En ces derniers jours d’août, la conjoncture idéale pour une candidature d’Éric Zemmour semble prendre corps. Dans les esprits, dans les structures et dans les sondages.
Dans les esprits, la candidature Zemmour s’est imposée.
La publication annoncée de son prochain livre, qui est déjà un succès de librairie dans les réservations, et la série de cartes postales estivales aussi brèves que bien senties (« Nous n’avions rien à faire chez les Afghans et les Afghans n’ont rien à faire chez nous ») ont suffi à prolonger l’élan médiatique du printemps dernier. Désormais, la candidature Zemmour est dans tous les esprits. Et il n’y a que Robert Ménard pour oser affirmer que le Z est un bon débatteur mais n’a pas sa place comme chef de l’État.