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immigration - Page 1180

  • Viol raciste d’Évry : cela s’appelle l’horreur

     (Présent 8465)

    Lundi, s’est ouvert devant la cour d’assises des mineurs de l’Essonne le procès d’un « jeune » d’origine turque pour « viols en récidive, actes de torture et de barbarie ». L’histoire d’une agression monstrueuse, insoutenable, directement inspirée par des mœurs d’importation, mais dont la justice aura délibérément et honteusement atténué la gravité en refusant de retenir sa dimension raciste.
    8465 P1Mœurs d’importation
    Les faits remontent à la nuit du 30 mars 2014, lorsqu’une jeune femme de 18 ans, de retour d’une soirée passée à Paris, est brutalement accostée par quatre « jeunes » encapuchonnés et armés en sortant de la gare RER d’Evry-Courcouronnes. L’accusé exige d’abord qu’elle lui remette son téléphone portable, puis commence à la fouiller et à s’emparer de ses bijoux. Très vite, la bande l’entraîne derrière un talus, la déshabille tout en la frappant, et la viole. Dérangés par un passant, ils l’emmènent alors dans le parc des Coquibus, où l’accusé abuse à nouveau d’elle tandis que les trois autres la frappent à coups de bâton. Près de deux heures durant, ses tortionnaires s’acharneront sur elle, la violant à plusieurs reprises, la torturant, et l’humiliant, notamment en lui urinant et en lui déféquant dessus, avant de l’abandonner en la menaçant de mort si elle les dénonce.

    Racisme antifrançais
    Grâce à son témoignage et aux bandes de vidéosurveillance de la gare, les policiers interpelleront rapidement ses bourreaux : quatre « jeunes » âgés de 13 à 17 ans, dont trois frères d’origine turque. L’aîné, jugé depuis lundi, est un multirécidiviste bien connu de la police. Condamné à 4 ans de prison, dont 2 avec sursis, pour le viol d’un garçon de 13 ans en mai 2012, la justice l’a libéré dès septembre 2013, lui permettant ainsi d’infliger le martyre à cette jeune femme.

    Durant leur garde à vue, tous les quatre invoqueront des motivations racistes. Le plus âgé lançant notamment aux policiers qui l’auditionnaient : « Quand je sortirai, je niquerai la France. » Un autre avouant de son côté avoir demandé ses origines à la victime, tandis qu’un troisième confiait s’en être pris à elle « parce qu’elle était française et qu’il n’aime pas les Françaises ». Pourtant, les autorités policières et judiciaires tairont cette information. Plus fort encore : dans leurs qualifications, les juges ne devaient pas retenir la dimension raciste de ce crime !

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/

  • Demande d’asile : la Cour des comptes estime que 96% des déboutés restent en France

    Ces clandestins n’obtiennent pas le bout de papier républicain, mais ils continuent de profiter de tout notre système social (aides financières, CMU, logement gratuit etc…). La première des mesure serait pourtant de les contraindre a rentrer chez eux…

    Un véritable réquisitoire. Dans unrapport publié mardi 20 octobre, la Cour des comptes dénonce une politique dedemande d’asilemal« maîtrisée ». Selon le document signé du premier président de la Cour, Didier Migaud, la longueur de la procédure contribue à ce que« in fine plus de 96% des personnes déboutées resteraient en France ». La Cour s’appuie sur des chiffres de la Direction générale des étrangers en France (DGEF), faisant état de 1 432 éloignements sur 40 206 personnes déboutées en 2014.

    Au chapitre des coûts, la Cour note« des dépenses en forte croissance à mieux maîtriser ». Celles-ci se sont élevées à 690 millions d’euros en 2013, auxquels il faut ajouter les dépenses de santé et les frais de scolarisation, « qu’il est difficile d’évaluer avec précision ». Les dépenses ont ainsi augmenté de 52% entre 2009 et 2014, soit plus que la progression de 36% des demandes d’asile sur la même période.Source

    http://www.contre-info.com/

  • Emeutes, scènes de guerilla urbaine et soulèvements de Roms en Isère

    Il ne s'agit pas de scènes photographiées à Gaza ou en Syrie mais bien en France.

