
Suite à la dénonciation par plusieurs partis politiques corses d’agressions présumées survenues à Bastia ce samedi, après la victoire du Maroc en Coupe du monde de football, la consule a tenu à désamorcer les rumeurs.
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Suite à la dénonciation par plusieurs partis politiques corses d’agressions présumées survenues à Bastia ce samedi, après la victoire du Maroc en Coupe du monde de football, la consule a tenu à désamorcer les rumeurs.
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12/12/2022
11/12/2022
Des habitants appellent les autorités à trouver des solutions concrètes pour éviter que de nouvelles agressions se produisent dans la commune.
La quiétude n’est plus au rendez-vous à Trans-en-Provence. Depuis l’installation d’un centre d’accueil pour mineurs isolés en avril dernier, les habitants de cette commune du Var dénoncent des incivilités.
“On a commencé à voir des jeunes, […] après il y a eu des agressions physiques de riverains, après des vols dans les commerces alentours”, a décrit l’un d’entre eux au micro de BFM Toulon Var.
Même constat pour Fabien Clapiers, un voisin du centre d’accueil, qui assure avoir “peur pour ses enfants”. “Les éducateurs nous ont dit qu’il avaient peur de ces jeunes” a-t-il aussi rapporté.
Alain Finkielkraut dénonce les débordements après la qualification du Maroc pour les demi-finales de la Coupe du monde : «Je suis un peu triste des incidents qui ont suivi la victoire du Maroc et très inquiet à l’idée du match France - Maroc».
Samedi 10 décembre au soir, des milliers de supporters du Maroc se sont rassemblés sur les Champs-Elysées, à Paris, pour célébrer la qualification historique de leur équipe pour les demi-finales de la Coupe du Monde de football au Qatar. Peu après, des affrontements et des débordements ont éclaté en marge des célébrations entre certains supporters et les forces de l'ordre, qui ont été ciblées par des tirs de mortiers d'artifice et des jets de projectiles, avant de répondre avec du gaz lacrymogène.
"Moi, je dis qu'il n'y a pas menace de guerre civile, je dis qu'il y a déjà guerre civile". Michel Onfray nous explique ce qu'il a pensé du texte de Pierre Brochand, ex-patron de la DGSE, sur l'immigration.
Ce 6 décembre, à l'Assemblée nationale française, l'intervention de l'exécutif a prétendu imposer aux députés qu'ils débattent, sans pouvoir voter vraiment, autour du projet d'une nouvelle réglementation de l'immigration et du droit d'asile.
Ni le ministre responsable du dossier, ni l'ensemble de ses collègues n'envisagent à ce propos de rendre des comptes quant à l'application des règles théoriques existantes que, tout de même, on appelle pompeusement "la Loi" comme si elles avaient été dictées à Moïse sur le mont Sinaï.