Depuis quelques jours, des message de haine accompagnés d’appels à la violence circulent sur Internet contre les Asiatiques de France. Il s’agit, carrément, d’injonction directes à agresser les Chinois, proférées depuis de nombreux comptes Facebook, Twitter, etc. L’affaire a été révélée par l’Association des jeunes Chinois de France, sur sa page Facebook, puis relayée par la LICRA sur son site Internet : on y voit des tweets d’un certain Imad appelant à tabasser les Chinois au collège, puis d’un certain JNK suppliant les « renois et rebeus du 91, 92, 93, 94 95 à tabasser chaque Chinois croisé dans la rue ».
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Ce racisme ordinaire dont on parle rarement…
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L'islamisation de la France : c'est parti
« Dis-nous des choses qui nous plaisent » disaient les juifs au prophète Jérémie. On a toujours envie de casser le thermomètre lorsqu'il nous annonce une nouvelle désagréable… Pour peu qu'on vous annonce cette nouvelle avec emphase ou avec une jubilation plus ou moins contenue, on trouvera quelques raisons de supprimer le porteur de mauvaises nouvelles. L'intérêt du livre de Thierry Bouclier, c'est son objectivité de ton, sa sobriété de raisonnement. La France au risque de l'islam est un livre que tout le monde doit avoir lu…
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Les manipulations des associations pour aider les migrants à obtenir l’asile en France
En mars 2018, nous avions publié un article provenant d’un lecteur nous ayant contacté. Vu l’actualité récente, nous republions aujourd’hui ce texte édifiant.
Fonctionnaire retraité ayant assuré un rôle important au sein du dispositif judiciaire entourant la demande d’asile en France, Robert Martin est théoriquement soumis à un devoir de réserve ; nous avons donc respecté son anonymat en modifiant son nom. Néanmoins, face aux actions d’Emmanuel Macron et notamment à sa loi Asile et Immigration, il a décidé de nous communiquer plusieurs textes. Plusieurs textes très sérieux et documentés suivront cette première publication, plus légère et pratique, décrivant l’une des voies offertes aux migrants africains pour rejoindre l’Europe sans trop de difficulté.
PolémiaDe faux récits faciles à construire
Après beaucoup d’hésitations, un Sénégalais décide de rejoindre l’Europe pour fuir la misère et profiter des richesses françaises. Bien qu’hétérosexuel, il décide de jouer le rôle d’un homosexuel. En effet, le droit d’asile lui sera ainsi ouvert.
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Le Qatar ne finance pas seulement le PSG… mais aussi la nouvelle mosquée de Nantes
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Français avant d’être musulmans, par Natacha Polony.
"Respecter les musulmans, c’est considérer qu’ils sont des Français comme les autres et qu’ils ne doivent pas être réduits à leur religion. Ce que permet la discrétion propre à une République qui met à distance les signes extérieurs d’appartenance", argumente Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne".
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« Service après-vente, bonjour ! » : contre l’islamisme, Omar Sy aux abonnés… évasifs !
Revenons sur le « séisme » de l’affaire Paty. Une vague de sidération a secoué le microcosme politico-médiatique à l’annonce de ce terrible assassinat. Pourtant, ce n’était pas la première fois qu’on tuait, en France, dans une école, au nom de l’islam. Rappelez-vous ! Le 19 mars 2012, le djihadiste Merah abattait froidement Arié et Gabriel, 5 et 3 ans, leur père, et Myriam, 8 ans, dans une école juive de Toulouse. Et ce 16 octobre 2020, le saint des saints de la République, l’école « laïque, gratuite et obligatoire », était atteint par le martyre de l’un de ses serviteurs. Pas de sanctuaire contre le terrorisme islamiste !
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Attentat de Nice Les politiques au pied du mur, par Véronique Jacquier.
Face à la menace terroriste, hommes et femmes politiques sont conduits à répondre au défi civilisationnel qui se pose désormais en France.
« Aujourd’hui les mots ne suffisent plus. Il n’y a pas d’avenir ni de relèvement de la France si elle n’assume pas ses racines chrétiennes. » Ainsi parle le député européen François-Xavier Bellamy. Mais quelle forme pourrait prendre cette affirmation de notre identité ?
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Environ 200 enquêtes ouvertes en France pour apologie du terrorisme, menaces de mort, injures ou provocations à la haine en lien avec la décapitation de Samuel Paty
En France, près de 200 enquêtes ont été ouvertes au cours de la dernière semaine d’octobre pour apologie du terrorisme, menaces de mort, injures ou provocations à la haine en lien avec la décapitation du professeur le 16 octobre à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).
La Chancellerie, qui confirme ce chiffre avancé par France Info, précise qu’il est « à appréhender avec prudence, dans la mesure où il n’y a pas de point de comparaison nationale » et n’a pas souhaité actualiser ce bilan. « Ça explose! On a beaucoup de menaces qui visent des personnalités publiques, le Président de la République, le Premier ministre, plusieurs ministres, des députés, des enseignants », détaille une source judiciaire, qui y recense beaucoup d’allusions plus ou moins directes « à des menaces de décapitation ».
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Emmanuel Macron découvre les vertus de la frontière !
Trop tard, certainement. Pour les malheureuses victimes des terroristes islamistes qui n’auraient jamais dû se trouver sur le territoire national. Trop peu, sans doute : 4.800. C’est le nombre de policiers, gendarmes et militaires qui vont être déployés à nos frontières, soit un doublement de l’effectif. Pour 2.913 kilomètres de frontières terrestres, cela semble peu, effectivement. Mais c’est toujours ça. C’est, en tout cas, l’annonce faite, ce jeudi 5 novembre, par Emmanuel Macron, alors qu’il était au Perthus, dans les Pyrénées-Orientales.
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Oyonnax : des scènes de guérilla en ville en plein confinement
Dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 novembre, des scènes de guérilla urbaine se sont produites en plein cœur d’Oyonnax (Ain), relate La Voix de l’Ain.
« Oyonnax, c’est devenu Bagdad »
Des poubelles et des voitures brûlées, des tirs de mortiers et de pétards ont nécessité l’intervention des pompiers pour éteindre les divers incendies. Les forces de l’ordre ont été violemment prises à partie durant les interventions. La police mais aussi la BAC et même le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) ont dû être mobilisés pour disperser les agresseurs.