    2278623lpw-2278684-article-jpg_3117227_660x281"Voies SNCF coupées, voitures en feu, saccages : des dizaines de gens du voyage se sont soulevés mardi soir à Moirans (Isère) pour demander la sortie de prison de l'un d'entre eux pour assister à des obsèques, a-t-on appris de sources concordantes. « Une centaine de personnes avec des barres en fer bloquent la gare. Autour, il y a eu de lourds saccages, notamment le restaurant attenant à la gare. Sur les voies SNCF, ils ont fait brûler des voitures"(source)

    "Dans la nuit de vendredi à samedi, trois jeunes tziganes gantés et cagoulés, dont certains mineurs, sont morts en rentrant d'un cambriolage à Saint-Joseph-de-Rivière (Isère) dans une collision contre un arbre à bord d'une voiture qu'ils venaient de voler. Un quatrième occupant a survécu" (source)

    N-MOIRANS-large570En lien avec ces incidents, une mutinerie a par ailleurs éclaté au centre de détention d'Aiton(Savoie) (...) "Les détenus du centre de détention ont refusé de réintégrer leurs cellules après la promenade, précise le DauphinéIls ont bloqué les serrures des portes et ont mis le feu à tout ce qu’ils ont trouvé : journaux, chaises, tables, matelas"." (source)

    Mais que fait Manuel Valls pour rétablir le "vivre ensemble" républicain ? Il va peut-être les menacer de porter les bracelets électroniques de Christiane Taubira...

    Philippe Carhon

  • Islamisme et angélisme, deux fléaux destructeurs

    Elle ne se dérobera pas et compte bien profiter de la tribune qui lui sera ainsi offerte : c’est aujourd’hui que Marine Le Pen, assistée de son avocat, Me David Dassa Le Deist, se rendra devant le tribunal correctionnel de Lyon. Elle y comparaît suite aux plaintes déposées par des officines communautaires et immigrationnistes, visant ses  propos tenus dans cette même ville en décembre 2010. Au nombre des plaignants figurent l’Observatoire national contre l’Islamophobie du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), dont  Abdallah Zerki est respectivement  président et  secrétaire général, le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), le Mrap,  la Ligue judiciaire de défense des musulmans, présidée par le sulfureux avocat Karim Achoui. Par l’odeur alléchée,  La Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) de l’inénarrable avocat lyonnais Alain Jakubowicz  a indiqué hier qu’elle entendait  rejoindre les parties civiles.

    Il est  donc reproché à Marine lors  d’une réunion militante dans  la capitale des Gaules  il y a cinq ans, à l’occasion de la campagne interne du FN pour succéder à Jean-Marie Le Pen,  des jugements  sévères sur l’occupation de l’espace public par des islamistes. « Je suis désolée, avait-elle dit,  mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde Guerre mondiale, s’il s’agit de parler d’occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça (les prières de rue, NDLR) c’est une occupation du territoire. » « C’est une occupation de pans du territoire, des quartiers dans lesquels la loi religieuse s’applique, c’est une occupation. Certes, il n’y a pas de blindés, pas de soldats, mais c’est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants ».

    Nous le notions le 23 septembre dernier, les grands gourous  de l’antiracisme à géométrie variable, ceux  qui instrumentalisent  les drames du passé pour mieux culpabiliser nos compatriotes et leur imposer le multiculturalisme, s’étaient sentis aussi  certainement visés par ses propos.  Pourtant, et l’Express le précise de nouveau aujourd’hui, « à plusieurs reprises, depuis l’annonce de sa convocation au tribunal, la présidente du FN a assuré qu’elle ne parlait d’occupation qu’avec un petit o, sans faire référence à la Seconde Guerre mondiale. »

    D’Invasion avec un grand I, il est aussi question dans l’actualité,  avec les  flux de plus en plus incontrôlables d’immigrés Afghans, Erythréens, Irakiens, Somaliens, Pakistanais, Syriens, Soudanais etc., qui envahissent les Balkans depuis la Turquie,  en route vers l’Europe du nord. Le Figaro l’indique «  Après la fermeture, vendredi, par la Hongrie de sa frontière avec la Croatie, la route des migrants qui souhaitent se rendre en Autriche puis en Allemagne, a été déviée vers la Slovénie (…) La situation ne devrait pas s’améliorer. Ce week-end, plus de 15.000 migrants sont entrés en Macédoine. Ils sont en route vers la Serbie, la Croatie et plus loin la Slovénie et l’Europe occidentale ». Le chiffre avancé par les médias et les observateurs outre-Rhin de un million et demi de migrants  supplémentaires  en Allemagne  en 2015 devrait  être atteint  avant la fin de l’année…

