
INFO LE FIGARO – Trois pompiers ont été légèrement blessés, dans le 12e arrondissement de la capitale. Leur véhicule a également été dégradé.
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INFO LE FIGARO – Trois pompiers ont été légèrement blessés, dans le 12e arrondissement de la capitale. Leur véhicule a également été dégradé.
Vers 2 heures, dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 août, les premiers appels sont arrivés au 17 pour signaler qu'un individu armé d'un couteau poursuivait un autre homme, rue Louis-Braille, à Saint-Priest, en banlieue lyonnaise. Quelques minutes plus tard, un équipage de police municipale découvrait le corps décapité d’un homme de 60 ans sur le parking, ainsi qu’un couteau de cuisine situé à proximité du lieu du crime.
Peu après la macabre découverte, la BAC (brigade anticriminalité) a repéré un homme qui déambulait « avec une tête dans une main et un couteau dans l'autre », non loin de là, dans le parc Louis-Braille
Bernard Plouvier
Et ce sera justice ! Quand on ne veut plus défendre ses valeurs et sa sécurité les armes à la main, on devient esclave ou on meurt. C’est l’unique leçon de l’histoire.
À force de tourner les regards vers la Shoah – unique période historique devenue digne d’intérêt, de larmes et de quêtes depuis les années 1970 -, à force de beugler le rituel : « Plus jamais ça ! », on oublie que la vie sur Terre a toujours été un Enfer, parce que les comportements de la bête humaine sont immuables.
En octobre 2021, Arthur Frayer-Laleix a publié Et les Blancs sont partis. L’auteur est un reporter indépendant qui collabore à différents médias tels que Le Monde, Les Échos, Zadig ou le site d’information de gauche radicale StreetPress. Dans un ouvrage précédent, Dans la peau d’un maton (Fayard, 2011), il a relaté son immersion en prison en tant que surveillant. Son nouveau livre se veut un « reportage au cœur de la fracture ethnique » dans les cités. Il précise que le titre n’indique par une adhésion à la théorie du « grand remplacement » mais qu’il s’agit d’une formule souvent entendue lors de ses reportages en banlieue de la part de Maghrébins ou de Subsahariens. Ce sujet du départ des Blancs a déjà été abordé, il y a une dizaine d’années, par les démographes Michèle Tribalat et Bernard Aubry. Ceux-ci avaient conclu à un « chassé-croisé » entre les familles d’origine française et celles d’origine immigrée dans les zones urbaines, les premières quittant les zones densément peuplées au profit des zones rurales ou des petites villes.
Cette attaque odieuse est la suite de la fatwa lancée contre l’écrivain par l’ayatollah Khomeini, le 14 février 1989, à la suite de la publication des Versets sataniques. Rappelons qu’il ne s’agissait nullement d’un pamphlet anti-islamique mais d’un roman entre rêve et réalité.
Il était minuit passé dans la nuit de jeudi à vendredi lorsqu’une patrouille de police municipale a dû intervenir sur une rixe sanglante à Cannes. Selon nos informations, une famille pêchait tranquillement sur le Boulevard Jean Hibert, un individu âgé d’une trentaine d’années s’en est pris violemment à une personne âgée à laquelle il aurait porté des coups. Un quinquagénaire est alors intervenu à la défense de la victime, et dans la bagarre, l’agresseur lui a porté un coup de couteau à l’aine.
« Pour moi, c’est clair, c’était un acte terroriste ! » Encore sous le choc, ce Grenoblois d’une quarantaine d’années – qui tient à rester anonyme – raconte comment lui et plusieurs de ses amis ont été agressés par un inconnu armé d’un couteau, ce jeudi 11 août en plein après-midi, alors qu’ils étaient attablés
Quand bien même on ne partage pas la foi des missionnaires, on peut avoir du respect voire de l’admiration pour leur démarche. Ainsi les Témoins de Jehovah qui prennent racine, chaque samedi et dimanche, sur un coin du marché ; ainsi les pentecôtistes qui sillonnent la capitale, binômes en costume et chemise blanche, la Bible à la main. Ici, à Toulon, ce sont les jeunes frères en soutane blanche – ceux-là même qui ne plaisent pas au pape – qui abordent leurs concitoyens sur le cours Lafayette ou les plages du Mourillon. Ils ont tous la foi rayonnante et l’offrent en partage. De vrais missionnaires, sans fausse casquette et au nom de l'Église.