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immigration - Page 1179

  • «Nous venons en paix» , mais ça va vous coûter cher, les Allemands !

    «Nous venons en paix», c’est notre chronique de choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants » / « réfugiés » / Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM !
    Aujourd’hui, petit passage en Allemagne, où nos voisins sont en train de déchanter… même ceux qui se fichent de la perte d’identité de leur pays sont en train de réaliser que la vague migratoire va les taper ou ça fait mal… au porte-monnaie ! Les observateur prévoient des « Hausses d’impôts massives » pour financer les clandestins.

    « 409 000 immigrés supplémentaires » : ce sont les chiffres officiels du gouvernement allemand pour la période comprise entre le 5 septembre et le 15 octobre, soit environ 10 000 nouvelles arrivées par jour. À ce rythme, le seuil du million sera dépassé avant la fin de l’année.

    De plus en plus d’observateurs relèvent que cette gigantesque vague d’immigration sera tout simplement ingérable. L’économiste Bernd Raffelhüschen, professeur de finances publiques à l’université de Fribourg en Brisgau, a ainsi averti que « les systèmes allemands de protection sociale ne sont prêts en aucune façon pour l’immigration de plus d’un million de personnes. Les conséquences seront des hausses d’impôts massives ».

    Le Professeur Raffelhüschen a souligné que l’Allemagne comptait déjà plusieurs centaines de milliers de chômeurs sans qualification. « Il arrive maintenant jusqu’à 1,5 million de personnes supplémentaires, dont environ 70 % sont également sans qualification ». L’économiste doute que la majorité des immigrés puisse être intégrée dans le marché du travail : « Il s’agira plutôt d’une intégration dans les systèmes de protection sociale ». Or le coût en incombera forcément au contribuable. « Il n’y a aucune alternative ».

    Le Professeur Raffelhüschen prévoit en outre, dans les décennies à venir, une forte augmentation de la pauvreté des personnes âgées. « En effet, des personnes qui arrivent en Allemagne à 30 ans n’ont aucune chance de pouvoir cotiser les 45 années requises pour la retraite ». Là encore, la prise en charge des immigrés âgés ne pourra être financée que par l’impôt.

    Autant de conséquences inéluctables que le gouvernement d’Angela Merkel semble pourtant n’avoir pas pu, ou pas voulu, envisager.

    http://fr.novopress.info/

  • Jean-Marie Le Pen invité de Z&N : « Nous sommes en guerre ! Les troupes de cette guerre sont des civils »

    « Il faut procéder à une mobilisation car contrairement à ce que croient beaucoup de Français nous sommes en guerre. C’est une guerre très différente des précédentes qui étaient des guerres militaires. Dans cette guerre les troupes sont civiles. Par conséquent la manière d’agir contre ces assauts est très différente, il faut de l’imagination. »

    (à partir de 45′)

    Source

    http://www.fdesouche.com/660483-jean-marie-le-pen-invite-de-zn-nous-sommes-en-guerre-les-troupes-de-cette-guerre-sont-des-civils

  • Rome – Des italiens de souche dorment sous des tentes pendant que les immigrés illégaux sont logés aux frais des contribuables

    Voici l’illustration de la préférence étrangère pratiquée par la plupart des gouvernements européens. Des Italiens de souche, ayant perdu leur emploi, nous montrent comment ils dorment sous des tentes à la rue. Au même moment, un peu plus loin, les immigrés illégaux sont logés et nourris par l’Etat…

    http://www.medias-presse.info/rome-des-italiens-de-souche-dorment-sous-des-tentes-pendant-que-les-immigres-illegaux-sont-loges-aux-frais-des-contribuables/41513

  • Contre le chaos migratoire...