    Ce qui réjouit apparemment la SNCF  qui aide à la fluidité de la circulation migratoire.   Dans deux documents internes évoqués notamment  par  Marion Maréchal Le Pen et Robert Ménard, la compagnie ferroviaire français  propose  à ses contrôleurs  de ne pas verbaliser les groupes  d’immigrés rebaptisés  « migrants » qui auraient pris place dans les trains ,de leur attribuer des sièges  en leur offrant  « des réservations à 0 euro ». Ce n’est pas grave, les cochons de contribuables et d’usagers  Français paieront,  ils ont l’habitude au nom du vivre-ensemble…

    Certes, la voie (voix) de la raison, le refus d’un angélisme destructeur,  se laisse aussi  entendre et voir et pas seulement au FN ou au sein des partis nationaux, patriotiques de notre vieille Europe.  Ainsi, en est il du cardinal Cañizares, archevêque de Valence  (Espagne), dont le site nouvelles de France rapportait le 17 octobre  les propos tenus « lors d’un déjeuner politique organisé par Fórum Europa ». Ce prélat à dénoncé  « les gouvernements européens pour leurs nombreux  gestes  et leur  propagande, ainsi que leur refus de se poser des questions sur  l’invasion d’immigrants qui pourrait être le cheval de Troie (de l’islamisme, NDLR). Appelant à la prudence dans l’accueil et se demandant si tous les arrivants étaient du  bon grain, l’évêque a affirmé que si les gestes d’accueil des gouvernements européens pouvaient très bien passer aujourd’hui, ils risquaient de finir par nuire gravement aux sociétés et aux cultures européennes. »

    « On ne peut pas jouer avec l’histoire et avec l’identité des peuples, a prévenu le prélat, qui a aussi défendu le travail réalisé par l’Église catholique pour aider ceux qui ont dû fuir leur pays. Mgr Cañizares a appelé les gouvernements européens à se demander qui est derrière la crise des réfugiés, soutenant que parmi ces  réfugiés, peu fuient réellement des persécutions ».

    « Les propos tenus par Mgr Cañizares (ont été validés par)  un missionnaire salésien espagnol en Syrie (qui a  averti) de la présence d’extrémistes musulmans parmi les réfugiés, appelant les pays européens à une grande prudence :  Je vous dis de faire attention parce que parmi ces gens en difficulté, un certain nombre de musulmans extrémistes arrivent aussi qui feront plus tard beaucoup de mal en Europe. Le missionnaire a également dénoncé la politique européenne en Syrie, à l’origine de la vague d’immigration actuelle (…)  Assad est sans doute un moindre mal. »

    Des affirmations confirmées par Mgr Jeanbart, archevêque d’Alep, qui avait déjà appelé les pays occidentaux à ne pas financer les mouvements rebelles et qui déclare aujourd’hui que « l’intervention russe actuelle donne un nouvel espoir aux Chrétiens de Syrie.  Vladimir Poutine aide la cause chrétienne. »

    Un éclairage, indiquait   le site du quotidien  La Croix la semaine dernière,  qui est aussi celui de  Mgr Hindo, archevêque syro-catholique d’Hassaké ( nord-est de la Syrie) qui explique que « L’intervention de Moscou est positive, parce qu’elle cible réellement Daech, et la milice est en train de fuir ».

    « L’archevêque (cité le 9 octobre par l’agence de presse américaine CNS) critique en revanche les opérations de Washington, qui seraient juste  pour la galerie  et qui laisseraient les terroristes agir librement. Les Américains ne bombarderaient pas les milices djihadistes, mais le gouvernement syrien (…). »

    « Il ne s’agit pas d’être pour ou contre le gouvernement, souligne l’archevêque. Mais les gens d’ici n’ont jamais cru dans les attaques américaines. Seuls les Kurdes ont réellement combattu sur le terrain, mais pour tenir leurs positions  (…). Mgr Hindo déplore en particulier que les frappes américaines n’aient pas empêché l’enlèvement de centaines de chrétiens, notamment après l’offensive de Daech dans la vallée du Khabour, en février. »

    Et d’affirmer encore que « les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ne parlent que d’attaquer Daech, mais pas le Front al-Nosra et les autres milices islamistes liées à Al-Qaida. »

