Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 590

  • Seule la défaite est belle

    Les gens de la droite nationale ne se retrouvent qu’entre eux, pour mieux se critiquer, avant d’éclater en une multitude de groupuscules.

     

    J’ai lu, il n’y a pas longtemps, que la délicieuse Fiammetta Venner, entomologiste de l’extrême droite, fascinée par les nouvelles hordes brunes au point de leur consacrer sa thèse de doctorat, avait mis en lumière dans ladite thèse un fait d’une aveuglante clarté : le principal poste budgétaire des groupuscules d’extrême droite, ou de « droite nationale », comme on dit, n’est pas consacré à l’activisme armé, à l’édition de tracts, au prosélytisme de rue, comme le ferait tout fascisme intégrateur digne de ce nom (l’islamisme, par exemple). Non : l’essentiel des cotisations réactionnaires est dépensé dans l’organisation de manifestations de l’entre-soi. Salons littéraires en circuit fermé, colloques de consanguins, défilés triés sur le volet, lecture de textes que tout le monde connaît par cœur, manifs citoyennes en chaussures bateau… Tout homme qui a fréquenté ces milieux, de près ou de loin, ne pourra que saluer la justesse de l’analyse de Mlle Venner qui, disons-le au passage, est sans parenté avec Dominique, je crois.

    Lire la suite

  • Duel FN-PS dans le Doubs : le FN en tête

    Le FN représenté par Sophie Montel à 32,6%, le PS crédité de 28,85%, et voilà l’UMP éliminé. Il faut dire que le candidat de la fausse droite Charles Demouge, avait déclaré « qu’il faut foutre les français dehors », car « ce sont les bons petits blonds qui l’emmerdent ». A défaut de « pouvoir foutre les français dehors », les français l’ont dégagé.

    Le front républicain tente de se ressusciter, Manuel Valls affirmant péremptoirement que la candidat PS M. Barbier « est désormais le candidat de tous les républicains » dans le Doubs. Bruno Le Roux (PS) appelle l’UMP au rassemblement républicain. L’UDI a naturellement répondu présent !

    Quant à l’UMP, divisée, elle a botté en touche, remettant se décision au prochain bureau politique…

    http://www.medias-presse.info/duel-fn-ps-dans-le-doubs-le-fn-en-tete/24615

  • Législative partielle dans le Doubs: le FN en tête, face au PS au second tour

    Les résultats sont donc tombés. La législative partielle dans la 4e circonscription du Doubs, perçue comme un test avant les départementales de mars, donnera lieu à un duel entre le FN, largement en tête au 1er tour, et le PS, qualifié malgré une forte concurrence à gauche. L’UMP, qui pourtant pouvait compter sur le soutien de l’UDI et l’absence de concurrent MoDem, ne s’est pas qualifiée pour le second tour. Son candidat, Charles Demouge, s’était répandu contre les “petits blonds qui m’emmerdent, et pas les gens qui viennent de l’immigration”.

    L’UMP va devoir désormais choisir si elle appelle ou non à voter en faveur du candidat PS, une décision qu’elle ne devrait pas prendre avant mardi, selon son porte-parole.

    Lire la suite

     

     

     

  • Dérapage et amalgame de Jean-Marie le Guen : LMPT attend des excuses

    Jean-Marie Le Guen a déclaré dimanche 1er février lors d’un débat en direct sur BFM TV face à Florient Philippot :

    « C’est pas vous qui luttez contre le fondamentalisme islamique. Au contraire. Au contraire, vous y trouvez vos principaux soutiens. Justement. C’est eux qui ont manifesté avec vous à La Manif Pour Tous et dans les mouvements contre le mariage pour tous. Ce sont ces fondamentalistes que vous êtes allé cherché dans un certain nombre de mouvements pour appeler à voter contre des candidats de gauche qui étaient contre des lois de progrès et de laïcité. »

    La Manif Pour Tous déclare :

    "L’amalgame fait par Jean-Marie Le Guen, Secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement, est une honte et une insulte aux centaines de milliers de familles venues manifester à plusieurs reprises pour affirmer que l’ouverture du mariage et de l’adoption aux couples de personnes de même sexe priverait des enfant de père et de mère constituant donc une grave injustice."

    Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, ajoute :

    « En associant les fondamentalistes islamistes aux familles qui ne cessent de défendre pacifiquement leur attachement au mariage homme-femme et à la filiation père-mère-enfant, c’est à dire une réalité universelle, Monsieur Le Guen a insulté des millions de Français. Après un tel dérapage, nous l’invitons à s’excuser auprès d’eux dans les plus brefs délais ».

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Syriza au pouvoir: une victoire souverainiste?

    C'est l'avis de Jacques Sapir, lu ici. Extrait.

    "Mais, au-delà du symbole, il y a des actes. Et les premiers actes de Tsypras ont été des signaux très forts envoyés aux autorités de Bruxelles. Tout d'abord, il a constitué son gouvernement en passant une alliance avec le parti des « Grecs Indépendants » ou AN.EL. Beaucoup disent que c'est une alliance hors nature de l'extrême-gauche avec la droite. Mais ce jugement reflète justement leur réduction du combat de SYRIZA à la seule question sociale. Ce qui justifie l'alliance entre SYRIZA et les « Grecs Indépendants », c'est le combat pour la souveraineté. Tsypras, dans son premier discours, a d'ailleurs parlé de l'indépendance retrouvée de son pays face à une Union Européenne décrite ouvertement comme un oppresseur. Le deuxième acte fort du nouveau gouvernement a été de se désolidariser justement de la déclaration de l'UE sur l'Ukraine. Une nouvelle fois, l'UE condamnait la Russie. Tsypras a dit, haut et fort, que la Grèce n'approuvait pas cette déclaration, ni sur le fond ni dans sa forme, car elle avait été prise sans respecter les procédures internes à l'UE. Il est désormais clair que l'UE ne pourra plus raconter n'importe quoi sur la crise ukrainienne. La règle de l'unanimité s'applique encore. Le troisième acte a été la décision du gouvernement, annoncée par le nouveau ministre des Finances M. Varoufakis, de suspendre immédiatement la privatisation du port du Pirée. Cette décision signifie la fin de la mise à l'encan de la Grèce au profit de l'étranger. Ici encore, on retrouve la nécessité d'affirmer la souveraineté de la Grèce."

    Sur le même sujet, on pourra lire avec profit ceci.

    Paula Corbulon  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Grèce... ne nous fait pas peur !

    La Grèce fait peur, une fois de plus : non pas que les Hellènes nous menacent d’une invasion mais plutôt d’une implosion du système de l’union monétaire européenne, à en croire les élites libérales et la Commission européenne elle-même qui oscille entre ton d’une rare fermeté et une certaine prudence, comme pour ne pas insulter l’avenir mais en se préparant à une confrontation musclée avec le gouvernement de la Gauche radicale issu des urnes grecques.

     

    Bien sûr, et c’est le discours officiel que l’on entend partout dans les sphères bruxelloises, les Grecs ont exagéré, par le passé : ils ont cru que la société de consommation que venait leur « offrir » la Communauté économique européenne (devenue Union européenne au début des années 1990) était un cadeau que l’on n’oserait pas leur reprendre puisque « l’Europe », c’était la paix, la prospérité et, surtout, la solidarité, et qu’ils en profiteraient toujours... Cadeau empoisonné car la société de consommation et de croissance ne fait jamais rien gratuitement et ce qu’elle « offre » un jour devient la dette du lendemain. Les Grecs, tout heureux d’être acceptés dans cette Europe à laquelle ils avaient donné son nom à travers un mythe ancien, ont joué les cigales et, croyant les européistes qui annonçaient à longueur de colonnes la fin des États remplacés par une Europe fédérale bruxelloise, n’ont rien fait pour construire un État, des institutions et un appareil politiques dignes de son histoire et de son destin. Mais, quand manque l’État, le chaos n’est pas loin, conjugué à l’injustice et à la corruption : c’est d’ailleurs une leçon que la Grèce, depuis l’Antiquité, nous donne à travers sa propre histoire.

