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immigration - Page 1182

  • Autriche : « Avec l’immigration, le christianisme va disparaître »

    Manfred Haimbuchner, vice-gouverneur de Haute-Autriche, s’élève contre les catholiques dhimmisés qui veulent toujours plus d’immigration… ce qui conduirait à la disparition du catholicisme.

    Manfred Haimbuchner est président du FPÖ (Parti de la liberté) de Haute-Autriche. En septembre dernier, il a conduit son parti à un succès électoral sans précédentaux élections au Parlement du Land : les Freiheitlichen ont doublé leur score pour atteindre 30 % des voix. Grâce à un accord avec les conservateurs – qui, en Autriche, ne pratiquent pas le « cordon sanitaire » –, Manfred Haimbuchner est aujourd’hui, à tout juste 37 ans, vice-gouverneur de Haute-Autriche.

    Le 13 décembre, il a accordé une longue interview au quotidien viennois Der Kurier, qui lui a notamment objecté les propos du nouvel évêque de Linz, la capitale de la Haute-Autriche, Manfred Scheuer : « Il est contre les plafonds de migrants. Il rejette ce que vous demandez ». À peine arrivé dans son diocèse, l’évêque Scheuer avait effectivement tenu une conférence de presse pour dire son opposition catégorique à tout plafonnement de l’immigration : « Je suis de l’avis de la chancelière allemande Angela Merkel. L’asile est un droit de l’homme, on ne peut pas lui mettre de limites ».

    En réponse, Manfred Haimbuchner a développé une opposition fondamentale – et qui ne vaut certes pas que pour l’Autriche – entre deux catholicismes : le catholicisme identitaire des peuples et le catholicisme dhimmisé des princes des prêtres.

    Si nous n’introduisons pas de plafonds de migrants, le christianisme disparaîtra en Autriche. Je ne crois pas que ce soit l’objectif de l’évêque. Si chaque année des centaines de milliers de musulmans arrivent dans le pays, nous autres catholiques disparaîtrons. Je suis bouleversé par ce que dit sur ce point une partie de l’Église catholique. Car il s’agit aussi du fait que nous soutenons le christianisme. J’ai du mal à comprendre que l’on ne reconnaisse pas les proportions de l’immigration. L’Église catholique se croit sauvée en faisant venir dans ce pays le plus possible de gens d’une autre religion, parce qu’elle perd toujours davantage sa crédibilité auprès de la population de souche. C’est très inquiétant. Autrefois, l’Église essayait d’évangéliser les autres. Aujourd’hui une partie de l’Église soutient une politique qui fera de notre propre pays une terre de mission. […] Je suis moi-même catholique, mais un catholique carré. Je ne suis pas un catholique du Secours catholique [Caritas-Katholik], je fais partie des chrétiens qui sont capables de se défendre.
    Qu’est-ce que c’est qu’un catholique du Secours catholique [Caritas-Katholik] ?
    Ce sont ceux qui défendent une politique de l’accueil mal comprise. La paix en Europe n’est pas seulement menacée par les attaques terroristes, mais par les sociétés parallèles. La liberté, la sécurité, la paix ne vont pas de soi. Ce qui va s’imposer de plus en plus au centre de la réalité politique, c’est qu’il faut se battre pour elles.

    http://fr.novopress.info/196420/autriche-limmigration-christianisme-va-disparaitre/

  • Garde-frontières européens : le putsch légal de la Commission européenne

    La commission européenne veut mettre en place un corps de garde-frontières pour lutter contre la vague migratoire. Problème : la commission pourra décider sans l’État concerné de faire intervenir ces forces de l’ordre.

    Sous couvert de répondre (enfin !) aux préoccupations soulevées par l’invasion migratoire, la Commission européenne veut dynamiter ce qui reste de souveraineté aux États.
    L’UE veut en effet créer une véritable agence européenne de garde-côtes et de garde-frontières, constituée de milliers de personnels mobilisables rapidement en cas de menace grave à une frontière de l’Union. Ce serait via une refonte de Frontex, l’agence européenne que naîtraient les premières forces de l’ordre de l’Union Européenne. Dotée d’un personnel permanent de 1  000 agents (contre 400 actuellement), et d’un corps de réservistes de 1  500 personnels (composé de garde-côtes et de garde-frontières nationaux), cette force serait mobilisable en deux ou trois jours.
    Comment parvenir à de telles performances alors qu’actuellement il faut plusieurs semaines pour rassembler les renforts dépêchés par les États en cas de crise ? Simple : en passant par dessus leur tête.

