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élections - Page 133

  • Une vague verte ? Non, le retour à vélo de la gauche immigrationniste et mondialiste !

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    Il fallait oser l’imaginer : le PS est, en fait, un mutant. Le moribond Parti socialiste renaît de ses cendres dans un étrange amas fait d’alliance Verte, de France insoumise, de Parti communiste et d’extrême gauche.

    Pris un à un, ces partis politiques français ne représentent pas grand nombre d’électeurs ; mais déguisé sous le label vert de l’écologie, cet étrange alliage se met à sentir bon la campagne, à vendre des promesses de planète dépolluée, d’artères piétonnières paysagées, de sacs en amidon de maïs et de trottinettes électriques. Gentillet.

    Le parti écologiste a remporté son premier pari, dimanche, lors des  : celui du recyclage politique.

    Grégory Doucet, élu maire de Lyon dimanche soir, sans aucun mandat ni expérience politique, a fait alliance avec le Parti socialiste et les listes France insoumise. Léonore Moncond’huy, élue maire de Poitiers, a été également soutenue par le Parti communiste, Génération.s, Nouvelle Donne et Génération Écologie, au sein d’un gloubi-boulga appelé « Poitiers collectif ».

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  • À peine élus, les colistiers font un doigt d’honneur aux habitants

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    Les neuf colistiers du maire fraîchement élu de  (Oise) s’étaient réunis pour fêter leur victoire. Champagne, fiesta. Une photo pour immortaliser la soirée, doigts d’honneur tendus vers l’objectif. « On les a bien eus, allez tous vous faire… » De l’élégance, de la classe, l’équipe signe son éthique pour la commune. Le message semblant être adressé à quiconque regarde la photo, partisans et opposants se voient ainsi mis dans le même panier.

    Un tel chef-d’œuvre de convivialité méprisante ne pouvant rester confidentiel, l’une des participantes s’empresse de publier l’image sur Facebook, explique Le Parisien. On a le sens de la com’ ou on l’a pas. Elle l’avait.

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  • Les rats resteront dans Paris

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    La chronique de Philippe Randa cliquez là

    Hidalgo réélue ! Qui l’aurait cru il y a seulement un an au vu d’un bilan économique et sanitaire désastreux : Paris surendettée, envahie de rats, aux trottoirs parsemés de SDF, bruyante et embouteillée comme jamais, malgré une persécution permanente des automobilistes… On se disait alors que même les « bobos », cœur de l’électorat socialo-écologistes, n’allaient plus le supporter… et reporteraient automatiquement, forcément, leurs bulletins de vote sur le ou la candidate d’opposition, d’où la certitude affichée alors pour la République en Marche de conquérir sans vraiment de difficultés la Capitale de la France.

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  • Municipales : Quatre enseignements, par Michel Corcelles.

    Quatre enseignements de l’élection municipale du 28 juin laissent penser que « la crise » que nous traversons ira s’amplifiant.

    1/ même si, en soi, un taux d’abstention ne met pas en question la légitimité des élus, en revanche le constant accroissement du dit taux illustre un processus de dégradation de l’engagement civique. Avec une abstention estimée à 59,5 % le 28 juin L’abstention est ainsi estimée 59,5 % supérieure même à celui d’élections européennes pourtant peu mobilisatrices. Psychologiquement les comparatifs sont plus révélateurs des comportements et du « mouvement » social que les chiffres absolus.

    Si tant est qu’un taux d’abstention traduise la force du lien entre le citoyen et les institutions, celui du second tout des municipales montre que jamais ce lien n’a été aussi faible

    1er enseignement  : Plus que jamais le taux d’abstention révèle la coupure «  Société civile  »/Partis politiques ou si on préfère pays légal/pays réel.

    2/ Au soir du 28 juin LREM reste le parti disposant d’une majorité à l’Assemblée Nationale et au Parlement. Même si cette majorité s’effrite et nonobstant son insuccès lors du scrutin municipal LREM reste le parti qui gouverne alors même qu’il vient de faire la preuve de son manque d’enracinement dans le pays. C’est un parti ectoplasmique qui gouverne la France

    Et c’est un parti non moins ectoplasmique qui est le vainqueur de ce 2ème tour. EELV en effet reflète une société permissive, acquises aux réformes inspirée par Terra Nova et d’autres «  réseaux sociétaux  », en connexion aléatoires avec les groupes «  racisés  ». Ce qui s’est passé à Colombes est un fait majeur  : les «  quartiers  » ont déferlés sur le centre-ville dès l’annonce de la victoire des Verts.

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  • Quelles unions ? Quelles droites ?

    6a00d8341c715453ef0263e953c007200b-320wiL'étiquette de droite n'est revendiquée à nouveau en France que depuis une date assez récente, alors même que presque la moitié de l'électorat s'y réfère. Le mot aura été péjoratif pendant des décennies. Et, de toutes manières, il recouvre une grande variété d'idées. Or, pour la plupart, leurs défenseurs respectifs ont toujours exprimé des réticences face à la nécessaire coalition de toutes les forces qui s'opposent à la gauche.