    Autant dire affirme Bruno Gollnisch, que des territoires perdus de la république à la Syrie, il est grand temps d’en finir avec cette  politique d’effacement  de notre souveraineté et de notre indépendance nationales, de  soumission au parti de l’étranger, de  dhimmitude, de  colonisation physique et mentale symbolisée ces dernières années par le catastrophique  duo Sarkozy-Hollande.  

    http://gollnisch.com/2015/10/20/islamisme-et-angelisme-deux-fleaux-destructeurs/

  • PEGIDA : un an après, le renouveau

     

    La manifestation anniversaire de PEGIDA a rassemblé 20 000 à 40 000 personnes, selon les estimations, dans les rues de Dresde en Allemagne de l’Est. Le second souffle pour ce mouvement qui avait connu une éclipse de quelques mois.

    Le 20 octobre 2014, 350 personnes s’étaient rassemblées dans les rues de Dresde. Un mois après, elles étaient 10 000, avant un record en janvier avec 25 000 participants. Un an après et une éclipse de quelques mois, le mouvement anti-immigration de masse allemand repart de plus belle.
    Le mouvement des « patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident » est devenu le symbole d’une Allemagne qui refuse le grand remplacement à marche forcée voulu par Merkel et la classe dirigeante. . Son responsable, Lutz Bachman, qualifie la chancelière de dictatrice, et souhaite faire de Dresde, qui a vu naître l’organisation, le « centre de la résistance » contre le gouvernement allemand.

    Plusieurs contre-manifestations rassemblant, selon le site Zeit online, plus de 14 000 personnes leur ont fait face, au milieu d’un important déploiement de police. Plus de 1 000 fonctionnaires étaient mobilisés. Malgré ce dispositif, un militant de PEGIDA a été roué de coups « par un ou des inconnus » alors qu’il se rendait à la manifestation, a annoncé la police sur son compte Twitter, ajoutant qu’il était « gravement blessé ». Gageons qu’il en faudra plus pour décourager les résistants à l’invasion migratoire en Allemagne.

    http://fr.novopress.info/

  • Scandaleux : L’Etat dépense 15.000 euros par immigré pour transporter des clandestins en jet privé de Calais à Toulouse

    Nous avions déjà signalé à nos lecteurs l’utilisation d’une limousine pour transporter des immigrés illégaux au Royaume-Uni aux frais des contribuables anglais.

    La France n’est pas en reste. Un jet privé, un Beechcraft 1900, est régulièrement utilisé pour transporter des immigrés illégaux depuis l’aérodrome de Calais-Marcq vers d’autres villes françaises.

    Chaque vol se fait avec cinq immigrés et deux fonctionnaires de la police aux frontières (PAF). Un voyage tout confort vers Toulouse, Perpignan ou Nîmes, qui, selon un avocat spécialiste du droit des étrangers, coûte la bagatelle de 15.000 euros par immigré !

    Cette dépense astronomique aux frais des contribuables français est un scandale mais aussi une absurdité car la plupart reviennent ensuite à Calais par leurs propres moyens.

    En cette période économique difficile, les Français apprécieront de savoir que l’Etat a trouvé un budget colossal pour offrir des voyages d’agrément à des immigrés illégaux.

    http://www.medias-presse.info/scandaleux-letat-depense-15-000-euros-par-immigre-pour-transporter-des-clandestins-en-jet-prive-de-calais-a-toulouse/41382

  • France, le pays où il ne fait plus bon vivre

    Un sondage, mené en milieu estudiantin dans divers pays d’Europe et d’Amérique du Nord classe la France au 19e rang des pays « où il fait bon vivre », loin derrière de nombreux pays réputés moins riches. Est-ce étonnant ?

    Il est bien loin le temps où les Allemands disaient : « Heureux comme Dieu en France » (à moins que, par une géniale anticipation, ils n’évoquaient la situation en Gaules d’un Allah exotique au XXIe siècle). Lorsque l’on a connu la France des années 1960-80 – c’est l’un des rares privilèges que l’on obtienne par la vieillesse -, l’on peut très facilement comprendre la dégringolade en matière d’attraction pour les étrangers hautement désirables (les gens honnêtes, intelligents et travailleurs) et l’entrée dans la dangereuse zone de répulsion, éprouvée par des Français autochtones de grande qualification technique et de haute valeur morale. Pourquoi vivraient-ils dans une France aveulie et se complaisant dans sa médiocrité, envahie d’extra-européens de comportement agressif, voire parasitaire, et continuant inlassablement d’en accueillir de nouveaux ?

