C’est le moment où jamais de rappeler la sentence prononcée par Raymond Aron à l’encontre d’un de nos présidents : “le drame de Giscard est qu’il ne sait pas que l’histoire est tragique”. L’actuel occupant de l’Elysée, s’il n’est certes pas du même niveau que Giscard, s’il n’a pas la même filiation politique, puisqu’il vient du socialisme quand VGE était libéral, appartient néanmoins au même camp géopolitique. C’est celui du “Meilleur des Mondes”, délivré de la tragédie, où l’économie a absorbé la politique, où le progrès scientifique et technique pourront assurer le bonheur “dans une sereine ignorance de la passion et de la vieillesse”, comme dit Huxley.
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LA RAISON DU FOU (II)
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Que la cause des Ukrainiens soit juste ne doit pas être un blanc-seing à des déclarations alarmistes dans le cadre d’une manœuvre informationnelle
Les journalistes se sont montrés unanimement alarmistes en évoquant un “bombardement” de la centrale nucléaire de Zaporija en Ukraine. Ils ont malheureusement répété sans aucune vérification les déclarations du président ukrainien Zelinsky, dont l’objectif est de faire entrer en guerre les pays de l’Union européenne et les forces de l’OTAN.
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Le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, affirme que « l’Otan n’interviendra pas en Ukraine. Ni sur terre, ni dans les airs »
Le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, a affirmé que « l’Otan n’interviendra pas en Ukraine. Ni sur terre, ni dans les airs ». « La situation pourrait s’aggraver si nous agissons en Ukraine », a-t-il ajouté, malgré les demandes d’intervention effectuées par le président ukrainien Volodymyr Zelensky. -
Guerre en Ukrainienne : et si l’objectif de Poutine était d’empêcher le Nouvel Ordre Mondial de Davos ?
En pleine crise russo-ukrainienne, qui n’est autre que la partie émergée d’un plus vaste conflit, celui qui oppose la Russie à l’OTAN et à son vassal l’Union Européenne, deux visions du monde, celle ultra-progressiste promue par le camp des Etats-Unis, et celle culturellement plus traditionnelle soutenue par Poutine, des axes de puissances économiques, l’Eurasie d’un côté, les Atlantistes de l’autre, la journaliste Rachel Marsden, qui anime une émission sur Sputnik France, a publié un éditorial paru sur l’autre média russe Russia Today le 28 février dernier, dans lequel elle s’interroge sur le Forum Economique mondial (FEM) et ses implications dans les gouvernements occidentaux. En sous-titre, elle écrit :
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Quand la Chine se prépare
Patrie de Sun Tsu et de quelques autres, l'Empire du Milieu nous donne chaque jour des signes bien repérables de sa stratégie et de sa montée en puissance. Comme le stalinisme, que Mao n'avait jamais renié, ce régime ne perd jamais de vue, mais à terme, ses ambitions révolutionnaires mondiales.
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Le conflit Ukraine-Russie, les USA de Biden, Charles Gave et Léonard refont l'actualité.
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Cyberattaque contre des éoliennes
Lu sur Transition Energies:
Au moment même de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, une cyberattaque a mis hors de service le réseau américain de satellite KA-SAT. Non seulement, il permettait à des centaines de milliers d’Ukrainiens d’accéder à internet, mais il permettait aussi de commander à distance près de 6.000 éoliennes allemandes. Elles fonctionnent aujourd’hui en mode automatique, mais il serait difficile de les arrêter si le vent atteignait 80 km/h. Elles risqueraient alors d’être endommagées ou détruites. Près d’une semaine après l’attaque, le réseau n’était toujours pas réparé faute de composants électroniques.
Pour ceux qui croient encore que les éoliennes sont la panacée de l’indépendance énergétique!…
https://www.lesalonbeige.fr/356907-2/
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Une coupure d’Internet par la Russie : le cauchemar de l’Europe
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Live en DIRECT d'UKRAINE, toute la réalité que les médias Français ne disent pas !
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Macron, la Russie et l’Ukraine : le cirque de l’impuissance, par Clément Martin
À l’heure où ces lignes sont écrites, la Russie vient d’envahir l’Ukraine, dans le cadre d’une « mission de maintien de la paix ». Cette décision fait suite aux tentatives échouées d’Emmanuel Macron de convenir d’une solution garantissant la paix entre Kiev et Moscou. Après chacun des deux entretiens entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron (le 7[1] et le 20 février[2]), ce dernier s’était vanté d’avoir trouvé un terrain d’entente qui éviterait l’escalade des violences. Quatre jours après le dernier face-à-face entre Paris et Moscou, la Russie lançait l’assaut. Cet épisode illustre à la fois la théâtralité du gouvernement Macron autant que l’impuissance française et européenne actuelle.