    La vie était définie par Charcot comme l'ensemble des forces qui s'opposent à la mort : contre la gauche, les droites devraient le comprendre.

    Dans ma présentation des textes de Chateaubriand rassemblés sous le titre "Le Moment conservateur", je crois avoir démontré que depuis la rupture, en 1824, entre l'auteur des Mémoires d'Outre Tombe et le grand politique reconstructeur méconnu qu'était Villèle, – lequel parvint à gouverner la France de 1821 à 1828 – deux familles très différentes de droitiers se sont toujours opposées. Elles ne se sont pratiquement jamais réconciliées, la droite littéraire ne trouvant jamais d'entente avec la droite gestionnaire.

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  • Une réunion de la droite est aujourd’hui beaucoup plus facile à réaliser que le maintien par Emmanuel Macron de son « en même temps »

    Intéressante analyse lue sur Atlantico :

    L’opinion est actuellement segmentée en trois blocs de dimension à peu près équivalente:

    une gauche revigorée, « plurielle » disent certains, où l’on trouve gauchistes, socialistes et Verts. On ne saurait trop insister sur les affinités, sinon la parenté idéologique de ces courants (en particulier sur la question multiculturelle), d’une part; mais sur les écarts sociaux d’autre part. Ce bloc comprend potentiellement un courant égalitaire et souverainiste, l’aile gauche des Gilets Jaunes, pourrait-on dire. Sur le papier, Jean-Luc Mélenchon a beaucoup d’atouts pour réunir cette gauche-là; mais il lui faudrait sortir un peu plus des métropoles que ce qu’il fait actuellement et fréquenter un peu plus la France périphérique. Peut-être refera-t-il un score de 20%. Mais pour être sûr de se retrouver au second tour de la présidentielle, il faudrait être au-dessus de 25%.

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  • Vague verte aux municipales : la charge d’Éric Zemmour contre les “bobos”

    Source : Valeursactuelles

    Au lendemain de plusieurs grandes victoires vertes dans les métropoles, l’éditorialiste s’est inquiété de la politique menée par les écologistes et a fustigé leur électorat : les “bobos”. 

    Lyon, Bordeaux, Strasbourg, Poitiers, Grenoble… La « vague verte » annoncée a bien frappé la France lors des élections municipales. En s’imposant dans de nombreuses grandes et moyennes villes, les écologistes font émerger une nouvelle force qui compte dans le paysage politique. Dans Face à l’info, lundi 29 juin, Éric Zemmour s’est inquiété de la politique menée par cette nouvelle gauche, basée, selon lui, sur l’immigration, le féminisme et le laxisme. L’éditorialiste ne s’est également pas fait prier pour conspuer l’électorat écologiste qu’il nomme les « bobos »

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  • Perpignan : ville RN

    Quand le RN a un très bon candidat, un candidat qui s’investit pour sa ville, sans compter son temps, qui occupe le terrain, qui est capable de faire travailler militants et sympathisants en équipe, sans sectarisme, et quand ce candidat tient un discours clairement de droite, il gagne. Telle est la leçon de la brillantissime élection de Louis Aliot à Perpignan.

    Aliot affrontait un maire sortant LR. Toutes les autres listes s’étaient désistées pour ce dernier. Sur le papier, le front républicain était parfait, et cela aurait dû se traduire par une défaite du député RN des Pyrénées-Orientales. Au premier tour, Aliot avait recueilli 35,7 % des voix : cela représentait certes le double des voix de son rival, Jean-Marc Pujol (18,4 %). Mais le candidat RN devait gagner encore plus de 15 % des voix, alors qu’il ne disposait d’aucune réserve. La marche était théoriquement infranchissable.

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  • Et pendant ce temps, l’islamisme fait son lit politique dans une France hystérique…

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    Comme on l’avait pressenti avant le premier tour des  du 28 juin, l’encouragement par Macron de toutes listes communautaires sans distinction ni restriction s’est aussitôt traduit par l’intrusion politique, par voie légale, d’activistes islamiques. Jusqu’à installer à un poste officiel de représentation et de décision publique un individu qui serait fiché S (menace pour la sécurité nationale), selon L’Express, accusation niée par l’intéressé et qui lui a déjà donné l’occasion d’engager une plainte pour diffamation.

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  • Élections : l'enfumage continue

    6a00d8341c715453ef0263e9537908200b-320wiDès le soir du deuxième tour, ce 28 juin, on pouvait entrevoir la manœuvre, grosse comme une maison. Mais il pouvait sembler un peu osé d'en anticiper complètement le développement. Hélas, dans un pays où les gouvernants nous prennent de plus en plus pour des jambons, la réalité, une fois encore, dépasse la fiction.

    Première imposture, la Convention citoyenne porte de mieux en mieux son nom. Il est vrai que le régime républicain en France a été fondé, en septembre 1792, par une assemblée élue par 11,9 % des électeurs, un peu plus, soyons honnêtes, que pour l'Assemblée Législative en 1791, où la participation avait été de 10,2 %. Ces records d'abstention sont encore loin d'être dépassés. Mais on s'en rapproche et on conçoit qu'en l'honneur des grands ancêtres on appelle à nouveau Convention une réunion privée de représentativité.

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