    L'analyse sans concession d'un groupe de hauts fonctionnaires

    Groupe Plessis* 

    Ex: http://metamag.fr 

    La crise migratoire qui se déroule sous nos yeux, pour spectaculaire qu'elle soit, n'est que la manifestation renouvelée de l'incapacité de nos gouvernants à mettre en œuvre et assumer des politiques de maîtrise durable des flux de population qui franchissent nos frontières. Pourtant, il n'y a pas de fatalité en la matière.

    Cette impuissance, assortie d'un discours médiatique moralisateur, est en décalage croissant avec les aspirations de la population qui, en butte aux désordres causés par une immigration incontrôlée depuis plusieurs décennies et inquiète des menaces terroristes, recherche protection et sécurité. Il est d'ailleurs frappant de constater que le formidable battage médiatique actuel, qui confine au harcèlement, ne convainc plus guère les Français

    L'accueil des migrants: un irresponsable appel d'air

    Le phénomène migratoire, qui s'est accéléré avec l'effondrement des États libyen et syrien, va encore s'amplifier à la suite du formidable appel d'air que constitue l'accueil, nolens volens, de centaines de milliers de nouveaux migrants en Europe occidentale. Les déclarations du gouvernement, qui évoque l'accueil « provisoire » de seulement 24 000 « réfugiés » alors même qu'aucun contrôle transfrontalier des flux n'est possible et que les retours sont bien improbables, n'ont pour seul mérite que de confirmer l'adage selon lequel, lorsque les événements vous échappent, il faut feindre d'en être l'organisateur. En l'état actuel des choses, il est bien évident que le Gouvernement n'a ni la volonté, ni surtout les moyens, de contrôler efficacement nos 3 000 km de frontières terrestres métropolitaines, sans parler des frontières maritimes.

    Une générosité de façade

    La générosité affichée par nos dirigeants, et par nombre de dirigeants européens, n'est que le masque de l'impuissance. Derrière cette façade, on enrichit des trafiquants impitoyables ( la traite des êtres humains rapporterait désormais plus que le trafic de drogue ), on pousse des malheureux à prendre des risques insensés sur des embarcations de fortune ; on valide la stratégie de Daech de purification éthnico-religieuse, sans parler de la déstabilisation sans doute volontaire de l'Occident par l'arrivée en masse de populations de culture musulmane, sans même parler des probabilités d'infiltration d'éléments terroristes. Ajoutons que l'on vide les pays du Sud de leurs éléments les plus qualifiés et les plus dynamiques. Avec bonne conscience, les dirigeants européens se livrent à une véritable spoliation de l'avenir de ces pays, tout en imposant à leurs propres peuples de se perdre dans une bien aventureuse « dilution dans l'universel », pour reprendre l'expression d'Aimé Césaire.

    « Rien n'est meurtrier comme la lâcheté ; rien n'est humain comme la fermeté. » écrivait Charles Péguy. Face aux menaces actuelles qui engagent notre responsabilité collective vis-à-vis des générations futures, il est temps d'être humains et fermes.

    Une action ferme pour résoudre la crise de l'asile

    Résoudre la crise de l'asile, c'est d'abord s'attaquer aux causes et définir une stratégie claire au Proche-Orient, conforme à nos intérêts: un rapprochement avec l'Iran, une concertation avec la Russie, une politique plus pragmatique à l'égard du régime de Damas.

    S'agissant de populations déplacées par la guerre, la priorité est d'aider matériellement ces populations au plus près de leur pays d'origine, les pays d'accueil, en particulier le Liban, et les organisations humanitaires. Au moment même où les migrants syriens sont au cœur de l'actualité, le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et le Programme alimentaire mondial (PAM) ne disposent pas des moyens nécessaires pour héberger et nourrir les déplacés. Il est aussi inacceptable que des pays proches, qui ne sont pas pour rien dans la guerre civile syrienne, et qui ne manquent pas d'abondantes liquidités, le Qatar ou l'Arabie saoudite, se montrent si peu accueillants. On s'étonnera aussi du rôle joué par la Turquie qui n'aide guère l'Europe .

