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géopolitique - Page 296

  • Notre combat pour l'Iran.

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    J’avais 16 ans, et j’étais élève au lycée Chateaubriand, un beau patronyme d’établissement aux yeux du royaliste que je n’étais pas encore alors. Nous étions à l’automne 1978, puis en hiver 1979, et je dévorais l’actualité le matin au petit déjeuner dans les pages du Ouest-France que maman laissait à la disposition des enfants de la famille, et le soir devant la télévision quand Roger Gicquel et Jean-Claude Bourret nous mettaient au courant des nouvelles du jour. Le vendredi matin, il y avait aussi le Paris-Match que papa avait acheté la veille pour lire dans le train qui le ramenait de Poitiers, mais aussi Le Point et Valeurs actuelles qu’il laissait sur la table du grand bureau parental. Et puis, je dévorais les tracts et les journaux distribués devant le lycée, Avant-Garde pour les communistes (que je n’aimais guère, je l’avoue, et avec lesquels j’avais eu quelques frictions) comme Civilisation, qui était le bulletin rennais du Parti des Forces Nouvelles, mouvement de la droite musclée dans une époque qui l’était tout autant, si l’on évoque l’ambiance politique du moment… Dans le même temps, j’étais constamment plongé dans les collections des années 1933-1944 de la revue L’Illustration que mon grand-père et ma mère avaient eu la bonne idée de faire relier pour en faciliter la lecture.

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  • Représailles au sabotage des gazoducs par les États-Unis : Les câbles sous-marins internet

     

    par Marc Rousset.

    Vladimir Poutine, lors de son discours au Kremlin, qui fera date, d’unification à la Fédération de Russie, du vendredi 30 septembre, ont accusé les États-Unis d’avoir provoqué l’explosion des gazoducs : « La dictature des États-Unis repose sur la force brute, c’est la loi du plus fort ». Poutine a imputé ce sabotage aux États-Unis qui « font pression » sur les pays européens pour qu’ils coupent complètement leur approvisionnement en gaz russe « afin de s’emparer (eux-mêmes) du marché européen ».

    Et Poutine accusateur encore plus direct et formel contre les États-Unis d’ajouter dans son discours afin d’ouvrir les yeux aux Européens lobotomisés, des traîtres que sont Macron, Scholz, von der Leyen : « Les sanctions ne suffisent pas aux Anglo-Saxons ; ils sont passés au sabotage incroyable, mais vrai : après avoir organisé des explosions sur les gazoducs internationaux Nord Stream, qui longent le fond de la mer Baltique, ils ont commencé à détruire les infrastructures énergétiques paneuropéennes. C’est clair pour tous ceux qui en bénéficient. C’est celui qui en profite qui l’a fait, bien sûr ». Le saboteur, c’est donc bien les États-Unis et personne d’autre ! À qui profite le crime ? Aux seuls États-Unis !

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  • Gazprom va reprendre ses livraisons vers l'Italie

    Gazprom va reprendre ses livraisons vers l'Italie

    La Russie va reprendre ses livraisons de gaz à l'Italie après les avoir suspendues samedi en raison d'un "problème" en Autriche, par lequel le gaz russe passe, a annoncé mercredi le géant gazier russe Gazprom.

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  • Répercussion du conflit en Ukraine aux États-Unis

    par Faouzi Oki.

    Les réserves stratégiques de pétrole des États-Unis ont atteint leur plus bas niveau.

    Le département américain de l’Énergie a rapporté que le niveau des réserves stratégiques de pétrole des États-Unis a atteint son plus bas niveau depuis quatre décennies et s’est aggravé depuis la guerre en Ukraine.

    Alors que l’économie des États-Unis décline de manière très significative, l’accès à la protection sociale et l’hygiène n’est ni équilibré et ni équitable. Le coefficient de Gini prouve que les inégalités salariales aux États-Unis ont augmenté de jour en jour au cours des 30 dernières années, ont signalé des associations américaines.

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  • L’OTAN en sueur : la Russie mobilise le Belgorod, équipé des "torpilles de l’Apocalypse" (videos)

    Le sous-marin nucléaire Belgorod, 184 mètres de long, a été mis en service en juillet et est réputé sans équivalent. Un véritable mastodonte sous-marin.

    Vu sur Ma France

    Publié le : lundi 3 octobre 2022

    Sous-marin le plus long de l’océan, le Belgorod, livré à la marine russe début juillet, serait actuellement immergé dans les eaux arctiques après une possible implication dans le sabotage des gazoducs Nord Stream 1 et 2, selon La Repubblica.

