Dans la kyrielle d’interdictions, de suppressions, de fermetures comme on n’en avait pas connu depuis l’Occupation – et ce n’est pas une reductio ad hitlerum facile, ce sont les faits -, à côté des couvre-feux, du sort des librairies, des restaurants, des universités, il y a celui des élections.
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Et maintenant, Macron va-t-il encore reporter les élections qui le gênent ?
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Démission imminente de Macron : les indices qui accréditent cette hypothèse
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Mike Pence fait échouer le putsch anti-Trump !
Le mercredi 6 janvier dernier, les médias occidentaux se sont fait une grosse frayeur, certains allant jusqu’à comparer la jacquerie trumpiste du Capitole à une « nouvelle Nuit de cristal », Arnold Schwarzenegger, ancien gouverneur républicain de Californie, dixit. Il n’y a donc pas que de ce côté de l’Atlantique que la réduction ad hitlerum fait des ravages dans les cervelles. Dans le même registre ébouriffé, Steve King, député républicain sortant de l’Iowa, a lui aussi comparé la suppression du compte Twitter de Donald Trump et de ses 88 millions d’adeptes à une « nouvelle Nuit de cristal ».
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Jeu de dupes – Hidalgo, Montebourg, le PS n’a plus de militants mais il a un trop-plein de candidats (Présent)
Quels sont les atouts du PS à 15 mois de la présidentielle ? La masse militante ? Il n’y a plus de militants. La cohérence de sa doctrine ? Personne n’est en mesure d’identifier une « ligne du parti » différente de celle des écolos ou même de LREM, dans sa phase actuelle, étatiste et centralisatrice. Sa culture du débat ? Mais pour qu’il y ait débat, il faut clivages, courants, motions. Il n’y a plus rien de tout cela au PS. Et pourtant les candidats se bousculent. Car, comme chez les généraux de l’Empire, chaque personnalité du PS peut penser que la gloire est à conquérir à la pointe du sabre. Hidalgo et Montebourg ont dégainé les premiers et lancé la charge.
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Les démocrates veulent un impeachment express pour sauver leur peau
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Immigration : Le document que les électeurs doivent lire avant les élections régionales
Bien que reportées de mars à juin, les élections départementales et régionales devraient se dérouler en 2021.
Le Salon beige a évoqué le 8 janvier le « Schéma national d’accueil des demandeurs d’asile et d’intégration des réfugiés 2021-2023 »
Avant les Régionales, les électeurs doivent lire la page 21 du document, avec le tableau intitulé « la cible de rééquilibrage complet ».
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TRUMP : QUEL GÂCHIS !
Interrogé sur TVLibertés, j’avais pronostiqué la défaite de Donald Trump tout en regrettant celle-ci. (https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n69-election-americaine-trump-deja-elimine) L’élection de 2016 avait constitué une surprise. Il faut toutefois se souvenir que Hillary Clinton avait mobilisé bien plus d’électeurs que son adversaire, 66 millions contre 63, et que ce dernier l’avait emporté grâce au gain de quelques Etats qui lui avaient assuré une majorité de grands électeurs, 304 contre 227. Le scrutin de 2020 supprime ce paradoxe aux yeux des Français qui oublient que les Etats-Unis sont une République fédérale, et non une démocratie unitaire.
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Surprise-partie / Portes ouvertes à Washington (Présent)
Vae victis ! « Malheur aux vaincus ! », s’était exclamé le chef gaulois Brennus lorsque les Romains protestaient du trucage de la balance, qui mesurait les trois cents kilos d’or qu’ils devaient payer en rançon aux Gaulois pour que ceux-ci se retirent de Rome. Quelques jours avant, les guerriers avaient tenté de prendre d’assaut de nuit le Capitole, dernier retranchement des Romains. Mais les oies, apeurées par leur arrivée silencieuse, ont caqueté avec la puissance qu’on leur connaît, et ainsi donné l’alerte. C’est alors que les assiégeants proposèrent cette rançon aux assiégés : en échange de l’or, ils repartiront. Le Capitole était sauf.
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Emmanuel Macron prévient solennellement qu’il faudra accepter pacifiquement une éventuelle alternance en 2022
Et quel que soit le vainqueur :
Nous ne céderons rien à la violence de quelques-uns qui veulent remettre en cause la démocratie (…)
Quand, dans une des plus vieilles démocraties du monde, des partisans d’un président sortant remettent en cause, par les armes, les résultats légitimes d’une élection, c’est une idée universelle – celle d’un homme, une voix – qui est battue en brèche (…) C’est notre choix, depuis plusieurs siècles, de mettre la dignité humaine, la paix, le respect de l’autre, la reconnaissance de la liberté au-dessus de tout, qui est aujourd’hui menacé dans nos démocraties »
Emmanuel Macron commentait bien sûr les évènements qui se sont passé aux Etats-Unis au Capitole le 6 janvier 2021. Nul doute qu’il tiendra le même discours en 2022 en cas de manifestations violentes en France dans l’hypothèse de sa défaite au second tour face à un(e) candidat(e) de l’opposition …
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Macron en panique : et si Michel Barnier était candidat contre lui en 2022 ?
Décidément, la cote de popularité d’Emmanuel Macron doit être bien basse, lui qui fait exploser pourtant tous les records d’audience chaque fois qu’il doit nous annoncer nos nouveaux horaires de sortie. Un signe ne trompe pas : le réveil des ambitions à droite, chez LR. Pas une semaine sans qu’un second rôle de ce parti en perdition (8 % aux dernières européennes, perte de Bordeaux et Marseille aux dernières municipales, hémorragie historique de militants) ne réussisse à capter un peu de lumière et à faire miroiter qui son « ambition » (pour la France, bien sûr), qui sa volonté d’« être utile ».