P 8 SOUVENT MACRON VARIE Maurice Bernard

    P 10 LA FRANCE A L’AGONNIE Arnaud Raffard de Brienne

    P 11 LE FIASCO ABSOLU DU GOUVERNEMENT Michel Festivi

    P 16  LA RURALITÉ COMME NOUVEAU CLIVAGE  Franck Buleux

    P 27 AGRICULTEURS, ILS SONT TOUJOURS EN COLÈRE Pieter Kerstens

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  • Communautarisme ou cité parallèle ?

    Communautarisme ou cité parallèle ?

    Ecoles hors contrat, universités privées, « monasphères », économie communautaire, les catholiques se replient-ils dans une forme de communautarisme ? Faut-il parler de communautarisme ou de cité parallèle ?

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  • Les Éditions de Flore, c’est quoi ?

    You are currently viewing Les Éditions de Flore, c’est quoi ?

    À la toute fin du XIXe siècle, raconte Charles Maurras dans un livre de souvenirs, lui-même et quelques jeunes intellectuels patriotes avaient pris l’habitude de se retrouver tous les jours « Boulevard Saint-Germain, au coin de la rue Saint-Benoît, assis de guingois » sur leurs chaises « au premier étage d’un café de quartier que décora jadis une statue de sa marraine, la jeune Flore, au-dessus de la porte d’entrée ». C’est là, un demi-siècle avant que « le Flore », envahi par Sartre, Beauvoir et les existentialistes, ne devienne le grand quartier général de la gauche bien-pensante, que Maurras et ses amis vont élaborer, en fumant, en mangeant et en buvant, les premiers éléments d’une réflexion nationale et royaliste « sous le signe et la protection de cette déesse du printemps ».

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