    À partir de 1981, de soi-disant socialistes ont fait entrer la France dans le monde merveilleux de l’économie globale et de la mondialisation des vies politique et sous-culturelle. Les politiciens de la droite molle et du centre marécageux ont poursuivi ce chemin, pavé d’or pour eux-mêmes et leurs familles, à défaut de l’être pour la Nation. Délocalisations d’entreprises, restructurations et « plans sociaux » ont fait passer le chômage réel (pas obligatoirement celui annoncé par des organismes truqueurs de statistiques) d’1,5 million en avril 1981, à 3 millions en 1983 et à plus de 5 de nos jours. Beaucoup de chômeurs, gavés d’allocations et de stages de formation plus ou moins utiles, se sont contentés d’engraisser, de s’alcooliser et de vivoter sans projet d’avenir. En 2015, des centaines de milliers de Français diplômés sont chômeurs ou sous-employés (donc sous-payés).

    On conçoit que l’attraction soit faible pour des Européens cherchant un lieu de vie et qu’une répulsion se fasse jour chez de nombreux diplômés autochtones aventureux. C’est le schéma inverse de ce que l’on constatait durant les années 1970-80.

    Il est une autre cause à cette double désaffection : l’immigration-invasion des Africains (noirs et maghrébins) et des Moyen-Orientaux, apportant avec eux leurs haines racistes anti-Blancs, leur religion médiévale, fanatique et conquérante, l’islam, important sur le sol français la guérilla – par définition extra-européenne – entre Juifs et musulmans, au nom de la lutte antisioniste, indifférente à tout Français autochtone.

    À terme, soit dans un demi-siècle, même sans faire intervenir l’intervention terroriste des « fous d’Allah », par le simple jeu de la différence de rythmes de reproduction, entre autochtones victimes de la sottise féministe et immigrés à la démographie de primitifs, il est évident que l’on assistera au « génocide mou », à la substitution de population dominante, à l’instauration d’un État islamique en France (et en Belgique, en Allemagne, en Grande-Bretagne etc.). 

    Les Français, veules autant que sottement accueillants, auront transformé en un Enfer, régi par la charî’a, ce qui avait été, sinon un Éden, du moins un pays où, en dépit de querelles politiques et sociales devenues avec le temps non sanglantes, il faisait bon vivre.

    On peut soit constater tristement le résultat logique de ce sondage et reconnaître qu’une 19e place, c’est peut-être inespéré, quand l’on sait ce qui se passe à Roubaix, Marseille, Tours-Nord et Joué-lès-Tours, Rouen-Sotteville etc. (soit plus d’un millier de « cités de non-droit », dominées par la « racaille immigrée »), soit s’insurger : chasser les politiciens ineptes, inaptes et corrompus, renvoyer massivement les extra-Européens dans leurs continents d’origine (Afrique, Proche-Orient, Asie du Sud-Ouest) – en conservant les Extrêmes-Orientaux travailleurs et calmes s’ils se plaisent chez nous et demeurent en faible nombre -, enfin se lancer dans l’aventure de l’union des nations autochtones d’Europe… c’est, pour les vrais Européens, le défi du XXIe siècle.

    Docteur Bernard Plouvier

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuuVEpEpFliHPlKOpx.shtml

  • Allemagne : succès de la manifestation anti-immigration Pegida

    20 000 manifestants se sont rassemblés lundi soir à Dresde, en Allemagne, à l'appel des Patriotes européens contre l'islamisation de l'Occident (Pegida) pour protester contre la politique d'asile du gouvernement.

    P

    Face à eux, 13 000 contre-manifestants sont venus clamer «Bienvenue aux migrants». Ces amis de la tolérance ont grièvement blessé un sympathisant de Pegida.

