Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 124

  • Le Samedi Politique avec Gérald Olivier – Covid, Etat profond, « fake-news media » : Trump contre tous ?

    Le 3 novembre prochain, dans moins d’un mois, le verdict tombera… ou pas !

    En route pour un deuxième mandat, Donald Trump aura vécu une année 2020 particulièrement mouvementée. Son bilan économique est largement chahuté par l’épidémie de Covid-19. Un point sur lequel le camp démocrate, fébrilement emmené par Joe Biden, a bien l’intention d’insister. La mort de George Floyd a également mis le feu aux poudres dans de nombreux Etats démocrates, donnant lieu à des situations véritablement insurrectionnelles agitées par des officines antiracistes, notamment financées par Soros.

    De leur côté, les médias, comme en 2016, s’en donnent à cœur joie pour jouer leur partition simple à résumer : »Haro sur Trump ! ».

    Journaliste spécialiste de la politique américaine et des Républicains, Gérald Olivier (Sur la route de la Maison Blanche Ed Jean Picollec) dessine le panorama de la dernière ligne droite de la présidentielle américaine. Une présidentielle tellement incertaine que nul ne peut affirmer aujourd’hui que le prochain président des Etats-Unis sera connu le 3 novembre prochain.


    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-avec-gerald-olivier-covid-etat-profond-fake-news-media-trump-contre-tous

  • Contre Joe Biden, Donald Trump s’en prend aux tabous de l’Amérique médiatique

    img_6271-828x475.jpg

    Ceux qui n’attendaient pas grand-chose du premier débat entre  et  n’ont pas été déçus. Quant à ceux qui en attendaient quelque chose, ils ont dû l’être tout autant, chacun ayant campé sur ses positions. Trump pensait faire craquer son challenger démocrate : en vain ; tandis que Biden empruntait le vocabulaire et le style de son adversaire républicain, le traitant de « clown » et lui intimant l’ordre de « la fermer », ce qui n’a pas aidé à rehausser le niveau de cette soirée.

    Dans ce jeu à somme nulle, c’est encore l’actuel président qui sort le mieux parce que demeurant le plus crédible. Lui au moins, croit en ce qu’il dit et ce qu’il entend représenter, alors que Joe Biden n’est jamais qu’un candidat par défaut, au contraire d’un Barack Obama qui lui, incarnait véritablement l’autre Amérique, celle des côtes Est et Ouest, contre celle du milieu, celle de Donald Trump. Les élites méprisantes contre le peuple méprisé ; on n’en sort pas, on n’en sort plus.

    Lire la suite

  • Pologne : des mauvais perdants

    L’élection présidentielle, en Pologne a vu la victoire du PiS, le Parti Chrétien Conservateur. Au grand dam des européistes des mondialistes.

    Réélu à la présidence de la Pologne le 12 juillet dernier, Andrzej Duda doit faire face à une contestation en justice de son adversaire malheureux. Mais surtout à l'opposition d'une grande part de la classe politico-médiatique européenne qui n'admet toujours pas que l'élu conservateur du PiS puisse avoir le soutien d'une majorité de Polonais alors que Bruxelles n'apprécie guère son indépendance politique.

    On donnait les deux hommes au coude à coude. Et, de fait, Andrzej Duda, le président sortant et candidat du PiS, et Rafal Trzaskowski, son adversaire libéral de la Plate-forme civique, auront eu des résultats très proches : 51,2% contre 48,8%. Aussi n'a-t-on pas tardé à entendre grincer bien des dents...

    Lire la suite

  • Des élections sénatoriales dans l’indifférence total

    technocrates2-1024x456-1-845x456.jpg

    Les élections sénatoriales se sont déroulées dans l’indifférence la plus totale des Français. Dans la Ve République, l’exécutif l’emporte sur le législatif. Celui-ci n’existe que dans la mesure où il y a cohabitation et lorsque la majorité de l’Assemblée nationale soutient un gouvernement opposé au président de la République. Le quinquennat et l’élection des députés dans la foulée de celle du Président ont fermé cette hypothèse pour donner systématiquement au chef de l’État des majorités introuvables. Et cette fois, elle est à peine croyable par son mélange d’incompétence et de soumission. L’Assemblée vidée de son rôle de contrôle du gouvernement, comme l’ont montré les commissions d’enquête dirigées depuis l’Élysée, le , dont le rôle est marginal depuis 1959, incarne une opposition limitée dans la forme et presque nulle sur le fond. Certes, il peut bloquer toute modification parlementaire de la Constitution, mais ne peut que freiner les lois voulues par le pouvoir et par la majorité de l’Assemblée nationale qui finissent par s’imposer au bout de la « navette ».

