Le billet de Patrick Parment
C’est presque avec étonnement que les médias s’étonnent de la soudaine complicité entre les Etats-Unis et la Russie. Au sujet de l’Ukraine et dont celle-ci n’est qu’un prétexte pour redessiner la carte du continent.
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Le billet de Patrick Parment
C’est presque avec étonnement que les médias s’étonnent de la soudaine complicité entre les Etats-Unis et la Russie. Au sujet de l’Ukraine et dont celle-ci n’est qu’un prétexte pour redessiner la carte du continent.
par Yoann
Alors que des vidéos montrant des civils ukrainiens enrôlés de force par l’armée circulent sur les réseaux sociaux, David van Hemelryck, présent en Ukraine ces dernières années, livre un témoignage poignant. Connu en France pour être le pilote de la banderole #Destitution, il décrit une réalité glaçante : des hommes sont arrachés à leur quotidien pour être envoyés au front.
Si beaucoup pensaient Emmanuel Macron arrivé en bout de course, les enjeux internationaux lui ont indéniablement redonné un second souffle. Avec le même accent grave et martial qu’il a eu au temps du Covid-19 (le fameux « Nous sommes en guerre »), le président français, devant plus de quinze millions de téléspectateurs, a acté « la fin de l’innocence » face à la « menace russe ». Honni dans son pays mais applaudi par les chancelleries continentales, Macron prépare le terrain de ses futures ambitions européennes sur fond de conflit entre libéraux et nationalistes.
L'entretien tant attendu entre Poutine et Trump a enfin eu lieu, ayant duré deux heures et demie, un temps historique, selon certaines sources, ce qui serait le plus long appel entre un président américain et un président russe depuis au moins la Guerre froide.
La chronique de Philippe Randa
« Si vis pacem, para bellum » : préparer la guerre si on veut la paix ! Cette maxime est vieille comme le monde et parfaitement exacte, qui dirait le contraire ? Personne, bien sûr, mais – car il y a souvent un « mais » dans toute vérité – certains esprits grincheux pourraient ajouter qu’il faudrait encore en avoir les moyens ! Ou à défaut de les avoir, se les donner. Au mieux et au plus vite !
par Jean Chapoutier
Alors comme ça, les nazis en France en 40-44, c’est peace and love, c’est l’Eurovision.
Oui, vous ne rêvez pas, nous en sommes là.
J’ai entendu cette ignominie pour la première fois le 15 mars, rapportée par Arno Klarsfeld sur Omerta avec Régis Le Sommier, au sujet d’une émission sur LCI pendant laquelle le général Michel Yakovleff s’est lâché comme à son habitude. J’ai vainement cherché l’émission de LCI en question et, à défaut, j’ai trouvé les mêmes propos sur une émission de Radio Classique du mardi 11 mars, où Yakovleff, ancien vice-chef d’état-major de l’OTAN, était l’invité vedette.
Si le gouvernement Zelensky renonce à sa souveraineté au nom de la paix, un profond sentiment de trahison envahira l’Ukraine.
Après avoir formellement accepté une trêve et un cessez-le-feu temporaire, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, pourrait se retrouver sous le feu des éléments extrémistes en Ukraine, avertit The Times.