    La Grèce fait peur, une fois de plus : non pas que les Hellènes nous menacent d’une invasion mais plutôt d’une implosion du système de l’union monétaire européenne, à en croire les élites libérales et la Commission européenne elle-même qui oscille entre ton d’une rare fermeté et une certaine prudence, comme pour ne pas insulter l’avenir mais en se préparant à une confrontation musclée avec le gouvernement de la Gauche radicale issu des urnes grecques.

    Bien sûr, et c’est le discours officiel que l’on entend partout dans les sphères bruxelloises, les Grecs ont exagéré, par le passé : ils ont cru que la société de consommation que venait leur « offrir » la Communauté économique européenne (devenue Union européenne au début des années 1990) était un cadeau que l’on n’oserait pas leur reprendre puisque « l’Europe », c’était la paix, la prospérité et, surtout, la solidarité, et qu’ils en profiteraient toujours... Cadeau empoisonné car la société de consommation et de croissance ne fait jamais rien gratuitement et ce qu’elle « offre » un jour devient la dette du lendemain. Les Grecs, tout heureux d’être acceptés dans cette Europe à laquelle ils avaient donné son nom à travers un mythe ancien, ont joué les cigales et, croyant les européistes qui annonçaient à longueur de colonnes la fin des États remplacés par une Europe fédérale bruxelloise, n’ont rien fait pour construire un État, des institutions et un appareil politiques dignes de son histoire et de son destin. Mais, quand manque l’État, le chaos n’est pas loin, conjugué à l’injustice et à la corruption : c’est d’ailleurs une leçon que la Grèce, depuis l’Antiquité, nous donne à travers sa propre histoire.

    La Grèce a connu une véritable descente aux enfers durant ces dernières années : bien sûr, elle avait fauté mais le châtiment n’était-il pas, en fait, injuste car frappant tous les Grecs et non, d’abord, les responsables politiques et économiques du pays qui l’avaient, par démagogie et carriérisme, mené à la catastrophe ? Certains me rétorqueront que les électeurs étaient tout aussi coupables que ceux qu’ils avaient élus, justement parce que, par le simple jeu démocratique et électoral, ils les avaient portés au pouvoir... Certes ! Mais, dans ce cas, que la démocratie est brutale ! Or, la politique n’a pas pour seul but de sanctionner mais de décider, de guider, mais aussi d’accorder les citoyens entre eux, de leur apporter les « hautes conditions du bonheur », non le Bonheur totalitaire d’un Saint-Just, mais celui qui permet l’harmonie du corps social et des citoyens avec le monde environnant, ce bonheur qui se conjugue au pluriel... [....]

