écologie et environnement - Page 72
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Jean-Luc Salanave : Nucléaire et transition écologique partie 3
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S’inviter à la primaire des écologistes pour 2 € seulement, histoire de…
Dans un pays où la liberté d’opinion serait la règle, se dire écologiste, promouvoir l’écologie, voter pour des candidats qui portent une étiquette écologie devrait être licite. En France, nous avons malheureusement une écologie très idéologisée, qui préfère de l’électricité produite par des centrales à charbon souvent et des éoliennes parfois à celle des centrales nucléaires, même si son coût est inconnu. Ou qui voit dans le chasseur l’ennemi à battre.
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Jean-Luc Salanave : nucléaire et transition écologique Partie 2
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La Monarchie, pour l’écologie enracinée !, par Jean-Philippe Chauvin.
Pour mener à bien une véritable politique écologique, encore faut-il l’inscrire dans la durée et ne pas dévier de sa route (fut-elle ardue et semée d’embûches) malgré les pressions des lobbies industriels ou consommateurs qui peuvent avoir tendance à ne penser qu’à leur intérêt immédiat et particulier, au détriment du long terme et des générations qui viennent et viendront…
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LA RESPONSABILITÉ ENVIRONNEMENTALE NÉCESSAIRE, DE L’ETAT AUX CITOYENS.
Peut-on encore sauver la planète ? Et qui en a vraiment envie, pourrait-on rajouter si l’on est complètement désabusé ? Malgré les récents événements climatiques qui ont frappé nos voisins européens avec une violence qui nous paraît inédite, peu de choses semblent bouger, et la société de consommation a déresponsabilisé et infantilisé des populations qui ne pensent, désormais, qu’à leur nombril quand il faudrait voir plus haut.
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Un nouveau rousseauisme ?
Philippe Randa
Les écologistes nous ont habitués à bien des facéties ! A tel point que le commun des mortels se demande même fréquem- ment : « Mais où s’arrêteront-ils ? »
Ainsi, Sandrine Rousseau, candidate à la primaire du parti EELV pour la prochaine échéance présidentielle, a fait fort, trop fort et même excessivement fort dans une déclaration à propos du rapatriement des réfugiés afghans qui posent quelques soucis à la classe politique ces temps derniers ; selon elle, s’« il y a des personnes qui sont dangereuses, qui sont terroristes, ce n’est pas parce qu’ils restent en Afghanistan qu’ils sont moins dangereux... Donc quelque part, le fait de les avoir en France, ça nous permet aussi de les surveiller ».
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Ecologie : La peste verte ?
Dans un ouvrage prophétique paru en 1991, La Peste verte, Gérard Bramoullé dénonçait la dérive idéologique de l’écologie. Mais il était malheureusement en dessous de la vérité. Car, devenue une religion, l’écologie se situe désormais au delà de l’idéologie – MG
Comme religion de l’oligarchie, au même titre que la religion antiraciste, l’écologie se place dans le registre de la révélation, du dogme et des anathèmes contre ceux qui ne partagent pas la foi nouvelle : elle est devenue inaccessible à la raison et en particulier à la raison scientifique.
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Les escrologistes, militants masqués de l’anti-France
Depuis une vingtaine d’années l’écologie constitue un thème majeur du débat public. Médias, programmes scolaires, débats intellectuels, communication des entreprises, sommets diplomatiques internationaux, autant d’occasions de développer la thématique désormais obsessionnelle du développement durable. La question est d’importance, nous ne le nions pas : réchauffement et changement climatique probablement dus à l’émission de gaz à effet de serre, dégradation de l’environnement du fait de l’activité industrielle, qualité de l’air, qualité de l’eau, autant d’enjeux incontestables. Mais l’importance de l’enjeu ne doit pas cacher cette réalité : porte-voix d’une cause sympathique, les écolos sont pourtant des escrocs, d’autant plus nocifs qu’ils se parent des atours de l’intérêt général et du Bien.
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L'écologie sans idéologie
Le Figaro Magazine - 31/05/2008
Les menaces sur la planète sont bien réelles, assure Patrice de Plunkett, dans une enquête sur l'écologie. Mais pour sauver notre environnement, il faudra changer nos mentalités.
Le Figaro Magazine – Vous publiez une enquête sur l'écologie aujourd'hui. Pourquoi commencez-vous par mettre en cause la Bible ?
Patrice de Plunkett - Aujourd'hui on accuse la Bible d'avoir pollué les mentalités. On dit que le livre de la Genèse, avec sa parole célèbre « croissez et multipliez », a poussé l'homme occidental à violenter la nature, donc à créer les dégâts écologiques. On présente ça comme une évidence... Mais est-ce exact ? J'ai voulu tirer les choses au clair. J'ai décortiqué les textes : la Genèse, le Deutéronome, le Cantique des cantiques, les prophètes, Job, les évangiles. J'ai aussi regardé ce qui se passait dans le reste du monde antique et les autres civilisations.
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Réchauffement climatique : les nouveaux charlatans (2015) 3/3
Les micro-glaciations
A l’échelle historique, on observe des pulsations du climat entre périodes chaudes et périodes plus froides. Pour des détails, se reporter au livre d’Emmanuel Le Roy-Ladurie cité. Le millénaire de 400 av. J.C. à Charles Martel est appelé ”millénaire ensoleillé” et correspond à une période chaude, où peu de documents évoquent glaciers et hivers rigoureux. Un refroidissement modéré intervient en Europe à partir de 1150-1200, qui dure près de deux siècles, auquel succède un redoux jusqu’à la mort de François Ier. Puis de 1553 à 1850, c’est sur toute l’Europe une période de froid très marqué, avec hivers terribles et étés torrides, sur laquelle on dispose d’une abondante documentation et d’une très riche iconographie ; cette période est appelée le ”Petit âge glaciaire” ; pour en donner une idée : le Rhône a gelé chaque année au niveau de Tarascon entre 1556 et 1610 ; les glaciers alpins et pyrénéens étaient en moyenne huit fois plus volumineux qu’aujourd’hui.