![]()
Au lendemain d'un putsh au Gabon annonçant «mettre fin au régime» du président Ali Bongo, tout juste réélu lors des élections, des militaires gabonais ont annoncé la dissolution des institutions du pays, dont le gouvernement, le Sénat, l'Assemblée nationale et la Cour constitutionnelle. S'exprimant au nom d'un "Comité de transition et de restauration des institutions," ils ont déclaré que leur action visait à mettre fin à une "gouvernance irresponsable, imprévisible" qui met en danger la cohésion sociale et risque de conduire le pays au chaos. Le comité appelle la population à rester calme et assure qu'il respectera les engagements internationaux du Gabon.




