Nous leur avons donné de si mauvaises habitudes que, pour eux, faire la manche n’est rien moins que naturel…
Une fois de plus, la voix grave et larmoyante de Mia Mottley, la première ministre de la Barbade, a résonné à la 26e conférence des Nations unies sur le climat (COP26) de Glasgow (Ecosse). « Les pertes et dommages, c’est un déni de la réalité de la crise climatique, un déni que 20 % ou 30 % de l’humanité vivent déjà en “zone rouge”, un déni qu’il y a une ligne de front du changement climatique », a-t-elle clamé. La femme politique, qui avait déjà lancé un vibrant appel à l’action lors de l’ouverture de la COP26, était cette fois invitée à s’exprimer – en visioconférence – au cours de la journée consacrée à l’adaptation et aux pertes et dommages, lundi 8 novembre.