géopolitique - Page 66
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C'était comme un safari, ou quelque chose comme une chasse à l'homme"
Une habitante de la ville de Tchassov Yar raconte à Sputnik comment des opérateurs de drones ukrainiens avaient ciblé des civils qui restaient dans la localité."Ils ont rechargé et ont tiré et tiré encore", dit cette habitante de Tchassov Yar. -
Le Samedi politique avec Jacques Baud - Ukraine : Poutine a mis K-O l'Occident
Depuis le fiasco de la contre-offensive ukrainienne, le destin du conflit semble définitivement scellé. Les combattants manquent à Kiev, les armes occidentales promises peinent à arriver mais aussi à s’intégrer dans la stratégie opérative de l’Ukraine.
Pourtant, depuis bientôt deux ans, les Occidentaux ne se sont pas contentés de mettre le feu aux poudres avec Moscou. Ils ont aussi su saboter systématiquement toute ébauche de pourparlers de paix auxquels Volodymyr Zelensky n’était initialement pas hostile. Cette situation précaire de Kiev a désormais une influence directe sur la nature des combats. Sur le front, les positions sont stabilisées. Des opérations sporadiques sont alors lancées par l’Ukraine sur la Crimée ou sur le territoire russe comme les attaques contre Belgorod l’ont récemment prouvé. C’est un jeu dangereux dans lequel l’Occident, Washington et son clone de l’OTAN en tête, poussent tristement Kiev, embourbé dans un narratif que plus personne ne peut croire véritablement.
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Rien de nouveau sur le front de l’est ?
par Andrea Marcigliano
Que se passe-t-il sur le front russo-ukrainien ? Rien, aucune nouvelle, disent nos médias. Trop occupés à donner de l’espace à des choses d’une importance fondamentale, comme la chaleur record, 60° à Naples… dans le mois de juin le plus pluvieux de tous les temps…
Pourtant, une attaque de missiles ukrainiens a frappé Sébastopol. Tuant des civils.
Une attaque menée par un drone américain. Lancé, semble-t-il, depuis la base de Sigonella. Ce qui devrait susciter une réflexion sur notre implication croissante. Et sur ce que pourrait être, dans un avenir proche, la réaction russe.
L’attaque a touché une plage. Des baigneurs. Des enfants. Washington affirme qu’il s’agit d’une erreur, d’un missile dévié par les tirs antiaériens russes.
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La “guerre” de Poutine pour remodeler le zeitgeist américain
Ce n’est qu’en comprenant et en prenant au sérieux les avertissements nucléaires russes que nous pourrons exclure le risque d’entrée en jeu des armes nucléaires.
Le G7 et la “conférence du Bürgenstock” qui a suivi en Suisse peuvent – rétrospectivement – être considérés comme une préparation à une guerre prolongée en Ukraine. Les trois principales annonces du G7 – le pacte de sécurité de 10 ans pour l’Ukraine, le “prêt pour l’Ukraine” de 50 milliards de dollars et la saisie des intérêts sur les fonds gelés par la Russie – le montrent bien. La guerre est sur le point de s’intensifier.
Ces prises de position visent à préparer l’opinion publique occidentale avant les événements. Et en cas de doute, la belligérance cinglante à l’égard de la Russie exprimée par les dirigeants électoraux européens était suffisamment claire : ils ont cherché à donner l’impression que l’Europe se préparait à la guerre.
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V.R - MON NEVEU EN PERMISSION RACONTE SA VIE SUR LE FRONT
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Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial accusé de harcèlement sexuel, de discrimination etc…
C’est un article qui ne passe pas inapperçu de la référence mondiale du journalisme financier puisqu’il s’agit du Wall Street Journal (source ici) qui attaque frontalement l’Homme des Hommes de Davos à savoir Klaus Schawb.
Cet article est intitulé :
“Derrière Davos, des accusations de travail toxique”
“Malgré ses objectifs ambitieux, le Forum économique mondial a fait l’objet de nombreuses accusations de harcèlement sexuel et de discrimination à l’égard des femmes et des Noirs.