    Lutter contre les réseaux de passeurs et délocaliser la demande d'asile

    La deuxième priorité est de s'attaquer à l'économie même des passeurs. A cet égard, l'exemple australien est éloquent: aucune arrivée illégale par bateau n'est tolérée, les bateaux sont raccompagnés soit vers leur lieu de départ, soit vers des centres de rétention extraterritoriaux, mis à disposition par des pays riverains et où les demandes d'asiles sont traitées. Le résultat est sans appel: aucun mort en mer à déplorer depuis 18 mois. 

    Il est parfaitement envisageable, pour l'Europe ou, à défaut, pour la France seule, de reproduire ce dispositif en concluant des accords (assortis d'une aide financière) avec des pays du Sud de la Méditerranée pour la création de ces centres. L'action de la Marine serait alors réorientée vers le raccompagnement des embarcations et de leurs passagers en direction de ces centres et vers la traque des passeurs qui est désormais un enjeu de sécurité nationale. Un dispositif européen similaire pourrait également être envisagé pour les demandeurs d'asile empruntant la route terrestre des Balkans. Ne seraient alors admises en France que les personnes s'étant effectivement vues octroyer le statut de réfugié au sens de la Convention de Genève ou de la Constitution. Ce système aurait donc le mérite d'éviter d'introduire en France des demandeurs d'asile dont fort peu répondent aux critères (70 % de déboutés malgré une procédure très favorable aux demandeurs) mais qu'il est ensuite extrêmement difficile d'éloigner (moins de 5% des déboutés).

    Recentrer l'asile au profit des rares authentiques réfugiés

    S'agissant des demandes d'asile déposées en France, le dispositif actuel, largement détourné au profit d'une immigration économique ou sociale et dévoyé par des manœuvres dilatoires et des fraudes de toutes sortes, doit impérativement être revu au profit d'une procédure extrêmement rapide, non créatrice de droit, sous contrôle étroit des autorités et suivie d'une expulsion rapide des déboutés, sans possibilité de solliciter, sinon dans le pays d'origine, un autre titre de séjour.

    Un discours de vérité sur l'immigration

    Cette crise d'une ampleur exceptionnelle appelle un retournement de paradigme qui passe par un changement de discours sur l'immigration. Il est temps d'admettre que, contrairement à certaines idées reçues, la France n'a pas besoin d'une immigration supplémentaire. Et si les beaux esprits le contestent, il n'est que de demander son avis au peuple de France par référendum. Notre taux de chômage élevé, l'immense besoin en formation de nos jeunes inactifs peu qualifiés montrent bien que le pays n'a aucunement besoin d'un apport extérieur de main-d'œuvre, à l'exception de quelques travailleurs particulièrement qualifiés.

    Certains secteurs d'activité emploient massivement une main-d'œuvre étrangère, souvent illégale ( BTP, restauration …). Mais est-ce à la collectivité d'assumer cette charge pour que ces entreprises emploient à moindres frais? L'immigration a d'ailleurs un coût: poids croissant sur le système de santé, sur la protection sociale, sur la politique de logement, sur les établissements scolaires, sans parler des déséquilibres sociaux, ethniques et culturels qu'elle provoque sur de nombreux territoires. Mais le coût principal de cette immigration non choisie est probablement la défiance qu'elle fait naître entre un peuple de France inquiet pour son identité et ses dirigeants qui y semblent indifférents.

    La France peut bien sûr accueillir des personnes par souci d'humanité ou parce qu'elles manifestent un attachement sincère à notre pays, mais il s'agit bien là d'une faveur et non d'un droit, d'un choix et non d'une obligation.

    Une politique migratoire souveraine

    - Pour un contrôle démocratique sur la politique d'immigration: remettre au cœur de nos politiques la souveraineté nationale devrait conduire à fixer un quota annuel, voté par le Parlement, en fonction des besoins et des capacités d'accueil du pays. Le principe d'un tel vote devra être solennellement inscrit dans la Constitution, par voie de référendum. Sa mise en œuvre impliquerait un changement radical dans les pratiques de l'administration qui devrait, sous contrainte, mener une politique active de sélection et de priorisation des candidats.