    Michel Janva

  • Élisabeth Lévy : « Au-delà de l’émotion, il faut penser la crise des migrants »

    Le dernier Causeur est dans les kiosques. Pour la journaliste Élisabeth Lévy, certains Européens redoutent « une nouvelle vague migratoire qui leur sera imposée alors qu’ils ne parviennent pas à intégrer les précédentes. »

     

    LE FIGARO. - Le nouveau numéro de Causeur est consacré à la crise des migrants. En sous-titre, vous affirmez : « La compassion n’est pas une politique. L’égoïsme non plus ». Certes, il faut sans soute dominer l’émotion, mais encore faut-il l’avoir tout d’abord ressentie, cette émotion…

    Elisabeth LEVY. - Pour commencer, il ne peut pas y avoir de devoir d’émotion. Or après la publication de la photo du petit Aylan Kurdi, non seulement nous avons été sommés de manifester notre émotion, et de la manifester bruyamment, mais toute tentative de réflexion, de mise en perspective, d’analyse a été tenue pour une preuve d’inhumanité, une sorte de trahison de l’espèce. Bien entendu, cela n’a duré que quelques jours, mais pendant lesquels le chantage compassionnel a atteint un niveau qu’on n’avait pas connu depuis longtemps. On aurait voulu que l’image de cet enfant nous interdise de penser. Je crois au contraire qu’elle nous ordonne de le faire. Raison pour laquelle je suis heureuse de publier le dialogue de très haut vol à ce sujet entre Renaud Camus et Alain Finkielkraut.

    Vous n’avez pas répondu. Prétendrez-vous n’avoir rien éprouvé en la voyant ?

    Bien sûr que j’ai été bouleversée, et alors ? Que faire de cette émotion, que suggère-t-elle ? Souffrir pour cet enfant est à la portée de n’importe qui, c’est le degré zéro de l’empathie humaine, c’est la preuve qu’on fait partie de la famille humaine. Penser avec lui, c’est autre chose. Or, alors que cette image raconte une situation infiniment complexe, on s’est empressé de lui faire dire des choses simples et même simplistes. Le seul choix, après Aylan, c’était l’accueil illimité pour éviter d’autres Aylan. On ne discute pas avec la mort d’un enfant, on ne pèse pas le pour et le contre, on ne marchande pas. L’ennui, c’est que toute cette émotion, aussi légitime soit-elle, ne suffit pas à définir une politique. Et bien entendu, il ne suffit pas non plus de l’écarter pour avoir une politique. Ceux qui prônent l’hospitalité zéro au nom du principe « le malheur Français d’abord » ne sont pas plus convaincants que les tenants de l’hospitalité intégrale. Du reste je ne crois pas que nous soyons malheureux au point de ne jamais pouvoir aider plus malheureux que nous… [....]

    La suite dans Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Elisabeth-Levy-Au-dela-de-l

  • Les élections à Vienne (Autriche) : une leçon pour la politique française ?

    Les sondages laissaient planer le doute. Durant plusieurs semaines, les instituts autrichiens maintenaient le suspense : le parti patriote et anti-immigration autrichien, le FPÖ, mené par Heinz-Christian Strache, allait-il arriver en tête à l’élection régionale et municipale de la ville-Etat de Vienne ? Le sensationalisme médiatique aidant, cette probable victoire « populiste » dans la capitale autrichienne était devenue une hypothèse convenue.

    Alors, quand les résultats sont tombés dimanche soir, la surprise fut de mise. Le SPÖ (les sociaux-démocrates autrichiens) arriva largement en tête avec 39% des suffrages, 9 points devant le FPÖ de HC Strache.

    Les grands médias ont célébré en Autriche cette victoire des sociaux-démocrates, repris docilement par les médias français (le journal Le Monde a ainsi pu titrer sur son site Internet le soir de l’élection : « La gauche résiste à l’extrême droite à Vienne). De leur côté, les sympathisants n’ont pas pu cacher leur déception, les prédictions omniprésentes dans les journaux télévisés ayant créé un espoir de victoire.

    Si l’on s’écarte de la vision médiatique autrichienne de ces résultats (qui manque de hauteur, car trop proche des événements) et des commentaires de la grande presse française, qui s’est souvent contentée de reprendre les articles de la presse autrichienne sans prise de recul aucune, une analyse à froid montre que le gagnant dans cette élection n’est pas celui que l’on a présenté.

