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écologie et environnement - Page 76

  • NUCLÉAIRE : LA GRANDE INCOHÉRENCE DE MACRON

  • La journée du climat, parlons-en !

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    Alors que la lutte contre l’épidémie de Covid-19 et ses conséquences désastreuses sur l’économie du pays monopolise l’attention à juste titre, le 8 décembre, de nombreux médias se sont fendus d’articles ou de reportages sur le . Ils venaient en soutien à des organisations écologistes qui ont décidé de consacrer cette journée à la lutte contre le réchauffement climatique.

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  • La face cachée de l’industrie éolienne

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    À l’occasion de ce nouvel entretien vidéo, Les Eveilleurs ont souhaité se pencher sur la face cachée de l’industrie éolienne, dont la promotion est en réalité beaucoup plus dictée par des intérêts financiers que par des raisons écologiques.

    C’est ce que démontre, chiffres à l’appui, Fabien Bouglé, Conseiller municipal de Versailles, Expert en marché de l’art international, engagé depuis de nombreuses années dans le combat anti-éolien en France, notamment en tant que porte-parole du réseau national ULYSSE qui réunit de nombreuses associations s’opposant en France à des projets de construction de centrales éoliennes.


    https://www.lesalonbeige.fr/la-face-cachee-de-lindustrie-eolienne/

  • Le bio, une échappatoire à la crise agricole ? (texte de 2016)

    Entretien avec Pierre-Marie Launay, producteur laitier

    Pierre-Marie Launay est producteur laitier en Bretagne. Il tient son exploitation à Merdrignac Côtes d'Armor) avec son épouse. Sur leur ferme de 70 hectares, on dénombre 55 vaches laitières. Confronté à la crise agricole, et plus particulièrement à la chute du prix du lait, Pierre-Marie Launay est passé à l’agriculture biologique il y a quelques années, après la crise de 2009 Alors que, dans ce secteur particulièrement, l’agriculture française s'enfonce chaque jour davantage dans la crise, il a bien voulu répondre aux questions de Monde&Vie.

    Monde&Vie : Comment se traduit concrètement la crise agricole chez les producteurs laitiers ? Comment expliquer que des Français, qui travaillent d'arrache-pied, au prix de nombreux sacrifices, aient du mal à vivre de leur labeur ?

    Pierre-Marie Launay : Il faut tout d'abord rappeler que les produits agricoles et plus particulièrement les produits laitiers sont des produits périssables et qu'il n'y a pas d'achat plaisir comme pour un parfum ou un vêtement. En clair, une variation de 3 % des volumes produits peut entraîner une variation de 70 % du prix payé aux producteurs. Aujourd'hui en Bretagne, une tonne de lait coûte 350 euros à produire, et elle est vendue 270 euros. La conséquence est simple : 400 tonnes de production moyenne annuelle donnent 32 000 euros de perte annuelle. On estime que 20 % des fermes laitières vont arrêter dans l'année et les autres voient leur endettement augmenter. Jusqu'à quand ? La préoccupation actuelle des banquiers est de savoir si l'État va garantir les emprunts agricoles.

    Quelle est la responsabilité des politiques mondialistes et libre-échangistes (engagements internationaux de la France, PAC, Union européenne, OMC…) dans cette crise agricole ?

    Cette situation de crise est la conséquence DIRECTE des décisions politiques. Les produits laitiers ont intégré l'OMC en 2009, ce qui a eu pour conséquence d'interdire les droits de douane. Par ailleurs, Bruxelles a supprimé les contingentements de volumes en 2015 ce qui mathématiquement a provoqué une augmentation de la production en Europe, alors que la consommation est stable.

    Enfin, au niveau français, notre ministre de l'agriculture a déclaré qu'il ne pouvait rien faire face à Bruxelles. La pire des fautes, quand on est au pouvoir, c'est de ne pas pouvoir.

    Il était de son devoir de défendre les paysans Français par exemple en faisant du chantage aux aides PAC. Je rappelle que la France verse plus d'argent à l'Europe qu'elle n'en récupère.

    L'an dernier, vous expliquiez à nos confrères de Minute qu'en faisant du bio, vous étiez « sorti du système » et que cela vous avait permis d'échapper à la crise. Le bio serait donc une solution efficace pour les agriculteurs ?

    Le marché bio est à l'opposé de ce qui a été écrit précédemment. La consommation est supérieure à la production, ce qui tire les prix vers le haut. Par ailleurs la nécessité d'attendre deux ans avant de livrer en bio permet d'anticiper les volumes produits et donc de les faire corréler avec les marchés. Le marché bio est en croissance de 15 à 18 % par an. Mais je précise que cette situation est valable pour la plupart des produits ayant une AOC ou une AOP tels que le Comté ou le Camembert de Normandie. Pas de surproduction, donc pas de chute des cours.