    - Simplifier le droit des étrangers: le code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile devrait être considérablement simplifié (plus de 1 000 pages en édition courante!), les délais et nombre de recours drastiquement réduits.

    - Inciter au départ les étrangers inactifs légalement présents dont il faut rappeler qu'ils n'ont pas nécessairement vocation à rester sur notre territoire. Ainsi les allocations auxquelles ils ont droit (chômage notamment) pourraient-elles leur être versées dans leur pays: une chance de réinsertion leur serait ainsi donnée ; le poids sur nos services sociaux en serait allégé et ces fonds contribueraient au développement des pays d'origine.

    - Faciliter l'éloignement forcé: en 2014, les vrais éloignements, c'est-à-dire les éloignements forcés hors de l'espace Schengen, n'ont concerné que 6 500 étrangers, chiffre dérisoire au regard des enjeux de l'immigration clandestine. Une simplification drastique des procédures et des recours est nécessaire. De même, tout statut doit être refusé aux étrangers en situation irrégulière. Cela passe par la suppression de l'AME et du droit à une scolarisation en milieu ordinaire: les enfants, qui ont d'ailleurs le plus souvent besoin d'un parcours spécifique, seraient pris en charge dans des structures ad hoc, dans l'attente d'un éloignement. Cela passe aussi par un enregistrement sérieux des entrées et des sorties des étrangers afin de rechercher, pour contrôle et expulsion, ceux restant illégalement sur le territoire.

    - Réviser en profondeur l'accord de Schengen afin de permettre un contrôle réel de l'immigration irrégulière aux frontières nationales: le contrôle aux frontières de l'espace Schengen est un leurre. Sans doute faut-il fixer un principe: franchir illégalement les frontières de l'Union ne crée aucun droit. Sans doute aussi faut-il passer à un système à deux niveaux, c'est-à-dire tout à la fois revenir à un contrôle ciblé mais durable des frontières nationales, qui passe par la constitution d'un véritable corps de garde-frontières, et qui permettra également de faire face aux vastes mouvements de populations intra-communautaires en provenance de Roumanie et de Bulgarie, et commencer à construire un véritable dispositif collectif de contrôle des frontières extérieures. Dans cette attente, doivent être envisagées par la France une mise en œuvre des clauses de sauvegarde prévues par la convention, et sans doute une sortie temporaire du système. Contrairement à ce qui est parfois affirmé, l'expérience hongroise montre que le contrôle des frontières nationales, lorsqu'il est au service d'une politique volontaire, reste un moyen très efficace pour enrayer les flux migratoires clandestins.

    - Sortir de l'angélisme dans la coopération avec les pays d'origine: il n'est pas de contrôle efficace de l'immigration à moyen terme sans une coopération bien comprise avec les pays d'origine que l'on doit inciter à s'engager contre les filières de trafic d'êtres humains, engagement auquel devraient être strictement conditionnées les aides bilatérales et européennes. L'immigration est aussi un drame du désespoir et du déracinement. Il est de la responsabilité des nations européennes d'aider aussi ces pays à trouver la voie d'un développement économique et social qui permettent à leurs populations d'envisager un avenir sur place.

    -Enfin, briser l'outil d'encouragement aux migrations non maîtrisées que représente l'espoir de régularisation. D'exceptionnelles, les régularisations sont devenues, notamment sous la pression d'associations, une modalité banale d'admission au séjour en France et constituent un puissant incitatif à l'entrée et au séjour irréguliers. Dès lors, pourquoi ne pas inscrire dans la Constitution, via un référendum, que les régularisations d'étrangers en situation irrégulière sont interdites?

