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entretiens et videos - Page 423

  • De Black Lives Matter au djihadisme, entretien avec Pierre Rehov, spécialiste franco-israélien de l’anti-terrorisme, par Alexandre del Valle.

    Source : https://www.valeursactuelles.com/

    Pierre Rehov est reporter de guerre, réalisateur de documentaires, chroniqueur dans la presse française, israélienne et américaine et romancier. Bien avant que le grand public n'entende parler de "Black Lives Matter" et même que n'éclatent les affaires Floyd aux Etats-Unis et Traoré en France, Rehov avait pressenti l'émergence de ce nouveau "fascisme anti-occidental" rouge-black-vert qui unit des suprématistes noirs, des islamistes et des mouvements d'extrême-gauche décidés à détruire de l'intérieur l'Occident judéo-chrétien.

    Alexandre del Valle. Vous vivez entre les Etats-Unis et Israël et connaissez bien le fonctionnement des médias américains pour y avoir été souvent invité, comment expliquez-vous la gigantesque médiatisation autour du mouvement Black Lives Matter ?

    Pierre Rehov. Officiellement, BLM serait un « mouvement décentralisé appelant à la désobéissance civile et à des manifestations pacifiques pour protester contre la violence policière que subissent les AfroAméricains ». Rien que de très louable, donc, si ce n’est que la réalité est sensiblement différente. L’organisation est en réalité née en 2013 après l’acquittement de George Zimmerman, un Latino accusé d’avoir tué Trayvon Martin, un Afro Américain qui s’était infiltré dans une résidence et l’avait agressé alors qu’il gardait la propriété. L’affaire serait restée un fait divers, puisqu’il s’agissait d’autodéfense, si des politiciens tels qu’Élisabeth Warren et Pete Buttigieg (démocrates)ne s’en étaient emparés, suivis par des médias de gauche hystériques. Le BLM s’est agrandi en 2014 après la mort de Michael Brown et Eric Gardner, tous deux tués par des policiers blancs au cours d’une arrestation. Dans les deux cas, la justice américaine a suivi son cours normal et a exonéré les policiers des charges de meurtre et de déni de droits civiques, tandis que politiques et médias montaient les affaires en épingle. N’oublions pas que le système judiciaire américain fait appel à des simples citoyens, interviewés et retenus par les deux parties, avant de participer à un grand jury, dont le verdict est retenu par un juge professionnel.

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  • LOI BIOÉTHIQUE 2020 : UN PAS DE PLUS VERS LA FOLIE (PMA, CHIMÈRES...)

  • Me Gilbert Collard : « Je me demande si mon éviction ne sert pas à masquer l’éviction de Nicolas Bay »

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    Remaniement au sein du RN : désormais, Gilbert Collard et Nicolas Bay ne feront plus partie de la commission d’investiture du parti. S’agit-il d’une purge ? Ou d’un changement de cap sur les orientations du parti ?

    Gilbert Collard, qui avoue lui-même avoir brillé par son absence à cette commission, répond aux questions de Boulevard Voltaire.

    Vous n’êtes plus dans la commission d’investiture du Rassemblement national. Comment vivez-vous cette décision ?

    En sept ans, j’ai dû y mettre les pieds une fois. Je ne me sens pas très concerné. J’aurais aimé qu’on me prévienne d’une manière plus policée. C’est toujours déplaisant d’apprendre son éviction même si on s’est de soi-même évincé par la presse. Un mail avait été envoyé, mais ce ne sont pas des manières. Je crois que c’est un peu le procès de l’entourage proche de Marine qui est à faire.

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  • SORAL EN PRISON : BRICMONT RÉAGIT

  • INSÉCURITÉ : Réponse à TATIANA VENTÔSE (qui ne m'a rien demandé, mais ça fait rien!)

  • Michel Onfray: «Le mal français, c’est d’abord la haine de soi dont presque tout dépend».

    «Aimer la France est nécessaire pour en finir avec ce qui la tire vers le fond. L’aimer c’est croire en la possibilité de lui redonner un lustre avec ce qui fit sa grandeur», avance Michel Onfray. Philip Conrad/Photo12 via AFP

    Sources : https://artofuss.blog/

    https://www.lefigaro.fr/vox/

    http://www.gaullisme.fr/

    Dans cet autoportrait politique, le philosophe, qui a lancé avec fracas et quelques polémiques une revue trimestrielle rassemblant souverainistes de tous bords, rappelle son amour de la France, celle de Corneille à Robespierre, et de Bossuet à Sartre.

    «Populaire» dans toute la polysémie du mot, le philosophe, essayiste, écrivain, professeur et désormais directeur de publication a lancé avec fracas et quelques polémiques une revue trimestrielle qui entend rassembler les souverainistes de tous bords. Proudhonien de gauche mais aussi proudhonien de droite, Michel Onfray choisit de Gaulle contre Mitterrand. Dans cet autoportrait politique, il se moque des étiquettes comme de ceux qui veulent à tout prix lui en donner, et rappelle son amour de la France, pas celle d’un homme ou d’un camp, mais tout à la fois celle de Corneille et de Robespierre, de Bossuet et de Sartre.

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  • Alain de Benoist : « Macron conserverait quelques chances de l’emporter, mais Marine Le Pen aurait de bien meilleures chances de gagner »

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    Au cours de ces dernières semaines, nous avons assisté au second tour des élections municipales, puis à la mise en place d’un nouveau gouvernement. Peut-on dire qu’il en résulte un nouveau paysage politique ? Les forces en présence se sont-elles modifiées ?

    Sur les élections municipales, on a déjà tout dit. Les deux faits marquants sont l’abstention record (60 %), qui s’explique avant tout par le fait que la France périphérique n’a pas voté, et la poussée de ce qu’on a appelé la « vague verte », qui a permis à des représentants de EELV de s’emparer d’un certain nombre de grandes villes. Cette « vague » ne doit être ni surestimée ni sous-estimée. Sa cause fondamentale, au-delà de la vague sympathie que suscite le référent écolo dans tous les milieux, est la gentrification croissante des grandes villes. La droite a, bien entendu, réagi en recourant à des métaphores ringardes comme celle de la pastèque (verte à l’extérieur, rouge à l’intérieur) et en s’affolant de l’arrivée des « Khmers verts » dans les mairies. Elle est, il est vrai, totalement analphabète en matière d’écologie. Désolé, Yannick Jadot n’est pas Pol Pot ! Les Verts sont des libéraux-libertaires, grands défenseurs des migrants, qui sont beaucoup plus intéressés par la théorie du genre que par une écologie qu’ils ne conçoivent que d’une façon punitive et superficielle. De même que l’ a discrédité l’Europe, les Verts discréditent l’écologie. Ce sont les vrais partisans de l’écologie qui devraient le plus dénoncer leur imposture.

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