    Tout d’abord, un rappel des résultats s’impose. Le SPÖ a obtenu 39,6% des suffrages, soit 4,75 points de moins qu’à l’élection régionale de 2010. En seconde position, le FPÖ rassemble 30,8% des voix, soit 5 pointsde plus qu’au scrutin précédent. En troisième position, les écologistes Die Grünen obtiennent presque 12% des suffrages, résultat stable par rapport à l’élection précédente (une très légère baisse par rapport à 2010). Quant à eux, les conservateurs de l’ÖVP s’effondrent, passant de 15% à 9% des voix. Enfin, le jeune parti libéral NEOS (qui n’existait pas encore en 2010) obtient 6% des suffrages.

    En termes de progression par rapport à l’élection précédente, les patriotes du FPÖ sont donc les seuls à améliorer leur score par rapport à l’élection régionale précédente. Si l’on regarde brièvement les résultats des élections européennes à Vienne l’an passé, l’évolution est encore plus nette. Les sociaux-démocrates obtenaient 27% des voix, le FPÖ 18%, Les Verts 20% et l’ÖVP 16%. L’importance donnée à la première place dès le premier tour dans le cadre de l’élection régionalo-municipale de dimanche dernier explique en grande partie la bipolarisation de ce scrutin : de quatre grands partis aux élections européennes, seulement deux ont su tirer leur épingle du jeu. Que le SPÖ à gauche ait rassemblé les voix des Verts ne crée pas de surprise. Mais à droite, le FPÖ opère une véritable razzia sur les voix des conservateurs. Phénomène étonnant, vu de France.

    La disparition de la droite classique ?

    La vie politique autrichienne donne un aperçu tout à fait intéressant d’une évolution possible des forces politiques de droite. L’ÖVP, conservateur, comparable à notre parti Les Républicains, se retrouve pris entre deux feux : d’un côté, un nouveau parti jeune, ouvertement libéral, pro-Union européenne, et libertaire en termes de sujets de société, le parti NEOS, et, de l’autre, un parti patriote, social-libéral, anti-immigration et critique vis-à-vis de la construction européenne, le FPÖ. Durant cette élection municipale, la défaite des conservateurs au profit des patriotes est d’autant plus forte qu’elle se déroule à Vienne, réputée ville rouge. L’ÖVP disparaît presque du paysage politique dans cette élection, ce qui pourrait présager un avenir très sombre pour la droite classique (la droite républicaine, dirait-on en France).

    La situation autrichienne montre sous un autre jour les contradictions internes à la droite en Europe. La coexistence dans un même parti de forces radicalement opposées finit par ne donner satisfaction à personne, et chacun à terme prend sa liberté et part dans sa direction propre. Les plus libéraux-libertaires de l’ÖVP s’en sont allés du côté du dynamique parti NEOS, et les patriotes et souverainistes se tournent vers le FPÖ.

    Si loin, si proche

    Deux différences majeures semblent opposer France et Autriche en matière politique, qui n’ont qu’une même origine : le mode de scrutin en Autriche est toujours à un tour, et laisse une place majeure à la proportionnelle, tout à l’inverse de la France. La conséquence est double (et là résident les deux différences) : il n’y a traditionnellement pas de bipolarisme politique, et les coalitions gouvernementales sont la règle. On a souvent pris le contre-exemple de l’Autriche pour expliquer qu’en France aucune place n’existait pour le Front national, troisième voie impossible, en raison du mode de scrutin majoritaire à deux tours. La deuxième différence (les coalitions) n’empêche pas non plus une convergence austro-française : dans les deux pays, la collusion entre les partis traditionnels de la droite et de la gauche est un sentiment populaire répandu.

    On remarque, par ailleurs, empiriquement que le mode de scrutin n’influe que peu sur le vote. Ou plutôt l’obstacle que représente un mode de scrutin est davantage un frein pour de bons scores mais, une fois le frein usé, les résultats des patriotes sont en roue libre et peuvent grimper, grimper, jusqu’à évincer la droite classique. C’est précisément ce qui s’est produit dimanche à Vienne. Au gré d’une élection qui conjoncturellement favorisait le bipolarisme, le FPÖ a su mettre KO le parti conservateur.

    De même en France, le scrutin majoritaire pourrait bien se retourner finalement contre la droite classique, une fois que le Front national aura atteint un seuil de non-retour, et que Les Républicains auront fini de montrer au grand jour leurs contradictions internes, comme le retrait du président des Jeunes de la Droite populaire, Pierre Gentillet, semble le présager.

    Vincent Lefebvre, 15/10/2015

    http://www.polemia.com/les-elections-a-vienne-autriche-une-lecon-pour-la-politique-francaise/