    *Plessis est le pseudonyme d'un groupe de hauts fonctionnaires qui proposent des solutions concrètes à la crise des migrants

  • [Paris] 21 novembre 2015 : Colloque d’Action française

    Colloque d’Action française le samedi 21 novembre !

    De nombreux intervenants apporteront un éclairage pertinent sur la question de l’immigration. Réservez votre après-midi, participez, et partagez autour de vous !

     

  • La vie en Syrie racontée par des djihadistes de retour en France

    Article intéressant du journal Le Monde sur la vie des jihadistes de l’État Islamique en zone syro-irakienne. On apprend notamment que la DACG redoute des retours en France de combattants « autorisés » par l’EI à mener des attaques terroristes. Autre détail révélateur : il règnerait une ambiance de « cité » dans les bataillons jihadistes (katiba) composés de « Français » et de « Belges ».

    Depuis le début des frappes de la coalition contre l’Etat islamique, en août 2014, l’organisation aurait perdu, selon les estimations, jusqu’à 9 000 combattants. Afin de limiter l’hémorragie de ses forces vives, l’EI aurait mis en œuvre au début de l’année une politique de dissuasion des désertions, n’hésitant pas à exécuter les velléitaires. Forte de ce constat, la Direction des affaires criminelles et des grâces (DACG), une direction d’administration centrale du ministère de la justice, invite les magistrats antiterroristes « à considérer avec une particulière vigilance » les retours récents de djihadistes français, ces derniers pouvant être « potentiellement autorisés » par l’EI et « porteurs de projets terroristes ».

    Cette mise en garde intervient en conclusion d’une synthèse inédite réalisée par la DACG à partir des déclarations de ressortissants français mis en examen à leur retour de la zone irako-syrienne. Intitulé « Recrutement, parcours et activités des combattants français », ce document, qui relate en détail leur vie quotidienne sur place, a été envoyé début octobre à l’ensemble des magistrats référents sur le terrorisme.

    Lire la suite sur Lemonde.fr…

    http://www.contre-info.com/

  • IFCM : un institut de la civilisation musulmane payé avec nos impôts ?

     

    Bernard Cazeneuve avait récemment fait le déplacement pour célébrer les 20 ans de la Grande Mosquée de Lyon. Le ministre de l’Intérieur avait alors déclaré à cette occasion :

    Le gouvernement soutient votre projet (d’Institut français de civilisation musulmane, IFCM) : la richesse de la civilisation musulmane doit être connue et mieux diffusée en France.

    La plupart des collectivités locales (Ville de Lyon, Région, Département) semblent prêtes à verser une subvention si l’Etat fait de même. L’IFCM devrait alors abriter notamment un musée des Arts islamiques, une grande bibliothèque et des salles de conférence.

    Les Identitaires lyonnais a décidé de mener une campagne pour dénoncer ce projet islamique financé par nos impôts.

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    http://fr.novopress.info/

  • Tiens bon Marine !

    L’affaissement de cet Etat rongé par le manque de courage, l’esprit de démission, sa soumission, par le bas, aux communautarismes multiculturels, et par le haut, à une Europe atlanto-bruxelloise qui le  vide de sa substance et de son autorité, est chaque jour plus criant. Nous le constatons encore avec les exactions et les violences commises par des «gens du voyage» ces dernières semaines. En août, ils ont saccagé en toute impunité du  mobilier urbain, bloqué la circulation sur l’autoroute A1 dans la Somme,  pour réclamer la permission de sortie de prison  de l’un  des leurs afin qu’il  puisse assister aux funérailles de son père. Ces derniers jours, ils ont bloqué pendant plus de deux semaines ( !) la gare de Castres (Tarn)  dans laquelle  plus un train ne circulait, terrorisant employés et riverains,  pour se venger de la fermeture d’un camp d’accueil…en  cours   de rénovation. Malgré la décision  du  tribunal de grande instance de Castres, l’Etat n’a pas jugé urgent d’ordonner le recours  à la force publique pour  rétablir la liberté de circulation et  faire respecter la loi républicaine.