    En cas de crise, la Commission pourrait demander à un comité d’experts de valider en urgence une intervention du corps de garde-frontières. La procédure, rapide, mais opaque, relève de la « comitologie », un mode de décision bruxellois particulièrement décrié, puisqu’il relève du putsch légal à l’encontre des États. Récapitulons :
    1/La commission se saisit d’un dossier, par exemple la trop grande porosité des frontières grecques.
    2/Elle décide d’envoyer les garde-frontières européens. Devant « l’urgence », elle ne demande pas son avis à la Grèce.
    3/Cette décision doit être entérinée par un comité, composé de représentants des États-membres, mais présidé par la Commission (on devin ou va l’allégeance des experts…). La réunion peut être convoquée en urgence et se tenir par téléphone.
    4/Refuser cette proposition relève pour le comité de la gageure, car ils doivent rassembler une «  majorité qualifiée inversée  », d’au moins 73 % des voix contre.
    5/La commission, à la fois organe décisionnaire et partie prenante dans son propre organisme de contrôle, peut ainsi facilement imposer sa volonté, dans le respect des procédures, qui tient lieu à Bruxelles de légalité kafkaïenne.
    Ainsi, selon un diplomate de haut rang,

    Cette proposition de la commission va trop loin notamment la partie sur la cosmétologie. Décider d’une invasion en comitologie ? C’est une plaisanterie.

    Si la France et l’Allemagne sont pour – et pour cause, elles sont à l’origine de l’idée, surtout l’Allemagne, cela fait longtemps que la France n’est plus à l’origine de quoi que ce soit — les petits pays européens freinent des quatre fers. La Pologne et la Hongrie ne veulent pas en entendre parler, les Tchèques et les Slovaques sont très critiques, l’Espagne et Chypre sceptiques.
    Le chef de la diplomatie polonaise, Witold Waszczykowski, a qualifié l’initiative de « non démocratique. »

    Cela signifie qu’une institution serait créée, qui déciderait de manière arbitraire de son action sans la participation des États-membres

    Belle définition d’un putsch « légal ». Espérons que ces États qui parlent avec la voix de la raison sauront se faire entendre au Conseil européen, qui devra valider ce projet à la majorité qualifiée et que le parlement européen saura se lever contre la dérive autoritaire -pas neuve, hélas- de la Commission.

    Charles Dewotine

    http://fr.novopress.info/196409/garde-frontieres-europeens-putsch-legal-commission-europeenne/

  • Garde-frontières européens : le putsch légal de la Commission européenne

    La commission européenne veut mettre en place un corps de garde-frontières pour lutter contre la vague migratoire. Problème : la commission pourra décider sans l’État concerné de faire intervenir ces forces de l’ordre.

    Sous couvert de répondre (enfin !) aux préoccupations soulevées par l’invasion migratoire, la Commission européenne veut dynamiter ce qui reste de souveraineté aux États.
    L’UE veut en effet créer une véritable agence européenne de garde-côtes et de garde-frontières, constituée de milliers de personnels mobilisables rapidement en cas de menace grave à une frontière de l’Union. Ce serait via une refonte de Frontex, l’agence européenne que naîtraient les premières forces de l’ordre de l’Union Européenne. Dotée d’un personnel permanent de 1  000 agents (contre 400 actuellement), et d’un corps de réservistes de 1  500 personnels (composé de garde-côtes et de garde-frontières nationaux), cette force serait mobilisable en deux ou trois jours.
    Comment parvenir à de telles performances alors qu’actuellement il faut plusieurs semaines pour rassembler les renforts dépêchés par les États en cas de crise ? Simple : en passant par dessus leur tête.

