Parmi les causes du changement climatique plus crédibles que le C0² on retiendra la chaleur induite par les villes et son impact sur les statistiques météorologiques. Ce qu'on appelle « l'effet insulaire de la chaleur urbaine » (UHI - Urban Heat Island). C'est un phénomène étudié et connu depuis des années et qui ne laisse pas le moindre doute dans l'esprit de ceux qui s'y sont consacrés. Bien entendu le GIECC, pour nier l'influence considérable qu'a cette évidence sur les projections climatiques, fera exclusivement appel à des scientifiques qui s'inscrivent en faux et prétendent, comme le climatologue Thomas Peterson, que les villes de moins de 10 000 habitants, devant être considérées comme rurales, ne sauraient être assimilées à des zones urbaines. En 2003, celui-ci concluait ainsi une étude sur l'UHI : « Contrairement à l'opinion couramment partagée aucun impact de l'urbanisation statistiquement significatif n'a pu être découvert dans les températures annuelles ». En 2007 le mathématicien canadien Steve Mc lntyre qui, avant d'en claquer la porte et d'être un des acteurs majeurs du Climategate, participa aux premiers travaux du GIECC, l'accusa d'avoir manipulé ses chiffres.
écologie et environnement - Page 72
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Ce sont les mégapoles, pas le CO², qui réchauffent
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Accusée de harcèlement moral, Esther Benbassa est exclue du groupe écologiste
Esther Benbassa, accusée de harcèlement moral à l’encontre de ses collaborateurs, s’est vue exclure du groupe écologiste. La sénatrice s’est élevée contre « un simulacre de procédure interne ».
En juillet dernier, la sénatrice EELV Esther Benbassa était accusée de harcèlement dans une enquête menée par Mediapart, qui relayait les témoignages de huit anciens collaborateurs de la sénatrice.
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L’écologie selon Julien Doré : bien vu !
Planter une éolienne ou installer des panneaux solaires, c’est supposé présenter un bénéfice écologique. Tout comme de remplacer sa chaudière au fioul par une pompe à chaleur. Ou encore privilégier l’achat d’un produit en vrac et d’une origine locale à celui trop emballé qui vient de loin. Ou, enfin, de désherber à l’huile de coude plutôt qu’au célèbre poison vendu par une multinationale américaine rachetée par un groupe de chimie allemand. Parfois, ce bénéfice écologique est discutable, complexe à évaluer, peut-être même indéterminable. D’autres fois, il relève de la pure mascarade, comme les éoliennes et les panneaux solaires qui font rouvrir des centrales à charbon quand Apollon et Éole ont mieux à faire ailleurs.
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17 000 ans qui contredisent la théorie de l'effet de serre
Entre 2000 et 2011, à partir de l'analyse des carottes glaciaires, des cycles climatiques récurrents, des variations glaciales alpines, des fluctuations du PDO ou Oscillation Décadale du Pacifique, de celles de l'ENSO (El Niño) etc... Easterbrook publia toute une série d'études démontrant l'inéluctabilité d'une évolution de notre climat vers un refroidissement plutôt qu'un réchauffement. Insistant tout particulièrement sur le fait que le premier serait bien plus dramatique pour l'ensemble des sociétés humaines que le second. Il rappelait notamment que depuis 1470 se sont succédé des cycles alternativement chauds et froids de plus ou moins 27 années qui n'avaient rien à voir avec le C0₂ anthropique.
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Écologie et économie
Le texte présenté ici est un extrait de l’ouvrage Vittorio Hösle (1) “Philosophie de la crise écologique” (Wildproject, 2009, trad. Matthieu Dumont), publié pour la première fois à Munich en 1991. Le texte reprend une série de conférences prononcées en avril 1990 à l’Institut de philosophie de l’Académie des sciences de Russie/URSS. Déjà traduit en plusieurs langues, cet ouvrage a contribué à faire de son auteur une voix incontournable dans le domaine de l’éthique environnementale et de la philosophie de l’écologie.
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Jean-Luc Salanave : Nucléaire et transition écologique partie 3
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S’inviter à la primaire des écologistes pour 2 € seulement, histoire de…
Dans un pays où la liberté d’opinion serait la règle, se dire écologiste, promouvoir l’écologie, voter pour des candidats qui portent une étiquette écologie devrait être licite. En France, nous avons malheureusement une écologie très idéologisée, qui préfère de l’électricité produite par des centrales à charbon souvent et des éoliennes parfois à celle des centrales nucléaires, même si son coût est inconnu. Ou qui voit dans le chasseur l’ennemi à battre.
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Jean-Luc Salanave : nucléaire et transition écologique Partie 2
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La Monarchie, pour l’écologie enracinée !, par Jean-Philippe Chauvin.
Pour mener à bien une véritable politique écologique, encore faut-il l’inscrire dans la durée et ne pas dévier de sa route (fut-elle ardue et semée d’embûches) malgré les pressions des lobbies industriels ou consommateurs qui peuvent avoir tendance à ne penser qu’à leur intérêt immédiat et particulier, au détriment du long terme et des générations qui viennent et viendront…
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LA RESPONSABILITÉ ENVIRONNEMENTALE NÉCESSAIRE, DE L’ETAT AUX CITOYENS.
Peut-on encore sauver la planète ? Et qui en a vraiment envie, pourrait-on rajouter si l’on est complètement désabusé ? Malgré les récents événements climatiques qui ont frappé nos voisins européens avec une violence qui nous paraît inédite, peu de choses semblent bouger, et la société de consommation a déresponsabilisé et infantilisé des populations qui ne pensent, désormais, qu’à leur nombril quand il faudrait voir plus haut.