    La suite sur le blog de Jean-Philippe Chauvin

  • Sondages : le FN toujours en tête aux départementales

    departementales.jpg

    L
    e nouveau sondage réalisé ce mois-ci par Odoxa pour L'Express, la presse quotidienne régionale et France Inter, revient sur la spectaculaire hausse de popularité de l'exécutif au lendemain des attentats de Paris ainsi que sur les intentions de vote aux élections départementales. Revue de détail.n
    Fin de l'effet 11 janvier
    La popularité de l'exécutif a été dopée par les attentats puis l'esprit du 11 janvier. Le Président a ainsi gagné 10 points en un mois et le Premier ministre 8. Les Français ont jugé positivement leur action à la suite des attentats. L'un et l'autre sont désormais redevenus populaires au sein de leur propre camp (68 % de popularité à gauche pour Hollande et 72 % pour Valls).
    Mais la hausse s'est à présent arrêtée, le Président ayant engrangé l'essentiel de ses gains au lendemain des attentats (+ 5 points après les 7 et 8 janvier) puis de la marche du 11 janvier (+ 3 points entre le 9 et le 13 janvier) et ne progressant plus guère depuis. Le Premier ministre, lui, a progressé plutôt linéairement sur l'ensemble de la période, gagnant ses 8 points tout autant après les attentats qu'après les grandes marches du 11 janvier dernier. Le Président comme le Premier ministre ne sont toutefois pas du tout au même niveau dans l'opinion, Hollande étant toujours largement rejeté par les Français tandis que Valls est désormais apprécié par une nette majorité de nos concitoyens.
    Palmarès de l'adhésion
    Déjà à des niveaux "stratosphériques" et peu en vue sur la période post-11janvier, Alain Juppé est l'une des rares personnalités politiques à ne pas progresser ce mois-ci. Il demeure, de loin (10 points de plus que les seconds), la personnalité politique suscitant le plus d'adhésion dans le pays, 47 % des Français éprouvant à son égard du soutien (15 %) ou au moins, de la sympathie (32 %). Son principal adversaire pour 2017, Nicolas Sarkozy, et François Bayrou complètent notre podium de l'adhésion (37 %). S'il devance l'ancien Président auprès de l'ensemble des Français, le maire de Bordeaux accuse toujours un net retard chez les sympathisants de droite.
    Élections départementales
    L'esprit du 11 janvier ne bouleverse pas le rapport de force observé en décembre, mais les écarts se resserrent (voir infographie ci-dessus), le PS – toujours 3e – progressant nettement (+ 3 points), tandis que l'UMP et surtout le FN, malgré leurs baisses de 2 points en un mois occupent les deux premières places. La déroute annoncée pour la gauche se confirme, mais la gifle pourrait être moins forte que prévue.
    Nous l'avions constaté en décembre, les élections départementales de mars devraient engendrer la présence de nombreux binômes étiquetés FN au 2nd tour. Dans notre rapport de force national de janvier, le FN reste le 1er parti de France (26 %, - 2 points) devant l'UMP (23 %, - 2 points et le PS (20 %, + 3 points). Avec cette hiérarchie et la règle de 12,5 % des suffrages exprimés pour se qualifier au second tour, le PS serait éliminé dans de nombreux cantons et verrait donc l'UMP et le FN s'affronter au 2nd tour.
    Mais la bonne gestion des attentats par l'exécutif a redonné du crédit au PS, tandis que le FN et l'UMP ont reculé de 2 points. Le rapport de force s'est transformé en un affrontement serré entre les trois principales formations politiques.n
    Source : La Provence
  • Hammadi avoue que le PS a négocié des mosquées contre des voix

    Le député socialiste Razzy Hammadi est revenu sur la lâcheté et les petits arrangements des élus locaux de la gauche plurielle, qui font construire sur leurs territoires des mosquées en échange du vote des communautés musulmanes.

    Invité à s’exprimer aux micros d’Olivier Galzi, sur I-Télé, le député de Seine-Saint-Denis et ancien président du Mouvement des jeunes socialistes a donc dénoncé les « lâchetés » des élus locaux face à la montée du communautarisme, avant d’avouer que « certains (élus locaux) ont négocié les mosquées contre des voix »

    Il n’est un secret pour personne, puisque de nombreux sondages l’avaient déjà démontré, que François Hollande est arrivé au pouvoir grâce aux votes des Musulmans. Cette fois c’est un député socialiste en personne qui a décrit ces petits arrangements entre le PS français et la communauté musulmane : les élus locaux offrent des mosquées aux musulmans qui en échange votent pour eux. Le laxisme et la défense permanente des responsables de gauche face aux agressions et viols causés par les membres de cette communauté font certainement partie du package.

    Comme les Français non Musulmans commencent à comprendre ce manège et ne veulent plus entendre parler du PS, nos bons socialos essayent d’ouvrir au maximum les frontières et font tout pour que les Musulmans soient rapidement majoritaires en France. Tout s’explique…

    La république islamique, c’est bientôt !

    Source: 24heures

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/hammadi-avoue-que-le-ps-a-negocie-des-mosquees-contre-des-voix_127044.html#more-127044

  • Charles Demouge, le candidat UMP qui n’aime pas « les petits blonds »

    Charles Demouge, candidat UMP pour l’élection législative de Doubs, a dérapé… A force de vouloir paraître le candidat idéal pour l’électorat d’origine immigrée, son discours anti-raciste frise le racisme anti-blanc et anti-français lorsqu’il déclare à la télévision : « ce sont les petits blonds qui m’emmerdent »…

    http://www.medias-presse.info/charles-demouge-le-candidat-ump-qui-naime-pas-les-petits-blonds/24575