Eric Zemmour était hier soir l’invité de Laurent Ruquier et Léa Salamé sur France 2 dans « On est en direct ». Interrogé sur sa possible candidature à la prochaine élection présidentielle, le polémiste a répondu : « Pour l’instant je ne suis pas candidat, (…) quand je déciderai d’être candidat je viendrai et je dirai je suis candidat » (Vidéo).
élections - Page 95
-
Eric Zemmour : « Quand je déciderai d’être candidat, je viendrai et je dirai je suis candidat »
-
«Le Trump français, c’est vous»
Alors que Le Monde consacre un article aux défections au sein du Rassemblement National (fuite des cadres, démissions de responsables départementaux, implantation en berne), L’Incorrect diffuse un sondage de l’Ifop montrant une nette dynamique ne faveur d’Eric Zemmour.
À la question « seriez-vous prêt à voter pour Éric Zemmour s’il était candidat à la prochaine élection présidentielle de 2022 ? », 19 % des Français interrogés répondent « Oui », soit près d’un électeur sur cinq.
Ce chiffre, déjà considérable en soi, l’est encore pour deux autres raisons :
• il est en progression de quasiment 50 % par rapport à la précédente enquête du même type (Ifop/Valeurs actuelles des 9-10 février 2021), qui ne lui accordait un potentiel électorat « que » de 13 % ;
-
Déroute des islamistes aux législatives marocaines : l’islam politique dans l’impasse ?
Chassés du pouvoir en Égypte et en Tunisie par des coups d’État laïcs à l’extrême limite de la légalité, pour ne pas dire plus, les Frères musulmans seraient-ils en perte de vitesse au Maghreb, au Proche et au Moyen-Orient ? C’est à croire, surtout à en juger les dernières élections législatives tenues au Maroc, ce 8 septembre. Ainsi, le PJD (Parti de la justice et du développement, proche des Frères musulmans), dont le leader, Saâd-Eddine El Othmani, Premier ministre du roi dix ans durant, vient d’essuyer un revers historique, son mouvement passant de 125 à 13 députés.
-
Anne Hidalgo dans la course à l’Élysée
La candidature à la présidentielle de la socialiste Anne Hidalgo, par ailleurs toujours maire de Paris, semble devoir se confirmer dimanche prochain à Rouen. Le maire de Rouen, Nicolas Mayer- Rossignol, jeune élu socialiste de sensibilité écologiste, devant être l’un des piliers sur lesquels la candidate veut s’appuyer pour sa campagne. On apprend également que son directeur de campagne devrait être le maire de Nantes, Johanna Rolland.
-
LE SOCIALISTE MACRON EST EN CAMPAGNE !
La caravane électorale du candidat Macron financée par nos impôts s’est arrêtée longuement à Marseille, sous le signe de la pluie. A part celle des huées qui ont accueilli le candidat lors de la visite d’une école, il y eut celle qui interrompit le spectacle élyséen en tournée, mais surtout à nouveau l’averse d’argent public d’un pays hyper-endetté, qui s’est déversée sur le tonneau des Danaïdes phocéen.
-
Sur le site officiel de l'Action française : La compétition des médiocres, l’éditorial de François Marcilhac.
C’est sous les huées et les sifflets qu’a donc commencé, à Marseille, la campagne électorale de Macron pour la prochaine présidentielle.
Flanqué de l’inénarrable et indéboulonnable Blanquer, un temps adulé par la droite la plus bête du monde comme le restaurateur de l’éducation nationale et qui n’en finit pas d’en abattre les derniers pans — ainsi d’un baccalauréat qui n’est plus qu’une vaste fumisterie, si bien qu’il faut sérieusement se demander s’il ne conviendrait pas, tout simplement, d’en acter la mort —, il était venu dans la deuxième ville de France à la fois parler sécurité et assister à la rentrée scolaire. Parler, assister sont les termes exacts.
-
La droite, ce grand désert idéologique
Par Natacha Polony
Une année électorale s’ouvre, et les Français s’aperçoivent que le nombre de candidats à la magistrature suprême est inversement proportionnel à l’appétit des citoyens pour leurs discours et leurs propositions. Une fois de plus Natacha Polony fait preuve d’une redoutable lucidité et dénonce la duperie des programmes qui n’en sont pas, d’idées qui n’en sont plus.
Lire la suite ICI
Source : Marianne, 2/9/2021
-
Primaires de saison
En cette fin août, le calendrier politique républicain reprend progressivement sa place dans l'actualité, si dramatiques et préoccupantes puissent nous parvenir les nouvelles internationales. Or, l'élection présidentielle française se profile à l'horizon de trois saisons. La campagne éclair de 1974 n'était même pas prévue, ayant été précipitée par la disparition de Georges Pompidou. Mais depuis, aux dates comparables, tout au long du demi-siècle écoulé, aucun sondage prédictif, aucun scénario préétabli ne s'est trouvé confirmé le soir du scrutin. Jouer aujourd'hui au jeu des pronostics relève donc de la plus haute incertitude.
-
Présidentielle 2022 : le retour du Polit’circus
Jean-Pierre Pelaez
Notre vie politique, anesthésiée depuis deux ans par les grandes dissertations sur le Covid, le vaccin et sur la question existentielle du faut-il ne pas vivre pour ne pas avoir 0,19 de chances de mourir si l’on a quatre-vingts ans ? retrouve des couleurs en cette rentrée, avec le lancement de la campagne présidentielle et le retour du Polit’Circus.
-
Eric Zemmour a envie d’unir les droites
Invité de l’université d’été d’Objectif France,le micro-parti de l’entrepreneur libéral Rafik Smati, Eric Zemmour a répondu aux questions des journalises présents et notamment s’il avait envie d’unir les droites :
“Oui, j’en ai envie. Je m’évertue à le faire depuis des années. […] Quand je présente mes livres, ça fait dix ans, il y a des gens du Rassemblement national ou du Front national, il y a des gens de LR (…)