La fin du droit du sol ? parlons-en. Une croyance largement partagée (et cyniquement entretenue) veut que la naissance sur le territoire français suffise à obtenir la nationalité française. Tel n’est pas le cas. En réalité, pour bénéficier de la nationalité au titre du droit du sol, il faut être né en France de parents étrangers mais aussi y avoir vécu pendant 5 ans à l’âge de ses 18 ans.
immigration - Page 101
-
Reproduction partielle d’un article très éclairant du site Atlantico sur le droit du sol à Mayotte
-
Immigration en Europe : un Africain coûte 625.000 € durant sa vie aux Pays-Bas
-
Le lycée Averroès de Lille perd une première manche devant le Juge administratif.
Michel Festivi
Suite à la décision prise par le Préfet des Hauts - de- France le 10 décembre 2023, sur avis conforme de la Commission, de résilier le contrat d’association de ce lycée musulman avec l’État, pour divers manquements à ses obligations contractuelles, les avocats du lycée avaient saisi au fond et en référé le Tribunal administratif de Lille, contestant cette conclusion préfectorale.
-
Mansour Kamardine, député de Mayotte : « Les associations jouent un rôle considérable dans l’immigration massive (…) elles sont subventionnées en fonction du nombre de migrants qu’elles accueillent ! »
Le JDD. Mardi dernier, à Mamoudzou, les manifestants se sont réunis devant les locaux de l’association Mayotte Solidarité pour réclamer sa fermeture. Pourquoi cette colère ?
Mansour Kamardine. Tout simplement parce que les associations d’assistance aux étrangers jouent un rôle considérable dans l’arrivée massive des migrants. J’appuie mon affirmation sur ce que j’observe au fil des ans, depuis 2018. Avant cette date, nous n’avions quasiment pas d’associations en charge des migrants à Mayotte.
-
L'immigration n'est pas un débat | IDRISS ABERKANE
-
Mayotte, et ailleurs ?
Yves Thréard
Parti sabre au clair pour contenir la déferlante migratoire qui accable Mayotte, Gérald Darmanin dit vouloir mettre fin au droit du sol sur l’archipel. Un tabou va- t-il enfin sauter ? L’expérience commande d’attendre pour juger. À plus d’un titre, cette réforme ressemble comme deux gouttes d’eau à celle de l’immigration, qui a défrayé la chronique ces derniers mois. D’abord, la fermeté affichée d’un côté est, au nom du « en même temps », compensée par une mesure de générosité : pour faire admettre une plus grande sévérité sur le front des expulsions, on se souvient que l’exécutif a sorti de son chapeau la régularisation des clandestins dans les métiers en tension. Ensuite, on l’a vu, le parcours législatif du texte peut changer pas mal de choses et déboucher sur un résultat très décevant.
-
[Violences ethniques] Après Thomas à Crépol, Filipp à Meinerzhagen
-
Eric Zemmour sur France 2 : Il faut supprimer le droit du sol partout en France !
-
Véronique Bouzou : « Les professeurs s’auto-censurent car ils n’ont pas envie de devenir des cibles sur les réseaux sociaux. » [Interview]
Véronique Bouzou est professeur de français depuis une vingtaine d’années et enseigne dans un collège public de région parisienne. Elle vient de publier « Un monde sans profs », fiction dans laquelle elle décrit les problèmes qui minent le système scolaire français. Nous l’avons interviewée ci-dessous au sujet de son livre.
Breizh-info.com : Pouvez- vous vous présenter à nos lecteurs ?
Véronique Bouzou : Professeur certifiée de Lettres modernes en région parisienne depuis vingt-cinq ans (comme le temps passe !), j’ai commencé ma carrière dans des collèges étiquetés alors sous le doux euphémisme de « sensibles ». Pas étonnant dès lors si j’ai choisi d’intituler mon premier livre paru en 2005 Manuel de survie à l’usage d’un prof de banlieue… Tout un programme !
-
Aide aux migrants : La Cour des comptes alerte sur l’association Coallia qui ne garde la tête hors de l’eau que grâce aux subventions publiques
De nombreux dysfonctionnements et une situation financière précaire jette le doute sur l’avenir de Coallia. Cette association d’aide aux migrants ne garde la tête hors de l’eau que grâce aux subventions publiques.
Coallia (ex-Association pour la Formation des Travailleurs Africains et Malgaches – AFTAM) est l’un des opérateurs français spécialisé dans le logement des travailleurs migrants et des populations « fragiles ».
Portée par l’intensification des flux migratoires, elle a mené une politique de croissance sans maîtrise ni contrôle. En 2021, elle employait près de 4 300 salariés répartis entre 755 établissements.