Le député Aurélein Taché (ex PS, ex LREM et aujourd’hui dans le groupe Écologie, démocratie et solidarité) ne craint pas de défendre la polygamie et les certificats de virginité :
Aurélien Taché réussira-t-il à gagner le vote musulman ?
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Le député Aurélein Taché (ex PS, ex LREM et aujourd’hui dans le groupe Écologie, démocratie et solidarité) ne craint pas de défendre la polygamie et les certificats de virginité :
Aurélien Taché réussira-t-il à gagner le vote musulman ?
Georges Feltin-Tracol
Suite aux incidents survenus à la fin du mois d’octobre en banlieue lyonnaise et à Valence entre Français d’origine arménienne et Franco-Turcs au sujet du conflit arménio-azéri dans le Caucase, le gouvernement français a ordonné, le 4 novembre dernier, la dissolution des « Loups Gris ».
Par « Loups Gris », il faut entendre la branche jeune, paramilitaire et activiste de la nébuleusenationaliste turque. Aussi appelés « Foyers idéalistes » apparus vers 1968, les « Loups Gris » sont l’équivalent bien plus puissant, plus radical et plus influent des fameux « Rats noirs » et autres « Rats maudits » français.
Eric Zemmour : “J’ai une solution au manque de places de prison : renvoyer les étrangers et les binationaux chez eux (…) On ne peut pas obliger les gens à vivre ensemble”. Face à l’info du 18 novembre 2020.
Le 9 décembre prochain devrait être présenté le projet de loi sur « l’islam radical », dont l’ancien intitulé consistait à lutter contre « le séparatisme », ce qui n’est pas exactement la même chose, les islamistes radicaux n’ayant que peu à voir avec les séparatistes corses ou kanaks. En revanche, une constance demeure : préserver les éternels « principes républicains ». Et c’est évidemment là que le temps se couvre.
Le 9 décembre sera une journée importante sur le plan de la lutte contre l’islamisme. Un projet de loi sur le séparatisme sera présenté en conseil des ministres pendant que l’UE annoncera son nouvel agenda contre-terroriste rédigé en urgence (trois semaines, contre un an habituellement). Cette coïncidence des agendas signifie-t-elle une bonne collaboration entre la France et l’UE sur ce sujet ? Rien n’est moins sûr.
L’Europe de la recherche continue de se montrer aveugle, voire complaisante, à l’égard de l’islam politique. Outre qu’il n’est pas bon pour un pays d’expatrier une grande part de sa stratégie et des budgets de recherche, il conviendrait de revoir certaines habitudes de fonctionnement en matière de financement européen de recherche en sciences humaines et sociales et d’être plus attentifs à la qualité et aux compétences des partenaires impliqués dans les consortiums de recherche. On ne peut pas, d’un côté, lutter sur notre territoire contre le terrorisme et, d’un autre côté, laisser l’UE nourrir et engraisser des idéologies qui lui déblaient le chemin.
Dans un entretien à Ouest-France, une professeure témoigne de l’évolution alarmante de l’islamisme dans son école de banlieue parisienne depuis l’attentat contre Charlie Hebdo en 2015. Selon elle, « Un tiers d’une classe (…) conteste le programme, c’est effrayant, ça va être difficile à déconstruire ». Voici son témoignage:
« Cela fait six ans que j’enseigne. J’aime ce métier que j’ai découvert par hasard, après avoir travaillé dans le milieu de l’événementiel. Mais j’ai l’impression que les choses évoluent, et pas dans le bon sens. Après l’attentat contre Charlie Hebdo, en janvier 2015, il y a eu spontanément une forme d’unité nationale. Bien sûr, on a entendu des phrases comme : Ils l’ont bien cherché
. On a entendu des élèves le dire, mais c’était très rare
Après les « sauvageons » de Jean-Pierre Chevènement, voilà maintenant qu’on évoque, en haut lieu, l’« ensauvagement de la société ». Le fait que ce terme, employé par Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, ait été emprunté au vocabulaire du Rassemblement national vous paraît-il significatif ?
Comme Chevènement, Darmanin a visiblement voulu frapper les esprits. Mais il n’est pas exact de dire qu’il s’est inspiré du Rassemblement national. Marine Le Pen, à partir de 2013, a effectivement employé ce terme à plusieurs reprises, sans doute à la suite de Laurent Obertone qui avait publié, la même année, un livre intitulé Enquête sur un sujet tabou : l’ensauvagement d’une nation. Mais Obertone ne l’avait lui-même pas inventé. En 2005, la politologue Thérèse Delpech avait publié, chez Grasset, L’Ensauvagement : le retour de la barbarie au XXIe siècle. Beaucoup plus tôt encore, on retrouve le mot sous la plume de l’écrivain et poète martiniquais Aimé Césaire, selon qui la colonisation a « instillé dans les veines de l’Europe » le « progrès lent, mais sûr, de l’ensauvagement du continent » (Discours sur le colonialisme, 1950). De son côté, l’historien George Mosse, évoquant la « culture de la guerre » née dans les tranchées de la Première Guerre mondiale, a employé le mot de « brutalization », que l’on a traduit en français par « ensauvagement ». Nous sommes donc devant un terme auquel on peut donner des significations bien différentes.
Delphine Ernotte, dirigeante de France Télévisions, déclare au Monde :
Nos publics revendiquent d’être mieux représentés, en matière de parité, de couleur de peau, de handicap, d’origine géographique et sociale. La distorsion entre la réalité et sa représentation à la télévision est trop grande. Nous allons donc évaluer la représentation à l’antenne afin de nous fixer des objectifs pour 2021. D’après le CSA, les personnes « perçues comme non blanches » représenteraient environ 25 % de la société française, contre 15 % à la télévision. On a un énorme rattrapage à faire. Ce sera le fil rouge de mon nouveau mandat.
https://www.lesalonbeige.fr/le-grand-remplacement-nexiste-pas-mais-le-csa-lestime-a-25/