Après l’entrée d’Europe-Ecologie-les Verts dans plusieurs équipes municipales, la « vague verte » est sur toutes les langues. Mais quelle écologie ? Julien Bayou, patron des Verts, se félicite d’avoir une mère maoïste et porteuse de valises pour le FLN algérien. Rappelons que ces fameux porteurs de valises, qui n’ont laissé d’autre choix aux Européens d’Afrique que « la valise ou le cercueil », ont aidé le Front de libération national dans sa lutte, qui consistait à obtenir l’indépendance par une politique de la terreur visant hommes, femmes et enfants sans discernement. Si l’État Islamique et les autres groupes terroristes se réclamaient d’une nation à libérer, on les présenterait comme des héros dans quelques années.
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La « vague verte » ou la mort de l’écologie
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La mort de la démocratie
Il devient de plus de plus évident que la démocratie française est en voie d’extinction. Sa disparition ne se produit pas sous la forme de l’instauration d’une dictature sanglante : élimination physique des opposants, interdictions des partis, suppression du droit de vote et de la liberté de presse. Mais ce n’est guère mieux : elle meurt de l’indifférence. Les Français votent de moins en moins. Aux six législatives partielles de dimanche, la participation connaissait un nouvel effondrement. L’abstention dépasse 79 % dans la 1re circonscription du Haut-Rhin, 82 % dans la 5e de Seine-Maritime et dans la 3e de Maine-et-Loire, 84 % dans la 1re de la Réunion, 83,4 % dans les Yvelines et atteint même 87 % dans la 9e circonscription du Val-de-Marne. Dans ce contexte, le parti présidentiel LREM se ridiculise : aucun de ses candidats n’atteint le niveau pour se présenter au second tour. L’un d’eux réalise à peine 3% ! Certains se rassurent à l’idée que seule l’élection présidentielle intéresse les Français. Ils se voilent la face, refusent de voir la réalité. Qu’est-ce qu’une démocratie sans partis politiques, sans projets ni débat d’idées, avec des médias largement formatés, sans parlement, sans députés, sans électeurs, sans peuple ? Dans l’avenir tel qu’il s’esquisse, il ne restera in fine en guise de paysage politique qu’un petit pitre élyséen élu avec l’adhésion initiale de 10% des électeurs*, un pantin bavard, gesticulant du matin au soir, au-dessus des cendres de feue, la démocratie, pour donner l’illusion du mouvement. Mais qui aura l’indécence ou la stupidité de qualifier un tel système de démocratie ?
* 20% au 1er tour avec 50% de participation.
Maxime TANDONNET
https://maximetandonnet.wordpress.com/2020/09/23/la-mort-de-la-democratie/
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Populisme : C’est une vague ? Non, Sire, c’est un raz-de-marée !
Ceux qui ont trop pris l’habitude du pouvoir sont convaincus que le populisme n’est qu’une parenthèse. Ils pensent qu’il suffit de serrer les dents le temps d’un ou deux mandats et que les choses retourneront à la normale dans les quelques pays qui ont cédé. Il faut supporter Salvini, Trump ou Orbán le temps que leurs électeurs se lassent d’eux. Leurs provocations et leurs excès finiront bien par lasser, n’est-ce pas ? Et si c’était plutôt l’inverse ? Et si la France était le prochain pays à tomber ?
Casser les règles pour rétablir des règles
Selon un récent sondage qui vient après beaucoup d’autres de la même teneur, 60 % des Français perçoivent les migrants comme une menace et ils sont même 77 % à penser que « l’arrivée d’un leader fort, capable de casser les règles » serait une « solution pour améliorer la situation du pays ». Il y a aujourd’hui en France une soif de démocratie, de respect de la volonté populaire qui est largement bafouée notamment sur la question de l’immigration.
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Thierry Mariani : “Chez LR, ils vont continuer à promettre des mesures de fermeté sans jamais pouvoir les appliquer”
Extrait de l’interview (Nice-Presse) de Thierry Mariani qui pourrait jouer un rôle important au sein de la liste RN en PACA pour les régionales :
(…) Chez LR, des élus comme Éric Ciotti et Lionnel Luca semblent, sur certains points, proches de vos idées et de celles du Rassemblement national. C’est à eux que vous vous adressez ?
Les choses ne sont pas simples. Quand vous êtes maire ou élu départemental, vous ne pouvez pas prendre le risque de finir enclavé. Bien sûr que ces élus auraient leur place chez nous. Chez Les Républicains, ils vont continuer à promettre des mesures de fermeté sans jamais pouvoir les appliquer par peur de perdre les centristes ou l’adhésion des journalistes. On l’a vu sous Nicolas Sarkozy.
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Marion Maréchal : « Il faut peut-être se défaire de l’idée de l’homme providentiel »
Marion Maréchal répond aux questions de Boulevard Voltaire sur le centre d’analyse et de prospective que lance l’ISSEP (Institut de sciences sociales, économiques et politiques qu’elle a fondé en 2018), la situation politique et le cap à tenir, la présidentielle de 2022 et l’avenir de la droite.
Vous avez fondé le Centre d’Analyse Prospective. Quel est le but de ce think tank ?
Un laboratoire d’idée comme on dirait en français. L’idée est de développer le pôle recherche de l’ISSEP qui a déjà un pôle formation avec la formation continue et le magistère, de contribuer au débat d’idée public et politique en s’emparant de sujets qui, selon moi, de manière très discrétionnaire, sont peu ou mal exploités. L’originalité de ce laboratoire d’idée viendra moins sur le modèle. On peut retrouver des grands think tank aujourd’hui, que ce soit l’institut Montaigne, l’IFRAP ou autre. Cette originalité viendra plutôt des sujets dont on s’emparera et des contributeurs qui seront associés.
