Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

écologie et environnement - Page 74

  • Le meilleur vaccin : le contenu de notre assiette

    1669436676.jpg

    Il n’est pas inutile de rappeler que ce fameux coronavirus fait quand même moins de mort que la grippe, son originalité tenant au fait qu’il a contaminé la terre entière. L’autre fait marquant de cette cochonnerie, c’est que les effets destructeurs sur nos économies sont nettement plus importants que le virus lui-même. Ce n’est pas le moindre des paradoxes. Les réponses apportées par chaque nation à cette pandémie sont aussi diverses que variées. En France, l’Etat jacobin couplé à une administration qui n’en fait qu’à sa tête a littéralement empêché toute réponse claire, simple et précise à cette pandémie. Au-delà des critiques qui sont émises de toute part, Périco Légasse, le critique gastronomique de Marianne nous donne un conseil plein de bon sens : bien manger est certainement l’une des meilleures réponses à apporter pour lutter contre le virus. Car, il y a bel et bien un lien entre la malbouffe dont nous abreuvent les industriels de l’agroalimentaire et la propagation du virus.

    Lire la suite ICI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2021/01/08/le-meilleur-vaccin-le-contenu-de-notre-assiette-6289269.html

  • Écologie cette transition qui n'existe pas

    La transition énergétique, qu’on nous présente comme un ensemble rationnel de mesures progressives et coordonnées, n’est pas non plus un chemin tout tracé…

    La transition écologique n'est pas une route qui se projette et aplanit les difficultés une à une. Ce n’est d'ailleurs même pas une route mais un réseau complet, avec autoroutes, nationales et même chemins vicinaux. Pourquoi ? Parce que le système de production et de consommation tel qu'il est installé ne permet pas de transformer progressivement, de substituer progressivement. Il ne peut pas y avoir de « transition » pour parler comme Nicolas Hulot(1), il doit y avoir une conversion écologique, pour parler comme François.

    Lire la suite

  • Eoliennes : reportage sur le scandale d’Etat

    La vidéo dure une heure… mais vous ne regretterez pas cette heure, qui montre, sur le cas précis des éoliennes, la cause de l’effondrement de la France : la connivence entre l’Etat et l’argent.

    Sans oublier l’incompétence des responsables, malgré tout secondaire !

    Entre le banquier Pompidou et le banquier Macron, les fondateurs de l’Ena qui avaient donné en 1945 à l’école la devise “servir sans s’asservir” doivent se retourner dans leurs tombes…

    Gantois B.

    https://www.medias-presse.info/eoliennes-reportage-sur-le-scandale-detat/138152/

  • Les Royalistes et la préservation de l'environnement dans les années 1970. Partie 2 : Bureautechnocratie et multinationales contre nature et santé.

    3417031262.9.jpg

    Dans le cadre de la rédaction d'une nouvelle brochure sur les Royalistes et l'écologie, voici ci-dessous la 2ème partie d'une brève étude historique sur ce thème déjà publiée en 2017.

    Le souci environnemental s'intègre dans la réflexion plus large sur les conditions de la vie en société et celles de la pérennisation de la Cité nécessaire aux citoyens et à leurs libertés civiques, et, tout bonnement, au bon ordonnancement de la vie en société elle-même : c'est une constante de la politique des royalistes (avec sans doute quelques exceptions pour ces derniers) de s'inquiéter de « ce qui doit durer », en particulier en l'absence angoissante d'une dynastie qui inscrive le temps du moment dans un temps plus long, en amont comme avec la promesse de l'aval. En somme, les royalistes assument une forme de régence idéologique, « en attendant l'héritier », et elle se marque par la volonté de « préserver l'héritage » dont l'environnement, dans tous ses aspects et éléments, est une énorme part et, plus encore, le cadre de vie et de mouvement des sociétés françaises et humaines.

    Lire la suite

  • Le chagrin, la peur, la haine

    Chronique de Paysan Savoyard (n°239 – Décembre 2020)

    Nous sommes les générations dont le triste privilège est de pouvoir assister à cet événement de dimension historique : le naufrage de la civilisation européenne, notre civilisation millénaire. Unité de temps, la première moitié du 21e siècle, unité de lieu, l’Europe, unité d’action, l’invasion, les règles de la tragédie classique sont pour nous réunies. Au spectacle désolant de ce monde qui disparaît, trois sentiments également violents s’additionnent et se renforcent l’un l’autre.