    Hier, c’est la commune de Moirans (Isère) qui a été saccagée,  ravagée  par des  gens du voyage (les dégâts sont évalués à 200 000 euros rapporte France info) qui  exigeaient que deux voyous incarcérés  appartenant à leur communauté  bénéficient d’une permission de sortie de prison pour assister aux obsèques d’un membre de leur famille. A chaque fois,   aucune interpellation n’a été effectuée,  mais rassurez braves gens, Manuel Valls et Christiane Taubira ont tweeté pour  nous  assurer de leur fermeté, de leur  attachement  au respect de la loi…de qui se moque-t-on ?  

    Hier toujours, le parquet a demandé la relaxe de Marine Le Pen qui comparaissait  devant le tribunal correctionnel de Lyon  pour ses propos condamnant  les prières de rue, suite à l’action en justice menée par l’Observatoire national contre l’Islamophobie du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) d’Abdallah Zerki, le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), le Mrap,  la Ligue judiciaire de défense des musulmans (LJDM) de  Karim Achoui, la Licra (voir notre article publié hier).

    Dans ce contexte, Le Parisien a mis en ligne sur son site un article dont la tonalité est assez récurrente ces dernières années, à savoir les efforts entrepris par le FN pour draguer l’électorat musulman,  avec la distribution «d’un magazine fait sur mesure» «aux habitants des zones dites sensibles. Ils comportent un encart spécifique à l’adresse de la communauté musulmane, au titre évocateur :  Musulman peut-être, mais Français d’abord.»

    Plus prosaïquement précise Bruno Gollnisch,  tous les observateurs un peu sérieux savent que  le FN a en effet toujours tendu la main à tous les Français…pour peu qu’ils se reconnaissent  comme tels et partagent nos valeurs civilisationnelles  et patriotiques.

    «La stratégie sera-t-elle payante dans des zones où la gauche se taillait la part du lion mais où le mariage homosexuel a fait des dégâts ?» s’interroge encore cet article. «En 2012, les quartiers avaient voté à 80 % pour Hollande.  C’est un des milieux les plus impénétrables pour eux, assure le député PS Malek Boutih. Reste que Marine Le Pen espère y rencontrer un écho. Ce n’est pas idiot comme stratégie. Pour conquérir des électeurs, il faut dire qu’on s’y intéresse. Le FN est tellement bas dans les quartiers sensibles qu’il ne peut que progresser, analyse Gaël Sliman de l‘institut Odoxa.»

    « Mais pour ce spécialiste, si le Front s’aventure dans les cités, c’est aussi pour des questions d’image : La cible, ce ne sont pas les musulmans, ni les habitants des cités, mais les autres. C’est de la pure communication, une façon de dire regardez, on n’est pas racistes, on a un discours républicain, renchérit le sociologue Sylvain Crépon. Une nouvelle étape dans la dédiabolisation».

    Il est  certain  que le vote d’un très grand nombre de  Français d’origine maghrébine, d’Afrique noire, relève d’une pure logique clientéliste, leurs suffrages   allant  à ceux qui  promettent et distribuent  le plus en terme d’avantages divers et variés. Et à ce jeu là,  la gauche  était assez largement gagnante,  sa réputation de générosité et de laxisme, notamment dans le domaine migratoire,  étant encore mieux établie que celle de la droite républicaine.

     La crise est passée par là,  faute d’argent les promesses sont parfois (souvent)  restées lettre morte et l’abstention, déjà très  importante au sein de populations dont une part non  négligeable ne se sent pas française, a progressé comme partout   sur fond de désillusions grandissantes. Pour ne rien dire, comme le souligne  Le Parisien,  du rejet par des communautés structurées encore par  des valeurs  patriarcales très fortes,   d’une gauche jugée très sévèrement  pour ses attaques contre la morale, la  famille traditionnelle (Taubira, Vallaud-Belkacem). Certains pointent aussi les dégâts engendrés  au sein des potentiels électeurs  musulmans  au tropisme pro-palestinien, par l’image d’«ultra-sioniste» militant, très répandue sur les réseaux sociaux,  que véhicule  Manuel Valls.