Ce think tank a été lancé notamment parce que vous avez fait le constat que les partis politiques sont un modèle sans doute dépassé. On l’a vu récemment avec la République En Marche qui a perdu ses différents cadres comme si finalement ce parti était une espèce de kit jetable donné à Emmanuel Macron le temps de se faire élire. Maintenant, il ne sert plus à rien…
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Pourquoi Trump peut encore gagner
Il se manifeste à peine un peu plus de prudence que lors de la dernière élection présidentielle américaine. Pour autant, presque tous les analystes et journalistes français veulent croire à une défaite de Donald Trump. Mais pour qu’il y ait défaite du candidat républicain, faudrait-il encore que son opposant ait l’envergure suffisante pour convaincre les électeurs américains.
Biden complètement dépassé sur internet
Un coup d’œil à la page Facebook de Joe Biden est très instructif : pas de portrait du candidat démocrate en photo de profil. On n’y trouve qu’un simple appel à s’inscrire sur les listes électorales. C’est dire à quel point on compte peu sur la figure du candidat Biden pour gagner au sein même de son équipe de campagne. Chose étrange, la photo de profil précédente date du 26 mai et présente un candidat démocrate peu à son avantage.
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Dans la Somme, la résistance "Stop éoliennes 80" veut également vous défendre au Sénat
STOP EOLIENNES 80
Il faut sauver le département de la Somme !
La prolifération de ces immenses machines appelées « éoliennes », est sur le point de recouvrir en totalité le beau territoire de notre cher département de la Somme le transformant malheureusement en zone industrielle.
Une si belle région, si convoitée, ne peut pas subir un tel sort. C’est pourquoi, en lanceur d’alerte et défenseur du département, je me présente à votre suffrage.
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Sénatoriales : une liste anti-éoliennes dans l'Aisne
Votez pour l’Aisne souveraine
C'est sous le nom de "Désastre éolien 02" que cette liste, dont certains candidats sont de bons amis, se présentera aux élections sénatoriales en dénonçant un péril que la classe politique en place refuse de prendre en compte, malgré de nombreux signalements.
Le péril des éoliennes
qui envahissent notre département !Péril environnemental, économique et sanitaire:
ENVIRONNEMENTAL : La multiplication des éoliennes enlaidit nos paysages de jour et de nuit, détruit de grandes surfaces agricoles, tue de nombreux animaux volants, oiseaux et chauves-souris.
Où sont les vraies études d’impact ?...
ÉCONOMIQUE : Les éoliennes fournissent un courant électrique cher et aléatoire nécessitant des ponctions importantes sur les factures d’énergie, d’une part et d’autre part, la mise en œuvre de centrales thermiques polluantes pour les périodes sans vent.
Le produit de l’installation est sans aucune mesure avec les frais occasionnés par leur démantèlement en fin de service.
Le capital des riverains disparaît suite à la perte de valeur de l’immobilier.
SANITAIRE: On soupçonne fortement de graves conséquences sur la santé des riverains (céphalées, acouphènes, insomnies, eczema..., voire cancers).
Sans parler des problèmes qui touchent les animaux d’élevage et la faune sauvage.
Enfin, en ce qui concerne l’emploi, les éoliennes sont particulièrement bénéfiques pour les Allemands, les Hollandais et les Danois mais en aucun cas pour les Français.
http://synthesenationale.hautetfort.com/
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Depuis la Révolution ce sont toujours les marginaux, les criminels et délinquants que la gauche mobilise
Les partisans de Joe Biden ne reculent devant rien : le milliardaire et ancien maire de New York, Michael Bloomberg, a levé plus de vingt millions de dollars pour payer les dettes d’anciens détenus en Floride afin qu’ils puissent voter à l’élection présidentielle du 3 novembre.
Certains estiment que cet argent pourrait affecter le résultat de la présidentielle, en raison du rôle crucial de la Floride dans l’issue du scrutin.
Une loi entrée récemment en vigueur dans cet État suspend le droit de vote des criminels qui ont purgé la peine de prison à laquelle ils ont été condamnés mais ont encore des amendes ou des frais de justice à payer. Michael Bloomberg justifie donc :
«Le droit de vote est fondamental pour notre démocratie et aucun Américain ne devrait être privé de ce droit». «En travaillant avec la FRRC, nous sommes déterminés à mettre fin à la déchéance électorale et à la discrimination qui en a toujours été la cause».
La gauche Black Lives Matter, celle qui protège les voyous, les racailles et les criminels, tente le tout pour le tout pour faire pencher la balance.
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Robert Ménard discute avec Brigitte Barèges, maire LR de Montauban, en vue des régionales
Puisque les états-majors parisiens du RN et de LR ne veulent de l’union des droites, elle va se faire sur le terrain :
Elle ne s’en cache pas. Brigitte Barèges, maire de Montauban (Tarn-et-Garonne) et membre du bureau politique de LR, aime bien discuter avec son homologue de Béziers (Hérault), Robert Ménard, élu en 2014 avec le soutien du RN et chantre de « l’union des droites ». L’été dernier, la maire a déjeuné avec l’élu biterrois dans sa ville à proximité de laquelle elle possède une maison de vacances. Elle lui rend l’invitation ce jeudi 1er octobre en le recevant pour une conférence publique au stade de rugby (…).