    Lire la suite

  • Quelle écologie pour le XXIe siècle ? Réduire la vitesse... (texte de 2017)

    Quelle écologie pour le XXIe siècle ? Réduire la vitesse....jpeg

    Entretien avec Richard de Sèze

    Richard de Sèze et Alain de Benoist sont aussi sensibles l'un que l'autre à l'urgence écologique. Le second envisage la fin du système capitaliste, le premier croit encore à son adaptabilité. L'un prône la décroissance, l’autre propose une autre croissance. L'un et l'autre voient dans l’écologie - bien obligés - la Révolution du XXIe siècle : un retour à la nature.

    À quelles conditions, selon vous, le discours écologique est-il aujourd'hui un discours en prise sur le réel ou un simple discours de bonne conscience ?

    Entendons-nous bien : il est vraisemblable que nous rentrons dans une nouvelle période climatique, qui entraine des bouleversements physiques et sociaux bien réels, il est évident que la motorisation de nos économies a généré une pollution dantesque, et il est clair que la surproduction mondialisée a conduit à des aberrations physiques et sociales : pollution atmosphérique et hydrique aux conséquences désastreuses pour la santé, mise en danger de la biodiversité, disparition des cultures vivrières, etc. Le constat est implacable.

    Lire la suite

  • Quelle écologie pour le XXIe siècle ? Réduire la vitesse… ou changer de cap

    Quelle écologie pour le XXIe siècle ?.jpeg

    Entretien avec Alain de Benoist

    À quelles conditions, selon vous, le discours écologique peut-il être aujourd'hui un discours en prise sur le réel ou un simple discours de bonne conscience ?

    Il s'agit, comme toujours, de consentir à voir ce que l'on voit. Notre rapport à la nature s'est dégradé, nous ne savons plus que faire de nos déchets, certaines zones de la planète se transforment en poubelles et le réchauffement climatique, quelles qu’en soient les causes, anthropiques ou « naturelles », est une réalité dont nous commençons à percevoir les effets. Face à cela, le discours écologique n’est jamais sorti de l'équivoque. L'écologie est née au XIXe siècle, avec Haeckel notamment, en tant que discipline scientifique : c'était la science des écosystèmes, c’est-à-dire des milieux naturels de vie. Après la Deuxième Guerre mondiale, l'écologisme est devenu l'affaire des « partis verts », qui l'ont conduit dans une impasse. Aujourd'hui, il devient le hobby des bobos, qui le tirent du côté de la niaiserie - ou celui des véganes, qui voudraient nous transformer en herbivores.

    Lire la suite

  • Michel Maffesoli : vers une écologie adroite (texte de 2017)

    Michel maffesoli  vers une écologie adroite.jpegLe titre du dernier ouvrage de Michel Maffesol est énigmatique écosophie. Ce professeur de sociologie à la Sorbonne expliquerait sans doute les choses autrement. Mais disons pour simplifier, que l’écosophie, c'est l’écologie de droite.

    L’écologie de droite, qu'est-ce que c'est ? Une défense de la maison commune, si on suit l'étymologie de ce néologisme, il faudrait parler d'une sagesse de la maison, à cultiver ensemble. Dès les premières pages de son ouvrage, Maffesoli critique la politisation de l'écologie : « En devenant politique et donc "de gauche" l'écologie s'inscrit dans une forme, la forme "parti" dont les esprits les plus aigus savent l'inanité et dont les jeunes générations pressentent l'aspect daté ». L'écosophie, c'est l'écologie sans Parti et donc l'écologie de droite.

    Lire la suite

  • Changement climatique : A quand les ennuis ?

    2972779881.jpg

    Par Jean-Marc Jancovici

    Le changement climatique, est-ce grave ? A cette question, la bonne réponse est en fait… une autre question. « Grave » pour qui, à quel horizon de temps, et par rapport à quoi ? Le changement climatique ne sera jamais aussi grave pour la planète que si notre soleil avait décidé de nous engloutir et de tuer toute vie sur terre, comme il le fera dans quelques milliards d’années, à la fin de sa vie d’étoile. Mais la dérive du climat va néanmoins nous frapper de plus en plus fort à l’avenir, sans que nous puissions, et c’est une des difficultés de l’affaire, dater avec exactitude le franchissement d’un seuil précis pour une conséquence donnée.

    Lire la suite

  • La catastrophe énergétique qui vient

    800px-Dampierre-en-Burly_-_centrale_nucl%C3%A9aire-800x475.jpg

    Le niveau des revenus et la stabilité de la société ne se maintiendront pas dans un monde à énergie décroissante.

    On a stoppé Fessenheim, qui produisait deux gigawatts électriques. Cette décision de Macron, d’une bêtise effrayante, montre la misère intellectuelle de cet homme et de ceux qui l’entourent, dans le domaine des sciences et de la technologie.

    Lire la suite