    Qu'en est-il de l'efficacité du bio au sein du marché agro-alimentaire ? Les consommateurs pourront-ils vraiment s'y retrouver, dans la mesure où le bio est réputé plus cher, et où les volumes du bio sont bien plus faibles que les produits standards ?

    Aujourd'hui le bio, comme tous les produits de qualité reconnue, tire son épingle du jeu, parce que c'est un moyen d'échapper au rouleau compresseur des importations massives. Le consommateur peut donc jouer un rôle en choisissant des produits de qualité, des produits locaux, ayant une identité. En augmentant la consommation cela permet à la filière de se structurer et de proposer des produits à peine plus chers que les produits tout venant. C'est de plus un cercle vertueux qui crée de l'emploi, protège l'environnement et assure la paix sociale. Et puis, réfléchissons, la nourriture indispensable à la vie, représente actuellement 12 % du budget du ménage type. Est-ce déraisonnable de le passer à 14 ou 15% ?

    Enfin, il n'y a pas de pays sans paysans. Pour le centenaire de la guerre de 1914-1918, rappelons-nous que ce sont les paysans qui ont arrêté l'ennemi. Mon grand-oncle Victor Launay est mort le 21 février 1916, au bois des Caures. Qui, demain, sera prêt pour ce sacrifice ?

    Propos recueillis par Thibault Bertrand monde&vie 16 mars 2016 n°921

  • On nous a changé toute la campagne ! (texte de 2016)

    Phénomène préoccupant, le mitage désigne l’inéxoble avancée des zones aménagées ou construites au détriment des terres arables. Devant cette situation, l’agriculteur s’affirme plus que jamais le gardien de nos paysages.

    Il y a plus d'un mois, ou apprenait que le château de Grignon, à 25 kilomètres à l'Ouest de Paris, occupé par l'AgroParis-Tech, risquait d'être vendu par l'État au Qatar qui envisage d'utiliser le site comme centre d'entraînement pour le club phare du Foot français, le PSG. Anecdote sans importance ?

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  • Court-circuit ou circuits courts ? Où vont les paysans ? (texte de 2015)

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    Entretien avec Michel Collin

    La tension monte dans nos campagnes. Des centaines d'éleveurs ont engagé depuis le début de l'été des actions coup de poing. Ils protestent contre l'effondrement des prix de vente de leurs produits et appellent le gouvernement à agir. Un plan d'urgence de 600 millions d'euros est mis en place… Mais cela n'arrêtera pas pour autant l'endettement à outrance et les exploitations trop grosses. Et si la vraie (et moins onéreuse) solution se trouvait dans un changement de modèle économique ? Est-il possible à l'heure de la toute puissance européenne, de changer, en France, de modèle paysan ? Certains, de plus en plus nombreux, ont de bonnes raisons d'y croire. Rencontre avec l'un d'entre eux, Michel Collin, ingénieur agricole.

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  • Des énergies pas si vertes que ça…

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    Il faut regarder et faire connaître autour de vous ce remarquable documentaire La face cachée des énergies vertes diffusé par Arte (à revoir jusqu’au 22 janvier), signé de deux journalistes, Jean-Louis Perez et Guillaume Pitron. Les personnes qui s’expriment dans ce film sont toutes, à un degré ou à un autre, des spécialistes dans leur domaine. Pour mettre en doute leurs assertions, il faut être d’un niveau comparable : je ne m’y risque pas et préfère les citer.

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  • La face cachée des énergies vertes

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    Un documentaire d’Arte peut-il s’extraire totalement du discours servant le Système ? Non, et celui-ci ne fait pas exception. On ne s’étonnera donc guère que cette vidéo critique sur ce qu’on nous vend comme des énergies vertes ne le soit absolument pas sur la réalité du réchauffement climatique anthropique, auquel elles sont censées nous permettre de faire face.


    Il aurait ainsi pu aller plus loin dans le traitement du sujet, en exposant la tartufferie de cette grande mascarade que sont le réchauffement anthropique et les moyens que l’humanité va pouvoir mobiliser pour limiter les dégâts (Eh oui, bonnes gens, nous n’en sommes plus à pouvoir inverser la tendance !).

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  • Les ours polaires pris dans la 6e extinction ? Alors rien à craindre ! (texte de 2019)

    Comme ces lignes sont écrites les zélateurs de mademoiselle Thumberg sont retournés à leurs smartphones et tablettes. On ne voit donc plus dans les squelettiques manifestations des cancres du vendredi, analphabètes du Climat, les ours polaires grandeur nature en polystyrène de Greenpeace devenus symboles universels de la fonte des glaces arctiques et du réchauffement climatique.

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  • Risques de coupures de courant cet hiver : « La France a bradé son industrie électrique à l’Allemagne »

    Les possibles coupures de courant d’énergie sont la conséquence du fait que nous avons pris la décisions de délaisser le secteur nucléaire, analyse Jean-Louis Butré. Selon le membre du groupe d’experts «Énergie et Vérité», l’éolien et les énergies renouvelables sont bien moins fiables en comparaison. […]

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