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élections - Page 119

  • Election aux Etats-Unis : les révélations de Rudy Giuliani et Sidney Powell

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    Résumées par Christian Daisug dans Présent :

    Membre de l’équipe des avocats de la Maison-Blanche, Giuliani a une réputation inébranlable, ce qui confère à ses affirmations un indéniable sérieux. Il présenta une dizaine de preuves montrant, à l’évidence, que ces irrégularités ont profité des innombrables failles d’un système obsolète, approximatif et donc dangereux. Mais Giuliani alla plus loin. Il expliqua que l’étendue de la fraude et en même temps son déroulement dans des fiefs démocrates avaient forcément nécessité une coordination et donc un « cerveau » à un poste central de commandement. Nous sommes bien là en présence d’une opération clandestine minutieusement programmée : un hold-up obéissant à toutes les lois du genre.

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  • 20% des Français seraient prêts à voter pour le général de Villiers, selon un sondage

    Selon un sondage Ifop pour Valeurs Actuelles, 20% des Français se disent « prêts » à voter pour l’ancien chef d’état-major des armées pour l’élection présidentielle 2022, s’il venait à se présenter. Un score historique pour un « non-candidat ». Pour rappel, l’Ifop en avait testé deux autres en mai dernier, le philosophe Michel Onfray et l’humoriste Jean-Marie Bigard, et ils n’avaient respectivement rassemblé que 9% et 13% d’intentions de vote.

    Atlantico

    https://www.tvlibertes.com/actus/20-des-francais-seraient-prets-a-voter-pour-le-general-de-villiers-selon-un-sondage

  • Le quart des adhérents LR favorables à une alliance avec le RN

    Le quart des adhérents LR favorables à une alliance avec le RN

    Dans une enquête intitulée « Quel visage à droite pour la présidentielle de 2022 ? », réalisée par Oser la France (mouvement de Julien Aubert) du 18 au 23 octobre 2020 auprès de 16 317 personnes, quasiment tous adhérents ou ex-adhérents du parti Les Républicains, près de 25% estiment que la stratégie de la droite est de s’allier avec le Rassemblement National.

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  • Censure : le patron de Twitter recadré par un sénateur républicain

    Depuis que les médias ont proclamé la victoire de Joe Biden, les tweets de Donald Trump sont affublés d’un commentaire de Twitter. Voici un exemple :

    Lors d’une audition, le sénateur Ted Cruz a mis le patron de Twitter Jack Dorsey face à ses contradictions sur la censure des tweets sur la fraude électorale.

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  • Marc Rameaux : Souveraineté, économie de marché et élections aux USA (entretien au Club du Mercredi)

  • Progressistes et populistes face-à-face

    Chronique de Paysan Savoyard (n°238 – novembre 2020)

    Que Trump soit définitivement battu ou qu’il réussisse à renverser la situation sur le plan judiciaire, que sa défaite soit intervenue au terme d’un processus électoral régulier ou qu’elle soit le résultat d’une fraude massive, tout cela ne change rien à la situation qui est aujourd’hui celle des Etats-Unis : il y a deux Amérique, probablement irréconciliables. L’Amérique des Américains blancs de la classe moyenne et de la classe populaire, opposés à l’immigration et au libre-échange mondial qui ont bouleversé et dégradé leurs conditions de vie et détruit leurs emplois. Et l’Amérique de la classe supérieure, alliée aux minorités raciales, toutes deux favorables à l’immigration et à la mondialisation, par idéologie et parce qu’elles en tirent profit. Ces deux Amérique, l’Amérique populiste et l’Amérique progressiste, n’ont plus rien en commun. Elles pèsent le même poids démographique. Et elles sont face à face.

    La situation est peu ou prou la même en France et en Angleterre. Elle est en train de devenir identique dans presque tous les pays d’Europe.

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  • Joe Biden, pantin des banquiers et des voyous de Black Lives Matter

    Joe Biden, pantin des banquiers et des voyous de Black Lives MatterDe Christian Daisug dans Présent :

    […] Depuis le 3, on s’est aperçu à la lecture de certains jugements que peu de juges de districts ou de cours d’appel osent avouer leur certitude qu’une fraude sournoise et efficace a transféré la victoire de Trump à Biden. Tout est là. Les avocats du président auront beau étaler devant la justice des preuves irréfutables que les urnes ont été bourrées, que des morts ont voté par milliers, que des non-inscrits sont parvenus à glisser un bulletin dans l’urne, s’ils ne déclenchent pas dans les esprits le ferment du doute, leurs efforts seront anéantis. Ce qui a manqué à Trump, en raison de la complicité unanime des gros médias et de la censure inouïe des réseaux sociaux, c’est la psychose d’une fraude massive. On est resté dans le pointillisme, l’occasionnel, l’accessoire. Oui, on a peut-être fraudé en Pennsylvanie, au Michigan et en Arizona, mais pas plus que les autres années. Les vociférations de Trump ne sont que les sanglots d’un perdant.

    Car il y a eu un double piège. Le premier a enfermé Trump dans une spirale d’irrégularités qui l’ont empêché de riposter efficacement. Le second l’a condamné à l’attitude du mauvais perdant en ne réclamant qu’une chose : le compte des votes légaux. Ce simple bon sens a été perverti par la propagande ennemie. Biden, pantin jusqu’au bout de ses ficelles, en a profité le premier. Il poursuit, sous couvert de son prétendument officiel « bureau du président élu » (une invention d’Obama en 2008), le ficelage de sa transition vers une ère gaucho-globaliste. Mais déjà frappent à sa porte deux de ses anciens complices qui exigent des rôles actifs dans l’éventuelle perspective d’un nouveau régime : les banquiers de Wall Street – ils s’empressent de se réserver des places de choix dans les ministères clés de l’Economie, du Commerce et du Trésor –, et les dirigeants déchaînés de Black Lives Matter. Eux n’hésitent pas à clamer que « l’éviction de Trump n’aurait jamais eu lieu » sans leur concours et qu’une bonne dose de leur programme devra être injectée dans l’administration démocrate. Biden flanqué du capitalisme vagabond et du radicalisme révolutionnaire : le spectre d’une 46e présidence.

    https://www.lesalonbeige.fr/joe-biden-pantin-des-banquiers-et-des-voyous-de-black-lives-matter/

  • Présidentielle américaine. Le combat continue

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    Par Frédéric Eparvier, cadre dirigeant d’un grande entreprise française à caractère stratégique ♦ Près d’une semaine après les élections américaines, le dépouillement des voix continue, alors que les couteaux des avocats s’aiguisent, car contrairement à ce que racontent les médias français (Gilles Bouleau au JT d’hier soir par exemple), Joe Biden n’est pas le Président « Élu », c’est-à-dire qui a gagné les élections, en attendant sa prise de fonction officielle. Il ne le sera qu’après le vote des Grands Électeurs prévu le 4 décembre, ou si Donald Trump devait reconnaître sa défaite auparavant, ce qui ne semble pas être dans la psychologie du personnage.

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