    En cas de crise, la Commission pourrait demander à un comité d’experts de valider en urgence une intervention du corps de garde-frontières. La procédure, rapide, mais opaque, relève de la « comitologie », un mode de décision bruxellois particulièrement décrié, puisqu’il relève du putsch légal à l’encontre des États. Récapitulons :
    1/La commission se saisit d’un dossier, par exemple la trop grande porosité des frontières grecques.
    2/Elle décide d’envoyer les garde-frontières européens. Devant « l’urgence », elle ne demande pas son avis à la Grèce.
    3/Cette décision doit être entérinée par un comité, composé de représentants des États-membres, mais présidé par la Commission (on devin ou va l’allégeance des experts…). La réunion peut être convoquée en urgence et se tenir par téléphone.
    4/Refuser cette proposition relève pour le comité de la gageure, car ils doivent rassembler une «  majorité qualifiée inversée  », d’au moins 73 % des voix contre.
    5/La commission, à la fois organe décisionnaire et partie prenante dans son propre organisme de contrôle, peut ainsi facilement imposer sa volonté, dans le respect des procédures, qui tient lieu à Bruxelles de légalité kafkaïenne.
    Ainsi, selon un diplomate de haut rang,

    Cette proposition de la commission va trop loin notamment la partie sur la cosmétologie. Décider d’une invasion en comitologie ? C’est une plaisanterie.

    Si la France et l’Allemagne sont pour – et pour cause, elles sont à l’origine de l’idée, surtout l’Allemagne, cela fait longtemps que la France n’est plus à l’origine de quoi que ce soit — les petits pays européens freinent des quatre fers. La Pologne et la Hongrie ne veulent pas en entendre parler, les Tchèques et les Slovaques sont très critiques, l’Espagne et Chypre sceptiques.
    Le chef de la diplomatie polonaise, Witold Waszczykowski, a qualifié l’initiative de « non démocratique. »

    Cela signifie qu’une institution serait créée, qui déciderait de manière arbitraire de son action sans la participation des États-membres

    Belle définition d’un putsch « légal ». Espérons que ces États qui parlent avec la voix de la raison sauront se faire entendre au Conseil européen, qui devra valider ce projet à la majorité qualifiée et que le parlement européen saura se lever contre la dérive autoritaire -pas neuve, hélas- de la Commission.

    Charles Dewotine

    http://fr.novopress.info/196409/garde-frontieres-europeens-putsch-legal-commission-europeenne/

  • Pays-Bas : émeute de la population face à l’invasion de « migrants »

    paysbas.gifA Geldermalsen aux Pays-Bas, la population s’est révoltée au soir d’un conseil municipal voulant installer un camp de « migrants » dans la ville !
    A quand la même chose en France ?

    Le 16 décembre, alors que le conseil municipal du village hollandais de Geldermalsen discutait d’accepter la venue de 1500 « réfugiés » dans la ville, il a été attaqué par ses propres citoyens. Les politiciens et autres participants au conseil municipal ont du être évacués, deux policiers ont été blessés et trois d’entre eux ont même effectué des tirs de sommation. Quatorze citoyens ont été arrêtés (peut-être davantage dans les jours à venir).

    Les Hollandais en ont ras-le-bol que des centaines d’étrangers (principalement des jeunes hommes) soient placés dans leurs villages sans qu’on leur ait demandé ou qu’on les ait informés, les protestations sont de plus en plus vigoureuses et orientées vers les politiciens/traîtres.

    http://www.contre-info.com/pays-bas-emeute-de-la-population-face-a-linvasion-de-migrants