    L’Otan craint que la prochaine mission du Belgorod, long de 184 mètres pour 18 mètres de largeur et 9 de hauteur, soit de tester les surpuissantes torpilles Poseidon, également connues sous le nom de « torpilles de l’Apocalypse ». Ces dernières mesureraient 24 mètres de long, 2,5 mètres de diamètre pour un poids d’environ 100 tonnes.

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  • Réflexions sur les possibilités d’adaptation et d’évolution de l’armée russe

    par Christelle Néant.

    La situation en région de Kharkov, puis la perte de Krasny Liman, ont engendré beaucoup de débats en Russie sur la façon dont l’armée russe opère en Ukraine, et sur les responsabilités de tel ou tel officier supérieur dans ces échecs. N’ayant pas de formation militaire, j’ai néanmoins été formée à différentes disciplines qui m’ont enseignée des principes applicables à plusieurs domaines. Cet article est une analyse de ce que je perçois comme étant au moins une partie des causes de ces échecs, et des suggestions pour régler plusieurs de ces problèmes.

    Commençons par le début et analysons les causes potentielles de l’échec de l’armée russe en région de Kharkov puis de Krasny Liman. Certains comme Ramzan Kadyrov, et Evgueni Prigojine ont pointé la responsabilité du général Alexandre Lapine, qui dirige les troupes russes sur cette portion du front. Plusieurs journalistes dont Alexandre Khartchenko, ont défendu le général russe, en soulignant qu’il avait demandé la mobilisation dès le mois de juin, et qu’il a fait du mieux qu’il pouvait avec le peu qu’il avait. Ces journalistes ont pointé des problèmes d’ordre systémique, et appelé à cesser de chercher des boucs émissaires.

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  • Point au jour 223- Où en est la guerre d’Ukraine ?

    La Guerre d'Ukraine au jour 223 - point de situation en trois constats (I) La guerre est entrée dans sa troisième phase, celle qui décidera du conflit sur le terrain. (II) Les Russes vont certainement connaître un moment plus difficile sur le terrain en Ukraine pendant deux à trois mois, du fait de la prise de commandement direct de l'OTAN et du délai qu'il y a entre décision et application d'une nouvelle organisation au combat. (III). Les Etats-Unis sont entraînés dans une épreuve de force géopolitique de longue durée, qu'ils ne maîtrisent que partiellement et qui est actuellement à leur désavantage.

    1. La bataille d’Ukraine a connu trois phases

    (Nous renvoyons ici en particulier aux nombreuses analyses de Scott Ritter)

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  • L’Arménie seule au monde, face à l’Azerbaïdjan et à la Turquie

    L’Arménie seule au monde, face à l’Azerbaïdjan et à la Turquie

    De notre envoyé spécial Antoine Bordier, auteur de Arthur, le petit prince d’Arménie (éd. Sigest) :

    Dans la nuit des 12 et 13 septembre, l’Azerbaïdjan bombarde plusieurs positions dans l’est et le sud-est de l’Arménie. L’Arménie riposte tant bien que mal. L’Azerbaïdjan a conquis du terrain. En tout, près de 500 morts de part et d’autre, dont des villageois. Après les déclarations de l’ONU, de l’Union Européenne, de la France, du Vatican, et d’autres pays, pour un appel au cessez-le-feu, et, en dehors de toute condamnation de l’invasion azérie, l’Azerbaïdjan et la Turquie massent leurs troupes pour envahir l’est et le sud de l’Arménie. Eclairage sur une invasion imminente pour l’Arménie, face au reste du monde, qui regarde… ailleurs.

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  • Ukraine : les leçons de Tolstoï

    A entendre les médias français, et les généraux de plateaux vendus à l’OTAN et oublieux des intérêts de la France et de son peuple, l’Ukraine serait en passe de « gagner la guerre », la Russie l’a perdue et bien perdue, une nouvelle aurore de lendemains heureux se lève à l’ouest …

    D’outre-Atlantique, dont le gouvernement est pourtant un fervent soutien de Kiev, provient un son de cloche différent. Si la Russie n’était pas si perdante que cela, au contraire …

    Le National Interest publie un article d’un ancien officier en force à l’état-major des États-Unis, David Payne :  

    « Après la contre-offensive ukrainienne réussie à Kharkiv au début du mois, qui a conduit à la libération de près de 6 % du territoire occupé par la Russie, les dirigeants occidentaux continuent de surestimer les chances de l’Ukraine de gagner la guerre.

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