Aujourd'hui, Stella Kamnga dénonce les dérives clientélistes, notamment communautaires et religieuses, de certains élus de banlieue. Une réalité qui n'a cessé de prendre de l'ampleur ces dernières décennies.
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Aujourd'hui, Stella Kamnga dénonce les dérives clientélistes, notamment communautaires et religieuses, de certains élus de banlieue. Une réalité qui n'a cessé de prendre de l'ampleur ces dernières décennies.
Autriche – Les partis de gauche SPÖ et NEOS ont tenté d’obtenir l’accueil de migrants venant du camp incendié de Moria, en Grèce, et de diviser encore plus le gouvernement “turquoise-vert” déjà divisé sur cette question. Mais les Verts ont voté à l’unanimité contre l’accueil de migrants pour des raisons de coalition et contre leur propre conscience.
Dans sa motion, la NEOS a demandé à la coalition gouvernementale de veiller à ce que l’Autriche, comme d’autres pays de l’UE, accueille des migrants mineurs de Moria.
Le chef des Verts : “Si nous avions voté pour, nous aurions brisé la coalition”.
Sigrid Maurer, une dirigeante des Verts, avait déjà fait savoir dimanche qu’elle était favorable à l’accueil des migrants du camp de Moria, mais qu’elle ne voterait pas avec l’opposition.
Beaucoup d'observateurs ont pris conscience de la dégénérescence du tissu social et de ses risques d'implosion jusque dans la violence des armes. Mais la potentielle guerre civile à venir n'aura sans doute que peu à voir avec un quelconque « grand soir ».
Si la potentialité d'une guerre civile restait de l'ordre de l'anticipation dystopique il y a dix ans lorsque je rédigeais Beyrouth-sur-Loire, elle devient désormais une option obligatoire dans toute discussion lucide sur les futurs possibles de notre pays. J'ai beau me tenir éloigné de tout l'épicerie déclinologue et survivaliste (une fascination morbide de plus), une fois débarrassé des lunettes roses du progressisme, on ne peut que constater l'état de profonde dégénérescence de notre société. Politiciens haïs et marionnettes de la finance spéculative, young leaders de la start-up nation ridiculisés par un virus grippal plus virulent que la moyenne saisonnière... Capitaines d'industries tous vendus à la logique mondialiste et aux stock options sans frontières...
Alors que le procès des attentats islamistes de janvier 2015, ouvert le 2 septembre dernier devant la cour d’assises spéciale de Paris, est entré lundi dans sa deuxième semaine, force est de constater que les journaux de 20 heures des grandes chaînes de télévision se montrent particulièrement discrets quant au déroulement de ses débats. Une discrétion qui s’explique bien sûr d’abord par leur volonté systématique de cacher à nos compatriotes le vrai visage de l’islam et la gravité de la menace islamiste en France. Mais aussi, et peut-être surtout dans le cas présent, par les propos « incorrects » qu’ont pu tenir ces derniers jours certains survivants et témoins de la tuerie de Charlie Hebdo.
Midi-Libre réalise la prouesse de publier un article narrant un fait divers d’insécurité sans préciser que les coupables sont des immigrés clandestins. Seuls les lecteurs un peu avisés l’auront compris :
C’est à l’hôpital Lapeyronie que des patients, attendant d’être pris en charge, ont eu la mauvaise surprise de voir leurs biens dérobés par des mineurs isolés. Ce dimanche 13 septembre, alors que le personnel des urgences venait d’installer chaque malade dans des box pour les soigner individuellement, le service a été victime d’un vol.
En effet, dix minutes après avoir soigné des mineurs non accompagnés qui s’étaient présentés pour des blessures à la lèvre à la suite de bagarres, les victimes des autres box se sont aperçues qu’on leur avait volé leur portable et leur sac à main.
Et, après vérifications, le personnel a réalisé que les MNA avaient filé à l’anglaise… sans signer les papiers de sortie !
L’expression “avaient filé à l’anglaise” donne néanmoins un indice : il s’agit sans doute de mineurs britanniques…
Le 11 septembre dernier, Eric Zemmour a débattu face au journaliste Laurent Joffrin sur différents sujets, notamment l’immigration et la gauche.
Pour Eric Zemmour, le pays serait face à « deux défis », notamment « le Grand remplacement et le Grand déclassement »
Eric Zemmour a également abordé les failles du regroupement familial, soutenu par la gauche.
À partir du moment où l’on vit dans le pays qui nous a accueilli pour travailler et que, de plus en plus, vous organisez votre mode de vie comme au pays (d’origine), ça ne s’appelle plus une immigration ou une installation. Ça s’appelle une colonisation.
On va finir par croire que le Grand remplacement est voulu et organisé :
Les sans-papiers algériens dans les pays européens auront bientôt plus de chances de s’intégrer sur le marché du travail de l’UE. En effet, la commission de l’Union européenne, ainsi que les syndicats, les employeurs, les chambres de commerce et les organisations ont exprimé leur intérêt à renouveler la coopération dans le cadre du partenariat européen pour l’intégration. Cette coopération vise à octroyer plus d’emplois aux sans-papiers, dont les Algériens, qui se trouvent sur le territoire européen (…)
Trois phénomènes récents et graves concourent à déposséder les Français de leurs villes.
D’une part, la progression électorale d’EELV dans les villes, conséquence de la gentrification, soit l’embourgeoisement urbain aux dépens des classes moyennes intermédiaires et inférieures. En d’autres termes, la « boboïsation ». Développement de l’écriture incluse (agglomération de Nantes, site « Oui » de la SNCF…), noms de rue donnés à des anciens combattants d’Afrique ou à des figures actuelles de l’antiracisme, chasse aux automobilistes : ces mesures mettent à la marge les Français « d’avant », commerçants, buralistes et artisans, forcément coupables d’avoir voté à droite ou de représenter le privilège blanc. Ils seront encore plus chassés des villes avec l’accueil croissant des immigrés clandestins, proposition qui fait partie du starter pack du marxisme culturel, carburant idéologique de la nouvelle gauche à vitrine écologiste.
Les regards sont tournés vers l’île de Lesbos en Grèce avec le spectaculaire incendie du camp de migrants. Comment Lesbos en est arrivé là ? L’île est-elle une porte d’entrée ou un verrou pour les flux migratoires ?
Pour prendre la mesure de ce drame, il faut le restituer dans son contexte historique et géographique. Cette île grecque qui compte un peu plus de 100.000 habitants se trouve à moins de 10 kilomètres des côtes turques et a toujours constitué une porte d’entrée vers l’Union européenne. Lors de la crise migratoire de 2015, 91.000 réfugiés ont réussi à y aborder et à gagner le continent via le port de Mytilène, la capitale de l’île, s’agglomérant aux quelques 1, 256 million de personnes qui ont pénétré dans l’espace Schengen. Ils auraient encore été plus nombreux si la marine turque n’en avait pas intercepté 445.000.
Oubliée la terrible vague de viols et d’agressions sexuelles perpétrés par les hordes de migrants contre plus d’un millier de femmes à Cologne, Hambourg et autres villes allemandes lors de la nuit de la Saint-Sylvestre il y a quatre ans. Effacées des mémoires les récentes « scènes de guerre civile » de Stuttgart qui avaient pourtant choqué la classe politique et l’opinion publique allemandes. Alors que, dans ces deux cas, deux parmi tant d’autres, la police a à chaque fois établi un lien direct avec « la forte immigration » qu’a subie le pays au cours de ces dernières années, des villes et des régions allemandes en redemandent aujourd’hui et se proposent d’accueillir les clandestins du camp de Moria, détruit mercredi par les flammes.