  • Immigration musulmane. Donald Trump sait ce qu'il fait

    Donald Trump est le candidat républicain qui tient la tête des sondages, quelques semaines avant le commencement des primaires. Sa récente déclaration concernant la nécessité d'interdire aux Etats-Unis l'immigration de musulmans a été en Europe considérée comme une erreur fatale, le faisant assimiler dans l'opinion américaine comme un fasciste insupportable, quasiment un Adolphe Hitler.
    Depuis lors, différents articles parus sur la presse alternative montrent qu'au contraire, The Donald a exprimé une opinion très répandue. Cette franchise devrait augmenter encore ses chances d'être élu à la présidence des Etats-Unis.
    On peut lire ceci par exemple dans Zerohedge en date du 11.12.2015 http://www.zerohedge.com/news/2015-12-11/guest-post-establishment-unhinged
    Nous résumons:Le propos de Trump a été déformé. En réalité il a demandé un moratoire concernant l'immigration musulmane tant que les responsables politiques n'auront pas éclairci les relations avec les pays musulmans, notamment en ce qui concerne le respect par eux des valeurs américaines et de la Constitution.Il a précisé que la Constitution préserve la liberté de religion pour les citoyens américains., mais n'attribue pas de droits au profit de l'immigration étrangère. En temps de guerre notamment, le président a toujours été autorisé par les lois fédérales a décider qui entre et qui n'entre pas.Plusieurs raisons justifient aujourd'hui ce moratoire: le terrorisme dont la majorité des représentants se disent musulmans - la plus grande sensibilité des musulmans aux campagnes de radicalisation, notamment dans les mosquées et par internet – la grande probabilité d'un choc de civilisation, selon le terme de Samuel Huntington, entre l'Occident et le monde musulman.Donald Trump ajoute qu'un nombre indéterminé mais conséquent des 1,6 milliard de musulmans dans le monde militent pour la généralisation de la charia et le jour où les « infidèles » se convertiront ou seront tués. Dans les pays à majorité musulmane, notamment au Moyen Orient, les Juifs et les Chrétiens ont été éliminés ou obligés de fuir.Plus généralement, avec les guerres éthiques et sectaires qui ravagent l'Afghanistan, l'Irak, la Syrie, la Turquie, le Yemen, la Libye, le Nigéria et la Somalie, il serait irresponsable de laisser entrer aux Etats-Unis des individus impliqués dans ces conflits meurtriers.Les pays européens, qui avaient accepté des millions d'immigrants provenant de ces pays, sont en train de revoir leur position. Ne faut-il pas que les Etats-Unis se demandent pourquoi. Ni Israël ni le Japon, pour ce qui les concernent, n'acceptent d'immigration musulmane. Ils s'en trouvent très bien.
    En Europe, certains se sont demandé comment Donald Trump, s'il accédait au pouvoir, ferait pour trier entre musulmans et non musulmans, tâche considérée comme impossible vu l'absence d'état-civil précisant la religion. Pour Trump, la question ne se pose pas. Il interdira toute immigration de nationaux provenant des pays musulmans ou à majorité musulmane.Des sondages réalisés à la suite de ces déclarations montrent que celles-ci sont approuvées par une grande majorité de citoyens, y compris parmi les musulmans de nationalité américaine.
    12/12/2015

  • Combien de « radicalisés fichés S » opèrent dans des zones dangereuses pour notre sécurité ?

    On a constaté que sur la plateforme de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, 57 agents assermentés soupçonnés de radicalisation s’étaient vus retirer leur habilitation. La direction d’Air France se refusait alors à tout commentaire.
    Toutes les entreprises concernées, et même les syndicats, s’accordent à reconnaître que des « radicalisés fichés S » sont employés dans des zones jugées sensibles, aussi bien dans les aéroports de Paris et de toute la France mais également à la SNCF, à la RATP et dans bien d’autres services publics et privés. Ils opèrent dans des zones dangereuses pour notre sécurité.

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  • Les Calaisiens en colère : une page Facebook pour découvrir « les joies » de l’invasion migratoire

    Capture

    La page Facebook des Calaisiens en colère est mise à jour quotidiennement avec des vidéos prises par les habitants, des témoignages et des articles de presse. Un bon moyen pour éveiller les Français gavés de télévision. Nous devons rapidement nous préoccuper de la situation calaisienne, sinon demain, ce sera notre quotidien…

    https://www.facebook.com/Les-Calaisiens-en-Col%C3%A8re-479803612168266/

    http://www.contre-info.com/

  • Interdit de critiquer l'immigration : Éric Zemmour condamné

    Lu dans Valeurs Actuelles :

    "« Je pense que nous nous dirigeons vers le chaos. Cette situation de peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile »avait déclaré Éric Zemmour dans le quotidien italien le Corriere Della Sera, en octobre 2014.

    Le polémiste avait ajouté que les musulmans «ont leur code civil, c'est le Coran», qu'ils «vivent entre eux, dans les banlieues (et que)  les Français ont été obligés de s'en aller».

    Des propos qui lui ont valu d’être condamné, ce jeudi, pour« provocation à la haine envers les musulmans ». Il devra s’acquitter d’une amende de 3 000 euros."

    Michel Janva