    Lire la suite

  • Donald Trump nomme Amy Coney Barrett juge à la Cour Suprême

    Donald Trump nomme Amy Coney Barrett juge à la Cour Suprême

    Il l’a donc fait : le président des Etats-Unis a choisi Amy Coney Barrett, professeur à la faculté de droit de l’université Notre-Dame (Indiana), mère de 7 enfants (dont 2 adoptés), déjà nommée par Trump juge à la 7e cour d’appel fédérale (Chicago) en 2017, catholique et pro-vie.

    En 2017, le choix de Trump avait été ratifié par le Sénat des États-Unis par 55 voix contre 43, alors que le Sénat ne comptait alors que 51 membres Républicains (ils sont 53 actuellement) : preuve que plusieurs sénateurs Démocrates avaient alors voté pour elle.

    Il reste au Sénat de confirmer la nomination de cette brillante magistrate de 48 ans. Dans son discours à la Maison Blanche, Donald Trump a salué Mme Barrett :

    « C’est une femme qui a connu des réussites sans pareille, à l’intelligence hors pair, aux compétences remarquables ».

    Jeanne Smits souligne qu’elle sera la seule femme ayant des enfants à exercer la fonction de juge à la Cour suprême. Sonia Sotomayor, nommée par le président Barack Obama, est divorcée et n’a jamais eu d’enfants, tandis qu’Elena Kagan, également nommée par Obama, ne s’est jamais mariée.

    https://www.lesalonbeige.fr/donald-trump-nomme-amy-coney-barrett-juge-a-la-cour-supreme/

  • Rachida Dati : cap sur l’Elysée ?

    « Gagner l’élection présidentielle de 2022 » : Rachida Dati a levé le voile sur ses intentions. Dans un entretien accordé au quotidien britannique The Times, le maire LR du VIIème arrondissement de Paris a dévoilé son objectif : devenir Présidente de la République en 2022.

    L’ancien Garde des Sceaux de 2007 à 2009 se dit prête à « mener cette bataille », et présente dans les colonnes du quotidien les problèmes auxquels la France fait face : « Le chômage est élevé et nous avons des niveaux de chômage des jeunes sans précédent. Nous avons des manifestations tout le temps, le taux de criminalité a explosé et nous avons une dette exponentielle » .

    Lors de l’élection municipale de cette année, Rachida Dati avait obtenu 33,80% des voix face au maire sortant Anne Hidalgo, gagnante avec 48,70 %. Si Rachida Dati s’engage bien dans la course à l’Elysée, elle pourrait se retrouver encore une fois face à Anne Hidalgo ; en effet, le maire de la Capitale laisse planer le doute quant à une éventuelle candidature aux futures présidentielles. La sociologie de la France sera toutefois bien différente de l’électorat typique de la Capitale.

    https://www.tvlibertes.com/actus/rachida-dati-cap-sur-lelysee

  • Le groupe LR reste majoritaire au Sénat

    Le groupe LR reste majoritaire au Sénat

    Près de la moitié des sièges du Sénat était à pourvoir hier.

    Résultats à retrouver ici.

    Le groupe LR, fort de 144 membres dans le Sénat sortant, passe à 150 sièges. Son allié de l’Union centriste perd un siège et se retrouve à 50 élus.

    Le PS perd 5 élus et en compte 66. Les Radicaux de gauche perdent 11 sénateurs et ne se retrouvent plus que 13.

    Les écologistes franchissent la barre des 10 sièges nécessaires à la constitution d’un groupe au Sénat avec 12 élus.

    Malgré des élections municipales catastrophiques, LREM parvient à se maintenir au Sénat avec 22 sièges (moins 1). Le groupe AGIR (ex LREM et UDI) perd 3 sièges et conserve son groupe avec 10 élus.

    Lire la suite

  • « La fraude que préparent les démocrates va se terminer devant la Cour suprême, et c’est pourquoi il est très important que nous ayons neuf juges »

    « La fraude que préparent les démocrates va se terminer devant la Cour suprême, et c’est pourquoi il est très important que nous ayons neuf juges »

    Adrien Jaulmes, dans Le Figaro, évoque le refus de Donald Trump de s’engager à ce que la transition postélectorale se déroule « pacifiquement » quel que soit le résultat de la présidentielle. Le président américain a répondu :

    « Eh bien, il va falloir voir ce qui se passe ». « Vous le savez, je me suis beaucoup plaint des bulletins de vote. Et les bulletins de vote sont un désastre… ».

    Le vote par correspondance pourrait permettre des fraudes massives au profit des démocrates.

    « Débarrassez-vous de ces bulletins de vote, et vous aurez un transfert très – très pacifique – il n’y aura pas de transfert, franchement, il y aura une continuité… Les bulletins de vote sont hors de contrôle… Les démocrates le savent mieux que qui que soit ». « La fraude que préparent les démocrates va se terminer devant la Cour suprême, et c’est pourquoi il est très important que nous ayons neuf juges ».

    Lire la suite