Chaque semaine, Boulevard Voltaire sélectionne dans l’actualité des infos insolites et extravagantes qui nous ont fait sourire, ou des sujets plus sérieux.
écologie et environnement - Page 70
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Mieux vaut en rire (ou pas) : incarcération, soumission, pollution…
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Mieux vaut en rire (ou pas) : incarcération, soumission, pollution…
Chaque semaine, Boulevard Voltaire sélectionne dans l’actualité des infos insolites et extravagantes qui nous ont fait sourire, ou des sujets plus sérieux.
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Événements climatiques : le CO2 n’explique pas tout
Alors que le projet de loi Climat est toujours en discussion à l’Assemblée, une publication scientifique très intéressante vient de sortir. Elle démontre l’existence d’un lien entre les phénomènes El Niño, La Niña et les cycles solaires.
El Niño est un phénomène qui se traduit par un réchauffement des eaux de surface de l’océan Pacifique équatorial. Ce réchauffement n’a rien d’anodin car il a généralement pour conséquences de dérouter les cyclones tropicaux, de déplacer les zones de précipitation et, donc, les sécheresses. On attribue, par exemple, au El Niño de 1983 les pluies diluviennes qui se sont abattues sur l’Équateur et le Pérou durant six mois. Les années 1982-83, 1997-98 et 2014-16 ont été marquées par de puissants El Niño qui ont fait grimper la température globale de la planète.
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Racines du mouvement écologique
Au-delà de la droite et de la gauche : les racines du mouvement écologique
Le concept d’ « écologie » fut utilisé pour la première fois en 1866 par Ernst Haeckel (1834-1919), qui entendait désigner, par ce terme, « toute la science des rapports de l’organisme avec le milieu extérieur environnant ». Ernst Haeckel était naturaliste et philosophe. Le monde universitaire a reconnu toute sa valeur scientifique grâce aux travaux de recherches qu’il avait accomplis dans le domaine de la biologie marine. Haeckel avait décrit plus de 3500 nouvelles espèces de radiolaires, qui avaient été collationnées lors d’une expédition. Haeckel avait également confectionné quantité de dessins et de tableaux sur le fruit de ses recherches, qui ont tous encore quelque validité scientifique aujourd’hui.
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La loi Climat face aux excès de la mondialisation, par Christian Montagard.
Selon l’Agence internationale de l’énergie, la France, avec 0,9 % d’émissions de carbone (28,2 % pour la Chine et 14,5 % pour les États-Unis), est un des pays les moins pollueurs du monde. Pour ceux qui se sont déplacés dans certaines capitales d’Afrique ou d’Asie, Paris apparaît comme un havre d’air pur.
Mais, comme nous le constatons chaque jour sur d’autres sujets (notre Histoire, nos grands personnages…), le projet de loi Climat, porté par le ministre Barbara Pompili devant le Parlement, n’échappe pas à l’idéologie ambiante consistant à culpabiliser les Françaises et les Français, qui seraient quasiment les principaux responsables du dérèglement climatique.
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Daniel Cohn-Bendit envoie « se faire foutre » le maire de Poitiers
Ce qui est bien, lorsqu’on est de gauche, c’est qu’on peut tout dire. Ou presque. La preuve par Daniel Cohn-Bendit.
Réagissant, ce lundi matin, sur LCI, aux propos du maire écolo de Poitiers Léonore Moncond’huy (« L’aérien, c’est triste, mais ne doit plus faire partie des rêves d’enfant d’aujourd’hui »), l’homme qui tape sur l’épaule d’Emmanuel Macron n’a pas mâché ses mots. « Moi, j’ai pleuré quand le premier homme a marché sur la Lune, et maintenant arrive une écologiste qui me dit d’arrêter de rêver. Mais qu’elle aille se faire foutre ! » Ça, c’est dit, comme on dit.
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Le meilleur des mondes est pour demain, en vert, par Yves Morel.
Le peuple écologique se réduit au petit troupeau de convaincus. Les autres sont exclus de la légitimité populaire. Ce comportement sectaire et satisfait est le résultat de la faillite des autres représentants politiques, qui n'ont pas voulu s'alarmer face aux dangers environnementaux de nos modes de vie. Un blanc-seing dangereux donné à une idéologie radicale…
Nous n’aurons pas attendu longtemps les tentations terroristes de l’écologisme militant. Depuis leur percée lors des dernières municipales, les Verts semblent croire leur règne arrivé, et ne prennent pas de gants pour faire sentir leur férule. Il n’est que de considérer les initiatives provocantes prises par certains de leurs maires récemment élus pour en juger.
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Réinventer la charrue.
En 2020, ils ont été près de 600 à fréquenter la «coopérative d’autoconstruction» L’Atelier paysan. Ils le doivent à Joseph Templier, un maraîcher isérois qui, faute de trouver les outils adaptés à ses cultures sur planches permanentes, s’est ingénié à les façonner, déclenchant un défilé de curieux, puis la création, en 2014, d’une société coopérative d’intérêt collectif. Elle est aujourd’hui forte de trente salariés, de 126 sociétaires, et d’un grand prix décennal de la finance solidaire.
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Marlène Schiappa : « On pourrait faire un best-of des décisions les plus sectaires d’EELV »
Marlène Schiappa : « On pourrait faire un best-of des décisions les plus sectaires d’EELV
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Après les antiracistes-racistes, voici les écolos-pollueurs
Au sein de la gauche éclatée, les antiracistes défenseurs de positions ouvertement racistes ne sont plus les seuls à agir contre les valeurs dont ils se prétendent les défenseurs. Ils y sont rejoints par ceux qu’il est convenu d’appeler les écologistes pollueurs.
Certains auront peut-être relevé, dans la presse, la destruction, par les services municipaux de la ville de Paris, de la magnifique glycine centenaire du restaurant Chez Plumeau, place du tertre à Paris. Ce massacre à la tronçonneuse a été décidé en haut lieu par Christophe Najdovski, adjoint (EELV) d’Anne Hidalgo en charge de la végétalisation, de l’espace public et de la condition animale. La raison invoquée est que le végétal a été déclaré mort par une assemblée d’experts appelée par la mairie, diagnostic d’ailleurs formellement contesté par Émile Meunier, élu (EELV) du 18e arrondissement.