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entretiens et videos - Page 422

  • « Arrêter une vie n’est pas une solution à la détresse psychosociale », par Emmanuel Sapin.

    Source : https://fr.aleteia.org/

    Chirurgien pédiatre et néonatalogiste, le professeur Emmanuel Sapin décrypte le mécanisme de transgression continue des lois de bioéthique. Il montre comment les principales mesures du texte adopté par les députés en seconde lecture s’inscrivent dans une logique de relativisme idéologique qui, au nom de considérations humanistes, transforme le mal d’hier en bien aujourd’hui.

    PMA sans père, embryons-chimères, avortements tardifs… à chaque révision de loi de bioéthique, le législateur affronte des situations préoccupantes qu’il a créées sans en mesurer les conséquences. La loi définissant comme bien ce qui est permis, ce qui était défendu lors de la loi précédente devient permis. Les frontières sont sans cesse repoussées. Co-auteur de la première chirurgie fœtale réalisée en Europe, le pédiatre Emmanuel Sapin dénonce, en particulier dans le projet de loi voté par les députés, la fausse solution du recours à l’avortement pour libérer une mère en état de détresse psychosociale.

    Aleteia : Quelle est la mesure qui vous paraît la plus discutable dans le texte voté ?

    Emmanuel Sapin : En premier lieu, à cause des conséquences sur la place du père pour l’enfant, la mesure la plus discutable est l’ouverture de la PMA « pour toutes », qui conduit à une dissociation programmée de la notion et de la réalité de la paternité — biologique et éducative — si ce n’est sa disparition, et d’autre part les problèmes liés à la filiation. Il est d’ailleurs paradoxal que simultanément sont ouvertes les possibilités de demande de levée de l’anonymat. Et la prochaine fois, sous l’argument de la discrimination, s’ouvrira la voie de la GPA.

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  • Les journalistes et leurs interdits

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    Ingrid Riocreux a publié il y a deux ans un livre précieux qu'en tant que linguiste elle a intitulé La langue des médias (éd. du Toucan). Pour elle, les interdits des journalistes se trouvent dans leur langue, avant même qu'on ne les découvre dans leur parole. C'est la langue qui est formatée d'avance.

    Entretien par l'abbé G. de Tanoüarn

    Ingrid Riocreux, alors que le Président Macron annonce un contrôle des « fake news » sur Internet, vous qui êtes une spécialiste des médias, pensez-vous que cette censure existe déjà dans le monde des médias ?

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  • Michel Onfray et Rafik Smati : entretien croisé.

    À l'occasion de leur rencontre, Michel Onfray et Rafik Smati, chef d'entreprise et fondateur du Mouvement "Objectif France", ont échangé sur les faits marquants de l'actualité et de grands thèmes comme l'Europe ou le capitalisme.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/08/08/michel-onfray-et-rafik-smati-entretien-croise-6256379.html
  • « Les jugements de Cours vous feront blancs ou noirs »

    Maître Frédéric Pichon avocat au Barreau de Paris, a été l’un des défenseurs qui a le plus souvent plaidé en faveur des manifestants anti-mariage pour tous. Il a bien voulu répondre à nos questions sur l'étrange pouvoir des juges.

    Entretien par l'abbé G. de Tanoüarn

    En tant qu'avocat de toutes les causes et parce que, comme chrétien, vous acceptez de défendre les clients les plus compromettants, je veux dire par exemple ceux qui sont politiquement incorrects, pensez-vous, cher Maître, que, dans certains domaines idéologiquement sensibles, la même loi puisse être appliquée de différentes manières selon les justiciables ? Auriez-vous des exemples à proposer ?

    La question n'est pas nouvelle. En son temps La Fontaine pouvait déjà dire « Selon que vous serez puissants ou misérables, les jugements de cours vous feront blancs ou noirs ». Ces cours, ce ne sont pas des cours princières, ce sont des cours de justice, ce sont les tribunaux de l'époque que vise le fabuliste. Certes les juges sont impartiaux, par définition. Mais dans la réalité, tout dépend de quel côté vous vous trouvez. Aujourd'hui qu'ils soient de gauche ou de droite, les gouvernements subissent la pression du politiquement correct notamment par la voie de lobbies puissants (féministes, antiracistes, LGBT, etc.) Lorsque je soutenais il y a plus de 20 ans mon mémoire à l'école du Barreau sur le thème « La liberté d'expression et le respect des croyances religieuses », je relevais déjà l'incroyable inéquité entre les atteintes aux symboles chrétiens tolérés au nom de la laïcité, et la répression qui frappe les atteintes aux autres religions. Les choses n'ont pas changé depuis. Ainsi les Femen ont-elles été relaxées, alors qu'elles ont volontairement dégradé l'une des cloches de Notre Dame (photo) et dans le même temps un agent de sécurité de la cathédrale a été condamné pour violences, simplement parce qu'il a tenté de les expulser ! Dans le même registre, on a vu ces jeunes identitaires qui étaient montés sur le chantier en construction de la mosquée de Poitiers -mosquée appartenant à l'UOIF branche française des frères musulmans - condamnés, pour cela, à des peines de prison avec sursis, à une amende incroyablement élevée ainsi qu'à 5 ans d'interdiction civique. Je crains que les choses n'aillent en s'aggravant.

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  • Zoom – Gérald Olivier : Donald Tump vs Etat profond, dernière ligne droite

    L’expérience Trump : aberration ou révolution ? A moins de 4 mois de l’élection présidentielle américaine, le locataire de la Maison Blanche est aux prises avec des forces invisibles : l’Etat profond. Les victimes du covid-19 et l’agitation autour de la lutte raciale lui font perdre des points dans les sondages d’opinion mais rien n’est perdu. Gérald Olivier, journaliste spécialiste des Etats-Unis et auteur d’un dictionnaire intitulé « Sur la route de la Maison Blanche », revient sur le bon bilan économique et social de « l’expérience Trump » et décrypte les enjeux de ce nouveau scrutin. Pour Gérald Olivier, les choses tourneront mal quelque soit le vainqueur de l’élection…


    https://www.tvlibertes.com/zoom-gerald-olivier-donald-tump-vs-etat-profond-derniere-ligne-droite

  • Adrien Molin : « Nous avons eu beaucoup de retours positifs sur cette action contre l’insécurité à Bordeaux ! ».

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    Interview d’Adrien Molin, à l’initiative de la banderole contre l’insécurité à  déployée sur l’autoroute : « Ici, c’est Bordeaux, pas Chicago ». Il revient aussi sur les premiers pas du nouveau maire de Bordeaux Pierre Hurmic.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/08/06/adrien-molin-nous-avons-eu-beaucoup-de-retours-positifs-sur-6255910.html