Le paysage politique semble figé et, dans une sorte de statu quo, on attend tous 2022 pour revivre la manche retour du match entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron.
La politique est devenue triste, dans ce nouveau monde : on n’invente plus rien, on ne crée plus rien, on se contente de surfer sur l’actu, c’est la quête permanente du buzz.
Ce jeu convient parfaitement à Macron et aux progressistes qui savent qu’un nouveau duel face à Marine Le Pen tournera à leur avantage, au nom du sacro-saint front républicain, alors ils ne font pas de vague, font le dos rond quand ils perdent aux élections intermédiaires tout en comptant tranquillement le nombre de jours restant à tenir jusqu’à avril 2022.