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Kadir Mebarek, le maire de Melun, déclare devant la « communauté algérienne » de Melun, après avoir annoncé l’ouverture d’un consulat d’Algérie dans la banlieue de la ville, à Dammarie-les-Lys (sic), en présence du consul :
A la faveur des difficultés financières de la France, savamment orchestrées par l’équipe Macron qui mélange incompétences et soumission à des diktats extérieurs, ceux de Davos puisque tout en monde en parle et que ses promoteurs ne se cachent même plus, Zemmour, Bardella et quelques autres reviennent sur la nécessité de réguler l’immigration à destination de la France, notre pays se posant en terre d’asile aux largesses impensables, qui fait que tous les migrants de la zone arabo-afro-musulmane viennent en terre chrétienne, avec non seulement la certitude d’obtenir des aides financières n’existant pas ailleurs, mais en plus, l’autre certitude de pouvoir ne pas lâcher le moindre lest quant à la culture musulmane et même celle de pouvoir l’imposer au pays d’accueil qui à force de « respect », passe dans la soumission pure et simple. Une dernière enquête montre qu’environ la moitié de ces migrants travaille : trop peu pour justifier l’accueil débridé de tout le monde.
Photos de Patrick Martin (à gauche) et Éric Coquerel (à droite) sous licence Creative Commons
« Il faut stopper l’immigration officielle et clandestine »,disait le communiste Georges Marchais, le 9 janvier 1981. « Il est inadmissible de laisser entrer de nouveaux travailleurs immigrés en France alors que notre pays compte près de deux millions de chômeurs français et immigrés », martelait-il encore. Quarante ans plus tard, la gauche en aurait-elle tiré des enseignements ? Pas vraiment.
Dès ce lundi, l’Allemagne va rétablir pour six mois renouvelables des contrôles sur ses neuf frontières, dont celle avec la France (voir blog précédent). Ce week-end, à la Fête de L’Humanité, le député de la Somme, François Ruffin (ex-LFI), a été pour sa part sifflé par des ultras pour avoir rompu avec Jean-Luc Mélenchon et sa vision racialiste d’une société « créolisée » écartant les prolétaires blancs, assimilés de surcroit à des ploucs avinés et adipeux par le leader insoumis. Ces deux faits apparemment disparates ont un même lien : ils remettent en question la révolution cosmopolite construite sur le démantèlement des frontières et l’obsession du métissage.
Après s’être, de facto, évadé en omettant de revenir à la prison de Luynes à l’issue de sa journée de semi-liberté, Aboubakar, 21 ans, a eu le pire réflexe du monde : il est allé demander du travail… sur le point de deal de la rue Poids de la farine, dans le 1er arrondissement de Marseille. Les policiers l’y ont cueilli en pleine transaction, il a reconnu sans difficulté.
C’est une nuit de cauchemar qu’ont vécu 3 chasseurs du domaine maritime public, cette nuit de samedi 14 au dimanche 15 septembre 2024. Alors qu’ils s’étaient positionnés dans leur hutte du marais de Tardinghen, sur la Côte d’Opale, en présence d’un enfant de 3 ans, ils ont dû faire face à l’assaut extrêmement violent d’une soixantaine de migrants.
Cet Algérien de 22 ans, sous OQTF, a été interpellé par les policiers alors qu’il était en pleine transaction de cocaïne avec un client. Pour ne rien arranger à son cas, le vendeur de stupéfiants récidiviste était armé d’une machette et d’une bombe lacrymogène.
«Nous faisons partie des gens qui ont toujours tout accepté. Eh bien, ras le bol» . Dans le hall d’un petit hôtel adjacent à la rue Marx Dormoy, dans le18e arrondissement de Paris , une centaine de riverains du quartier La Chapelle expriment leur colère ce vendredi soir en présence d’élus, dont Danielle Obono, députée LFI de cet arrondissement. Cette réunion est née d’une altercation particulièrement sanglante survenue le 31 août dans leur quartier. Un samedi en pleine matinée, des membres de la communauté afghane se sont affrontés au couteau et à la machette, faisant sept blessés. Le secteur a été bouclé pour permettre l’intervention des secours et des forces de l’ordre.
Les Pays-Bas ne peuvent pas gérer le nombre élevé de migrants. Les centres d’accueil pour demandeurs d’asile sont surpeuplés, les procédures sont trop longues et les coûts montent en flèche. En outre, l’afflux continu de demandeurs d’asile entraîne des problèmes dans les domaines du logement public, des soins de santé et de l’éducation.