    Musulmans qui ont parfois la tête près du bonnet, du moins certains groupes de pression  parlant en leur  nom.  Ainsi Nadine Morano, pour sa citation approximative de De Gaulle sur la France «pays judéo-chrétien»  de «race blanche » («Le peuple français est tout de même avant tout un peuple de race blanche, de culture gréco-latine et de religion chrétienne» disait De Gaulle), est l’objet, comme Marine dans l’affaire citée plus haut,   d’une plainte de  la Ligue de défense judiciaire des musulmans (LDJM). Celle-ci a été  envoyée au parquet de Paris, rapporte l’AFP, au motif de  «provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence en raison de l’origine, de l’appartenance ou de la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée», précise l’avocat de la Ligue, Jean-Baptiste Jacquenet-Poillot.

    Une affaire Morano, dont assez maladroitement, le chevènementiste Elie Arié dont le blogue est hébergé sur le site de Marianne, entend faire un marqueur  entre néo et archéo frontistes.  «Depuis un certain temps écrit-il, Marine Le Pen, avec la collaboration de Florian Philippot, s’est lancée dans une entreprise de  dédiabolisation  du FN, pour mieux coller à la réalité des préoccupations de son électorat, bien éloigné des nostalgiques du régime de Vichy qui sont en train de disparaître à mesure que les années passent (les nostalgiques du gaullisme et du giscardisme  aussi à ce compte là M. Arié !, NDLR) ; il est significatif de voir Florian Philippot opposer son gaullisme aux pétainistes de son parti».

    Il serait assez simple de renvoyer ce blogueur de Marianne  à la lecture du  dernier programme du FN, publié  en 2001,  et il tâchera de nous dire en quoi celui-ci heurterait un nouvel adhérent ou électeur mariniste, un gaulliste, ou en  quoi il serait  pétainiste…

    «Mais l’entreprise reste fragile poursuit M. Arié, et l’opération est loin d’être gagnée : Philippot est le seul à se réclamer du gaullisme, et reste sur un siège éjectable;  le FN continue à s’allier aux seuls partis d’extrême-droite, notamment au Parlement Européen ; ses positions sur certains thèmes sociétaux ( IVG, mariage homosexuel, PMA,  peine de mort, condamnation des propos négationnistes par la loi Gayssot) est loin d’être claire (sic) ; surtout, sa vision de la France reste une vision plus ethniciste que politique et citoyenne (voir les récents encouragements de Bruno Gollnisch à Nadine Morano pour ses propos sur la  race blanche). »

    Outre le caractère un brin  malicieux du « tiens bon Nadine ! » lancé par Bruno à Mme Morano dans les couloirs du parlement européen  alors qu’elle était entourée d’une nuée de  journalistes, la réflexion de M. Arié est très significative d’une incompréhension majeure.

    Il faut en effet véritablement  avoir  une  vision bien désincarnée, étriquée, hors sol de  la France et des Français pour ne pas comprendre que notre nation  n’est pas seulement une construction juridique mais aussi et surtout une réalité charnelle. Et ce n’est pas faire insulte  à nos compatriotes ultramarins ou aux «Français de fraîche date» que de le rappeler. La France à une identité qu’elle entend conserver et c’est là le plus grand dénominateur commun  qui rassemble les électeurs, cadres et dirigeants du Front National. Quelles que soient leurs «origines».

    http://gollnisch.com/2015/10/21/tiens-bon-marine/

  • «Jungle» de Calais : doublement du nombre de clandestins en 3 semaines !

