Depuis une vingtaine d’années l’écologie constitue un thème majeur du débat public. Médias, programmes scolaires, débats intellectuels, communication des entreprises, sommets diplomatiques internationaux, autant d’occasions de développer la thématique désormais obsessionnelle du développement durable. La question est d’importance, nous ne le nions pas : réchauffement et changement climatique probablement dus à l’émission de gaz à effet de serre, dégradation de l’environnement du fait de l’activité industrielle, qualité de l’air, qualité de l’eau, autant d’enjeux incontestables. Mais l’importance de l’enjeu ne doit pas cacher cette réalité : porte-voix d’une cause sympathique, les écolos sont pourtant des escrocs, d’autant plus nocifs qu’ils se parent des atours de l’intérêt général et du Bien.
écologie et environnement - Page 68
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Les escrologistes, militants masqués de l’anti-France
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L'écologie sans idéologie
Le Figaro Magazine - 31/05/2008
Les menaces sur la planète sont bien réelles, assure Patrice de Plunkett, dans une enquête sur l'écologie. Mais pour sauver notre environnement, il faudra changer nos mentalités.
Le Figaro Magazine – Vous publiez une enquête sur l'écologie aujourd'hui. Pourquoi commencez-vous par mettre en cause la Bible ?
Patrice de Plunkett - Aujourd'hui on accuse la Bible d'avoir pollué les mentalités. On dit que le livre de la Genèse, avec sa parole célèbre « croissez et multipliez », a poussé l'homme occidental à violenter la nature, donc à créer les dégâts écologiques. On présente ça comme une évidence... Mais est-ce exact ? J'ai voulu tirer les choses au clair. J'ai décortiqué les textes : la Genèse, le Deutéronome, le Cantique des cantiques, les prophètes, Job, les évangiles. J'ai aussi regardé ce qui se passait dans le reste du monde antique et les autres civilisations.
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Réchauffement climatique : les nouveaux charlatans (2015) 3/3
Les micro-glaciations
A l’échelle historique, on observe des pulsations du climat entre périodes chaudes et périodes plus froides. Pour des détails, se reporter au livre d’Emmanuel Le Roy-Ladurie cité. Le millénaire de 400 av. J.C. à Charles Martel est appelé ”millénaire ensoleillé” et correspond à une période chaude, où peu de documents évoquent glaciers et hivers rigoureux. Un refroidissement modéré intervient en Europe à partir de 1150-1200, qui dure près de deux siècles, auquel succède un redoux jusqu’à la mort de François Ier. Puis de 1553 à 1850, c’est sur toute l’Europe une période de froid très marqué, avec hivers terribles et étés torrides, sur laquelle on dispose d’une abondante documentation et d’une très riche iconographie ; cette période est appelée le ”Petit âge glaciaire” ; pour en donner une idée : le Rhône a gelé chaque année au niveau de Tarascon entre 1556 et 1610 ; les glaciers alpins et pyrénéens étaient en moyenne huit fois plus volumineux qu’aujourd’hui.
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Réchauffement climatique : les nouveaux charlatans (2015) 2/3
Les courants atmosphériques 2), 3) et 4) transportent de l’air soit humide soit sec et produisent les précipitations, tant au-dessus des mers et océans qu’au-dessus des terres émergées. Ces précipitations aboutissent aux cycles de l’eau douce : évaporation au- dessus des océans −> nuages+vents −> précipitations −> eaux de surface des terres+ eaux profondes dans les terres −> écoulements de surface dans les terres (ruisseaux, rivières et fleuves)+infiltrations en profondeur (eaux souterraines, plus abondantes que les eaux de surface) −> retour des eaux de surface aux mers et océans, et ainsi de suite.
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Réchauffement climatique : les nouveaux charlatans (2015) 1/3
Un collectif de scientifiques nous a transmis son analyse de la théorie en vogue chez les khmers verts et autres Lyssenko nouveaux : Le réchauffement climatique !!! Désolé pour Nicolas Hulot mais nous n’avons pas pu transférer le texte en format album à colorier..
Depuis plus de trente ans, l’opinion occidentale a été manipulée, pilonnée sans répit, jour après jour, par tous les énormes moyens médiatiques et de pouvoir que permet la technologie moderne, pour la détourner de ce qui a fait naguère sa force : la science en général et les sciences exactes en particulier.
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Climats : ces idéologues qui font la pluie et le beau temps
A l'occasion du sommet sur l'effet de serre de Kyoto, les médias brodent sur un scénario catastrophe : les émissions de gaz dues à l'activité humaine provoqueraient d'ici à quelques dizaines d'années un réchauffement de l'atmosphère tel qu'il provoquerait la fonte des pôles, le relèvement du niveau des mers, donc la disparition de certaines terres aujourd'hui émergées, et en fin de compte un dérèglement général du climat. Pour éviter cette apocalypse, on préconise de réduire l'émission de certains gaz, donc de modifier la croissance et la production : un gigantesque enjeu économique et politique, tant pour le tiers monde que pour les pays développés. Mais comment peut-on être sûr du climat dans cent ans, alors que les météorologues ne prédisent pas le temps à trois jours ? En d'autres termes, ce scénario catastrophe est-il une certitude scientifique ou une hypothèse politique orientée ?
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16 scientifiques : « Pas de panique sur le réchauffement... » (2012)
Nous l'avions relaté en son temps. En septembre Ivar Giaever, Prix Nobel de Physique et figurant il y a quatre ans au nom des "groupies" d'Obama, démissionnait avec fracas de la Société Américaine de Physique dont il était un des membres les plus anciens. Il ne pouvait admettre le communiqué que celle-ci venait de faire paraître disant notamment : « C'est une évidence incontournable : le réchauffement climatique est en cours. Si aucune action décisive n'est entreprise des ruptures catastrophiques des systèmes écologique et physique de la terre, dan la santé et la sécurité humaine, surviendront probablement. Mous devons réduire les émissions de gaz à effet de serre et commencer tout de suite ».
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Rapport du GIEC sur le climat : et si on passait à autre chose !
Benoît Rittaud *
Le sixième rapport du Giec sur l’état climatique de la planète a commencé à être publié. Il a pour écrin médiatique les récentes inondations d’ici et les nouveaux incendies de là-bas car, comme on le sait, les pluies diluviennes n’existaient pas avant l’invention des 4 x 4 et les feux de forêt étaient inconnus avant les Trente Glorieuses.
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Ce sont les mégapoles, pas le CO², qui réchauffent
Parmi les causes du changement climatique plus crédibles que le C0² on retiendra la chaleur induite par les villes et son impact sur les statistiques météorologiques. Ce qu'on appelle « l'effet insulaire de la chaleur urbaine » (UHI - Urban Heat Island). C'est un phénomène étudié et connu depuis des années et qui ne laisse pas le moindre doute dans l'esprit de ceux qui s'y sont consacrés. Bien entendu le GIECC, pour nier l'influence considérable qu'a cette évidence sur les projections climatiques, fera exclusivement appel à des scientifiques qui s'inscrivent en faux et prétendent, comme le climatologue Thomas Peterson, que les villes de moins de 10 000 habitants, devant être considérées comme rurales, ne sauraient être assimilées à des zones urbaines.
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Rapport du GIEC sur le climat : tremblez !
Depuis quelques jours, la presse subventionnée et les journaux télévisés sont en ébullition avec l’annonce du dernier rapport du GIEC sur le climat, et son « avertissement le plus sévère jamais lancé ». Depuis le début de l’été – par malchance un été très maussade et froid sur une grande partie de la France -, tout ce beau monde préparait la sortie de ce rapport pour les décideurs, en faisant feu de tout bois, pour générer la peur et rendre les esprits réceptifs : dôme de chaleur de quelques jours sur le Canada, inondations en Belgique, fonte très brève de la couverture de glace du Groenland…