immigration - Page 507
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Dire « Ils ne passeront pas » quand on fait rentrer des centaines de milliers de musulmans chaque année est insultant pour les victimes
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La dernière de Xavier Bertrand pour lutter contre la barbarie islamiste : un référendum sur la laïcité !
Devant la décapitation du professeur Samuel Paty, la classe politique semble tétanisée. Comme si un monde, le leur, s’écroulait. Le seul mot qui sorte de leurs bouches bées ? « République ». Tel que remarqué par Georges Michel , « Pas une seule fois les mots “France” et “Français”. Comme si ces mots devenaient tabous. »
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Face à l’islam déchaîné, se réveiller ou mourir, par Ivan Rioufol
Se réveiller ou mourir. Cette fois, la France est arrivée au bout de son somnambulisme. La décapitation au couteau d’un professeur d’histoire-géographie, vendredi dans une rue d’Eragny (Val d’Oise) par un jeune réfugié tchétchène, est le résultat de trente ans de lâchetés collectives face à l’islam radical. L’aveuglement des sermonnaires a conduit à la mise en application de la charia (loi islamique) dans toute son horreur. C’est le Coran pris à la lettre qui permet, en effet, de couper la tête du blasphémateur, mais aussi d’égorger le Juif, le Chrétien, le mécréant. Samuel Paty, enseignant au collège du Bois d’Aulne, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), avait donné à étudier des caricatures de Mahomet, dans le cadre d’un cours sur la liberté d’expression.
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Un enseignant martyr laïc de l’islamisme : détonateur de la guerre civile ou dernier avertissement ?
Choqués mais pas surpris par l’ignominie de Conflans, car un professeur vient de mourir pour la France, non pas glorieusement, mais en victime expiatoire des valeurs de notre nation. Un « martyr laïc », face à l’islamisme le plus abject, ne peut mourir pour rien. Son assassinat nécessite une réponse du pays dont il contribuait à défendre les valeurs. Loin d’un fait divers, c’est un acte de guerre contre la France et la peur doit changer de camp.
Où sont les musulmans qui acceptent la laïcité et la primauté des lois de la République sur leur religion ? Bloquent-ils les mosquées salafistes ? Affichent-ils les caricatures ou sont-ils soumis aux dealers et aux intégristes ? C’est donc aux religieux d’agir contre les intégristes de leur religion.
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Attentat à Conflans-Sainte-Honorine : tout ça pour ça !
Attentat à Conflans-Sainte-Honorine : tout ça pour ça !
Vendredi 16 octobre 2020, un professeur d’un collège à Conflans-Sainte-Honorine a été décapité par un islamiste. Selon les premières informations, l’auteur de l’attentat aurait voulu « punir » le professeur pour avoir montré à ses élèves une caricature de Mahomet publiée dans un numéro de Charlie hebdo. Retour sur cette énième « réplique » de la publication initiale des caricatures de Mahomet.Charlie hebdo, une vieille histoire de bouffeurs de curés… et d’imams
L’attentat de vendredi ne peut se comprendre qu’en le replaçant dans un contexte plus large que le seul geste horrible de l’islamiste qui a décapité un professeur d’un collège des Yvelines.
Le journal satirique Charlie hebdo s’inscrit dans une longue tradition française d’humour paillard et anticlérical. Une tradition dont Rabelais n’est pas le moindre des piliers. On peut ne pas apprécier les représentations de prêtres sodomisés ou pratiquant la fellation, mais c’est aussi cela, la liberté d’expression.
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Couvre Feu - Privilège Musulman - Censure Globale
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Samuel Paty avait 47 ans... Il y a 47 ans le mouvement Ordre nouveau avait prévu les risques de l'immigration sauvage... Il a été interdit !
François Floc'h
Samuel Paty est mort décapité au nom d'Allah ! Prions pour le repos de son âme.
Samuel avait 47 ans et était professeur d'histoire-géographie dans un collège de Conflans-Sainte-Honorine.
Bien sûr, je ne connais pas Samuel. Certains disent qu'il était "engagé". Que cela veut-il dire ?
Qu'il était "Charlie" comme bon nombre de ses collègues professeurs ? Qu'il croyait à la liberté d'expression mais pas pour tous ? Que, jeune professeur, en 2002, il avait défilé, avec ou sans élèves, contre la présence de Jean-Marie Le Pen au 2ème tour de la Présidentielle ? Ce serait plausible, c'est si courant dans nos lycées et collèges.
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Non, Monsieur Mélenchon, il n’y a pas « un problème avec la communauté tchétchène » mais avec votre aveuglement sélectif !
Combien y a-t-il de Tchétchènes, en France ? On ne sait pas. Certes, on le devrait, vu qu’ils sont tous « réfugiés politiques », mais non. On avoue partout qu’on n’en sait rien, cela, au motif que la France ne fait pas de statistiques ethniques. Officiellement ils sont entre 15 et 20.000 sur notre sol (selon Europe 1), beaucoup plus certainement, exilés d’un pays qui compte environ 1,3 million d’habitants.
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« ILS NE PASSERONT PAS ! »
Pieter Kerstens
"Ils ne passeront pas"... Ce mot d’ordre a été lancé par Dolores Ibarruri, « la Pasionaria », le 19 juillet 1936 du balcon du Ministère de l’Intérieur à Madrid : « le Parti Communiste vous appelle au combat, pour écraser définitivement les ennemis de la république et des libertés populaires. NO PASARAN ! »
Si le docteur Micron s’inspire du passé et reprend à son compte ce slogan, la situation n’a rien de comparable, parce qu’à cette époque la guerre civile faisait rage en Espagne, ce qui n’est pas (encore ?) le cas en France. Il aurait mieux fait de se souvenir du message audio, diffusé le lundi 22 septembre 2014, par Abou Mohamed El-Adnani* qui avait déclaré à l’attention des musulmans : « la meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuer tout infidèle, qu’il soit Français, Américain ou d’un de leurs pays alliés. Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munitions, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle ou n’importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coups de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le ! »
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Marine Le Pen exige “une législation de guerre” contre l’islamisme
Quelques heures après avoir rendu hommage à Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine, Marine Le Pen s’est adressée aux Français ce lundi matin. Depuis le siège de son parti, la présidente du Rassemblement national a violemment taclé, l’inaction, à ses yeux, des pouvoirs publics depuis plusieurs années et demandé la mise en place d’une “législation de guerre” pour lutter “la dérive sectaire d’un Islam politique et de son idéologie criminelle, l’islamisme”.