Il y a quelques années, Klaus Schwab, le fondateur octogénaire du Forum économique mondial, a décidé que l’organisation avait besoin d’un coup de jeune.
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Neuf avions ukrainiens détruits en un jour
L'armée russe a détruit neuf avions de combat exploités par l'armée de l'air ukrainienne au cours des dernières 24 heures, a rapporté mardi le ministère de la Défense lors d'un point de presse régulier. L'armée russe a également intercepté plusieurs missiles de fabrication occidentale et des dizaines de drones, a rapporté le ministère de la Défense.
Il avait auparavant publié des images montrant une frappe aérienne sur l'aérodrome ukrainien de Mirgorod, dans la région de Poltava. Au total, sept avions de combat Sukhoi Su-27 ont été détruits ou endommagés lors de l'attaque du missile Iskander-M, a indiqué le ministère.
Une mise à jour ultérieure a rapporté qu'un autre Su-27 et un MiG-29 avaient été abattus par les défenses aériennes russes. Celles-ci ont également intercepté six missiles de croisière Storm Shadow fournis par le Royaume-Uni, une bombe planante AASM Hammer de fabrication française, une fusée HIMARS et 81 avions sans pilote, dont un drone Bayraktar TB2 de fabrication turque, selon le rapport.
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Pourquoi l’OTAN recule-t-elle soudainement dans la mer Noire ?
par Drago Bosnic
L’ISR (intelligence, surveillance, reconnaissance) est l’un des aspects les plus importants de la guerre. Sans de tels actifs et plates-formes, tout militaire est pratiquement aveugle, ce qui rend impossible ou du moins extrêmement inefficace l’utilisation de toute sorte d’armes stratégiques et/ou à longue portée. Et pourtant, l’ISR est de loin la partie la plus négligée et la plus sous-estimée de tout conflit (peut-être même plus que la logistique et l’économie de la guerre). Très peu de gens envisageraient même la possibilité que les plates-formes ISR puissent être utilisées comme armes. Même juridiquement parlant, il n’y a pas de motif en noir et blanc pour les considérer comme tels. Cette zone grise juridique est précisément ce que l’OTAN dirigée par les États-Unis espère continuer à exploiter indéfiniment. Et en effet, il donne à l’invasion rampante de la Russie par l’Occident politique un avantage asymétrique crucial, peut-être le plus important qu’elle a encore (ou avait, à ce stade).
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L’Occident a indubitablement perdu la Russie et perd également l’Eurasie
L’objectif de la visite du président Poutine en Corée du Nord et au Vietnam n’est-il pas désormais clair dans le contexte du projet d’architecture de sécurité eurasienne ?
Il y a peut-être eu un moment de réveil à Washington cette semaine à la lecture du compte-rendu de la démarche de Sergueï Lavrov auprès de l’ambassadeur des États-Unis à Moscou : La Russie disait aux États-Unis : «Nous ne sommes plus en paix» !
Non seulement «nous ne sommes plus en paix», mais la Russie tenait les États-Unis pour responsables de la «frappe à fragmentation» sur une plage de Crimée le dimanche dernier, jour férié de la Pentecôte, qui a fait plusieurs morts (notamment des enfants) et de nombreux blessés. Les États-Unis sont ainsi «devenus partie prenante» de la guerre par procuration en Ukraine (il s’agissait d’un ATACM fourni par les États-Unis, programmé par des spécialistes américains et utilisant des données américaines), selon la déclaration de la Russie : «Des mesures de rétorsion suivront certainement».
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Le régiment ukrainien Kraken a fui ses positions à Tchassov Yar, selon un prisonnier de guerre
© SputnikLe régiment ukrainien Kraken était censé couvrir les unités régulières mais à Tchassov Yar, mais a fui ses positions, a déclaré un prisonnier de guerre à Sputnik.