     

    La «jungle» de Calais a vu sa population doubler en trois semaines, passant de 3000 à 5500 à 6000, selon la préfète du Pas-de-Calais. Ce campement de clandestins est en train de se transformer en ville dans la ville, avec bibliothèque, restaurants, école… 

    «Il faudrait peut-être un préfet à l’immigration qui n’existe pas et il faudrait peut-être que l’armée vienne pour surveiller ce lieu» a déclaré Natacha Bouchart, maire LR de la ville de Calais, à RMC info, évoquant cette «ville de 6000 personnes où l’on ne sait pas trop ce qu’il s’y passe à l’intérieur».
    Dans le même temps, le gouvernement affiche une fermeté de façade face à l’immigration illégale. Cherchez l’erreur…

    http://fr.novopress.info/

  • Procès politique contre Marine Le Pen

    Depuis la loi du 16 septembre 2011, les prières de rue sont formellement interdites en France. Les occupations de l’espace public par une pratique religieuse sont mal acceptées des Français car symboliques du communautarisme qui gangrène notre pays.

    L’expression publique de la religion est un droit en France, mais les manifestations sur la voie publique doivent faire l’objet d’une déclaration et peuvent être interdites si elles constituent un trouble à l’ordre public. L’appropriation de l’espace public par une religion est, en outre, contraire au principe de laïcité et peut être assimilée à une occupation conquérante, voire séditieuse, du territoire national. Les prières de rue musulmanes, telles que celles qui avaient cours dans le quartier de la Goutte d’Or à Paris, n’ont d’ailleurs rien de comparable avec les manifestations de caractère traditionnel reconnues par la jurisprudence administrative comme ayant un droit à perdurer.

    Forte de ce constat, et en avance sur la loi du 16 septembre 2011, Marine Le Pen avait déclaré à Lyon au sujet des prières de rue : « Je suis désolée mais, pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde Guerre mondiale, s’il s’agit de parler d’Occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça, c’est une occupation du territoire. […] C’est une occupation de pans du territoire, des quartiers, dans lesquels la loi religieuse s’applique, c’est une occupation. Certes, il n’y a pas de blindés, pas de soldats, mais c’est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants. »

    Dans ces propos, nul appel à la haine, mais un simple constat. Marine Le Pen n’a pas dit que la présence de musulmans sur le territoire national constituait une occupation ; elle a simplement indiqué que les prières de rue sont des manifestations de puissance intolérables, et peuvent être comparées à une occupation. Ce n’est pas la même chose. Elle n’a pas jeté l’opprobre sur les musulmans dans leur ensemble mais a pointé du doigt quelques imams, et pratiquants, qui utilisent l’espace public pour faire la promotion de leur religion. Cela serait valable pour des catholiques, des juifs ou des bouddhistes surpris dans la même posture.

    Marine Le Pen avait raison et fut suivie par le législateur un peu plus d’un an après. En effet, des citoyens ne partageant pas la foi des fidèles priant dans la rue étaient empêchés de circuler librement dans la rue. Cela était, et reste, intolérable. On peut d’ailleurs regretter que la loi du 16 septembre 2011 ne soit pas mieux appliquée, les prières de rue existent toujours dans de nombreux quartiers en France, gênant de nombreux habitants.

    Le procès fait à Marine Le Pen est donc purement politique, comme celui, tout aussi ridicule, qui est fait en ce moment à Julien Sanchez, maire de Beaucaire. Des associations communautaires font un lobbying insensé auprès du pouvoir, Christiane Taubira en tête, pour salir et discréditer le Front national à l’approche des élections régionales. Les champions autoproclamés de la liberté d’expression ne se lèveront pas pour défendre Marine Le Pen, comme ils l’ont fait pour le rappeur Médine qui, dans une chanson, avait appelé à « crucifier des laïcards ». Il est plus facile de s’abriter derrière des slogans creux sur le « vivre ensemble » que de se lever contre le fondamentalisme islamiste.

    source :Boulevard Voltaire ::lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuVuEZVVZnDJENSTk.shtml