« On est dans des zones de non-droit. […] Les lois de la République ne s’appliquent pas. […] Plus de 100 mosquées radicales ont été recensées et seulement 7 ont été fermées. Qu’ont-ils fait des 93 autres ?! »
Nicolas Bay (député européen RN) sur CNews
immigration - Page 569
-
[VIDÉO] « Plus de 100 mosquées radicales ont été recensées et seulement 7 ont été fermées. Qu’ont-ils fait des 93 autres ?! » – Nicolas Bay (RN)
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, islamisme, lobby 0 commentaire -
A Mulhouse, Macron prononce son discours de la méthode rustine pour sauver le "vivre ensemble".
L'avis de Jean-François TouzéPar un paradoxe d'apparence, c'est Mulhouse, ville emblématique de l'islamisation de la France puisqu'elle abrite la mosquée-cathédrale An-Nour gérée par des proches des Frères musulmans, que Macron, a choisi pour inaugurer sa séquence "laïciste".En se contentant de déplorer les maux du "communautarisme" (terme équivoque car tous les communautarismes ne se valent évidemment pas) et du "séparatisme" (ce qui suppose une appartenance préalable), au lieu de désigner clairement les menaces que fait peser sur la France l'offensive multimodale et polymorphe menée par l'islamisme, Emmanuel Macron a tenté, dans une intervention aussi incantatoire que décalée, de dissimuler son impuissance à faire face. Il a surtout peiné à légitimer, par avance, les seules mesurettes que ce régime décomposé soit encore vaguement capable de prendre, énième "plan de lutte contre la radicalisation" dont l'annonce sera faite dans une dizaine de jours mais que chacun connaît déjà : renforcement de la laïcité, contrôle des fonds cultuels venus de l'étranger et organisation du culte musulman. Ce n'est pas un plan de combat contre l'islamisme, tout au plus un garde-fou contre ses effets les plus criants. C'est surtout une méthode de rafistolage du "vivre ensemble". -
“Séparatisme”, “communautarisme”… Et si on parlait simplement d’islamisme?
Le changement sémantique voulu par Emmanuel Macron démontre que les dirigeants français errent complètement, alors que monte la menace islamiste sur notre sol. L’analyse de Céline Pina.
Face aux attentats, violences et tensions qui traversent notre société, le Président de la république n’a pas été avare de plans. On nous a d’abord vendu en fanfare des plans contre la radicalisation, on les a même relancés. Sans succès. On nous a dit alors qu’on allait voir ce qu’on allait voir et que le gouvernement allait lancer un plan contre le communautarisme. On n’a rien vu. Aujourd’hui, tout le monde attend avec impatience le nouveau nouveau plan. Contre le séparatisme cette fois-ci. Le problème c’est que pour l’instant toutes ces annonces n’impulsent aucune dynamique et n’obtiennent pas de résultats. Au moins l’analyse du bilan n’est-elle pas épuisante : ces plans sont en général des coquilles vides qui ne servent qu’à mettre en scène une volonté politique, celle-ci tenant lieu d’action concrète et permettant de faire durer l’immobilisme comme de faire patienter le peuple jusqu’au prochain attentat, au prochain meurtre, au prochain scandale, à la prochaine adolescente chassée de son lycée par une meute fanatisée…
Un errement sémantique qui en dit beaucoup
-
Communautarisme: pris à partie, Emmanuel Macron vante la reconquête républicaine
En visite à Mulhouse pour ouvrir la séquence de lutte contre le « séparatisme », le président a surtout tenté de convaincre des bienfaits de la reconquête républicaine.
« Monsieur le Président, vous venez parler de communautarisme dans notre ville, mais nous, les jeunes, n’avons même pas été consultés ! » En déplacement à Mulhouse, ce mardi 18 février, c’est finalement par un bain de foule qu’Emmanuel Macron a décidé d’ouvrir la tant attendue séquence de lutte contre le communautarisme, ou plus exactement, contre le « séparatisme », selon sa nouvelle expression.
-
Jordan Bardella : “Le CCIF est le cheval de troie de l’islamisme en France”
Voici un extrait tiré de l’émission “19H Ruth Elkrief” (BFMTV) du 11 février 2020.
Dans un débat intitulé “La France est-elle menacée par le séparatisme ?”, Jordan Bardella y déclare notamment : “Le CCIF est le cheval de troie de l’islamisme en France”.
-
Le coup de poing d’Orban à l’immigration invasion
Selon ce que rapporte le quotidien allemand Der Spiegel, seulement 60 migrants ont obtenu de Budapest le permis de rester sur le sol hongrois en 2019 contre 1200 en 2017 et 327 en 2018. La politique anti-immigration de Viktor Orban porte ses fruits : non seulement les flux ont diminué, mais les demandes d’asile ont chuté parallèlement à des refus en augmentation.
La Hongrie a rendu la possibilité de rentrer sur son sol et d’y rester plus difficile et a ainsi mis un terme à l’appel d’air que constitue un droit d’asile sans aucune limite : depuis l’année 2019, la gestion du système migratoire a été confiée exclusivement à la police et les demandes d’asile ne peuvent plus être présentées que dans deux check-point proches de la frontière serbe. Ces deux éléments ont influé sur les demandes effectivement déposées.
-
Sur Sud Radio avec André Bercoff, Claude Ardid -"La montée de la violence autour de la laïcité dans les écoles a été cachée".
-
Le samedi 18 avril, le Parti de la France organise un meeting à Paris contre la submersion démographique en présence de Jean-Marie Le Pen
Thomas Joly, président du Parti de la France, et Jean-Marie Le Pen lors des Journées Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale en octobre dernier à Rungis.
Lien permanent Catégories : actualité, divers, France et politique française, immigration 0 commentaire -
POLIT’MAG – Immigration en France : des chiffres faux ?
Tous les vendredis, samedis et dimanches soir à 19h en direct, RT France propose son émission Polit’mag.
Le 16 février, le thème était le suivant : “Immigration en France : des chiffres faux ?”
Les invités étaient :
– Catherine Withol de Wenden, directrice de recherche au CNRS, spécialiste de la question des migrations
– Danielle Babin, avocate spécialisée en droit des étrangers
– Jean-Yves Le Gallou, ancien député européen -
Génération Identitaire Lyon aux côtés des SDF