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immigration - Page 626

  • Institut islamique à Lyon : complicité et soumission de la France au grand jour...

    Andréa Kotarac Conseiller Régional Auvergne-Rhone-Alpes nous révèle que l’Institut islamique inauguré à Lyon est financé par l’Arabie Saoudite ET la France.

    En soutenant ce projet, Castaner et sa clique se rendent ainsi complices des exactions commises par le gouvernement saoudien sur leur population.

    En mars 2020, lors des municipales, dans votre ville où votre village, votez utile, votez souverainiste !

    Action française Lyon

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/01/institut-islamique-a-lyon-complicite-et-soumission-de-la-france-au-grand-jo.html

  • Il faut sauver la France de la mort!

    L’image contient peut-être : texte
     
    Michel Daniel Batail

  • Evolution récente de la France en neuf photos...

     1 – L’intégration et le respect de l’autre  

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    Nous voyons qu’avant l’immigration, les fascistes se baladaient impunément dans des rues de Paris désespérément mono-ethniques. Fort heureusement depuis, les combattants de la diversité veillent au grain afin que le vivre-ensemble soit préservé. Ici, l’un deux piétine la tronche d’un facho qui l’a bien mérité.

    2 – Le raffinement jusque dans le sport

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     Alors que les jeunes de l’époque jouaient à des jeux populistes et primitifs tels que le football, les choses ont changé.Sans doute inspirés par Tiger Woods, les jeunes de la diversité se passionnent aujourd’hui pour des sports plus élitistes.

    Leur passion et leur dévouement sont tels qu’ils se baladent même en ville avec leurs clubs de golf. Des exemples à suivre .

    3 – Un peu de pudeur…

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    Incroyable mais vrai : dans une époque pas si lointaine, les femmes se baladaient sur les Champs-Elysées déguisées en prostituées. Dieu merci, la diversité a amené avec elle une haute idée de la morale.

    Ainsi, si les Françaises daignent faire l’effort de s’assimiler aux immigrées, elles auront enfin une chance d’acquérir un peu de l’élégance qui leur a toujours fait défaut...

    4 – L’enrichissement culturel (1)

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    Emmanuel Macron nous a rappelé à juste titre qu’il n’existait pas de culture Française. Cependant, grâce à l’enrichissement culturel que nous apporte l’immigration, les choses sont en train de changer…

    Mais les Français étant intrinsèquement racistes, on ne trouve malheureusement encore aucun Kebab au guide Michelin.

    5 – L’enrichissement culturel (2)

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    Alors que l’immigration Européenne avait permis de relever péniblement le piètre niveau du cinéma Français avec des acteurs de la trempe de Lino Ventura, il aura fallu attendre les années 2000 pour voir de vrais talents crever l’écran avec le charisme qui manquait cruellement à la bande à Audiard.

    6 – L’enrichissement culturel (3)

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    On se demande encore comment Jacques Chancel a su captiver son auditoire pendant un demi-siècle sans n’avoir jamais eu recours à des procédés comiques tels que le pipi, le caca, et le cucul.

    Heureusement, les heures les plus sombres de la culture audiovisuelle sont révolues.

    7 – L’enrichissement culturel (4)

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    Brassens et Booba ont en commun l’amour du bon mot grivois. Cependant, il nous suffit de comparer certains de leurs vers les plus fleuris pour s’apercevoir que le vrai génie littéraire se trouve du côté du rappeur.

    Brassens : « Qui est-ce qui veut me laisser faire, im naturalibus, un p’tit peu d’alpinisme sur son mont de Vénus ? »

    Booba : « Elle roule en Clio, elle a un piercing au clito, j’lui crache dans les chicots, j’m’arrache aussitôt. »

    8 – L’explosion des normes répressives issues de la société Chrétienne

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    Alors que la plupart des Français réactionnaires et bornés avaient l’incongruité de s’asseoir «normalement » dans le métro,… On trouve aujourd’hui des esprits libres qui importent des comportements novateurs afin bousculer les idées reçues : après tout, qu’est-ce que la normalité, le respect des choses et du matériel ?                    

    9 – La douceur de vivre

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     Certains quartiers de Paris, comme Barbès, sont aujourd’hui vibrants, colorés et pleins de vie.On peine à croire qu’il y a encore 50 ans, Barbès était à mourir d’ennui.

    Pas un seul Tati, aucun multiculturalisme et des trottoirs balayés jusqu’au désespoir.

    L’horreur mono-culturelle.

    C'est à pleurer ! mais il paraît que le brassage des populations est source d'enrichissement....

    Ah oui, il est vrai que Larousse et le P'tit Robert s'enrichissent ...

    zob, clebs, smala, gourbi, bézef, niquer, bled, crouille, fatma, fissa, flouze, kiffer, chouf, nik ta mère....

    Comme le chantait Gainsbourg :" La décadence..."

    Quel bel avenir pour nos enfants !

    lafautearousseau

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/25/x-6185396.html

  • Têtes à Clash n°58 avec le sénateur Jean-Louis Masson : Faut-il interdire les listes communautaires ?


    Franck Tanguy reçoit le sénateur Jean-Louis Masson, François Bert, Christian Vanneste et François de Voyer, un proche de Marion Maréchal. Au programme des débats :
    – Listes communautaires aux municipales, fait-on bien de vouloir les interdire ?
    – Brexit : une sortie impossible ?
    – Ouvrir les commerces alimentaires jusqu’à minuit ?

    https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n58-avec-le-senateur-jean-louis-masson-faut-il-interdire-les-listes-communautaires

  • Robert Ménard : « Je suis abasourdi et en colère, c’est un crime de brûler une école, c’est inacceptable ! »

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    Dans la nuit de jeudi à vendredi, une école primaire, un collège et plusieurs véhicules ont été incendiés dans le quartier de la Devèze, à Béziers.

    Le maire de la ville, Robert Ménard, exprime sa colère et son incompréhension au micro de Boulevard Voltaire.

  • Le Sénat interdit le "voile" lors des sorties scolaires : la Turquie condamne !

    Ou : quand le ridicule ne tue plus...

    Le dictateur Erdogan se met à ressembler de plus en plus à une sorte de Hitler - "l'énergumène", comme l'appelait Jacques Bainville... - dans sa politique de provocations à l'extérieur, par exemple en Syrie, où il recule dès qu'il voit une résistance sérieuse, en l'occurrence celle de  Poutine...

    Mais, contesté dans son propre pays malgré, ou à cause de, son autoritarisme et sa brutalité (il a perdu les élections municipales dans les deux plus grandes villes de Turquie) il affecte de garder, bien que vieillissant et manifestement moins tonique qu'avant, ses postures, gestes, discours d'antan...

    Aujourd'hui, il se manifeste en condamnant le vote du Sénat français, interdisant le port du voile aux accompagnatrices de sorties scolaires. Il trouve que c'est "discriminatoire" et que cela "marginalise les musulmans".

    Mais, de quoi se mêle-t-il ? N'est-ce pas là une ingérence dans les affaires internes d'un Etat souverain ? Et par la même personne qui envahit un pays (la Syrie), alors même que ses troupes occupent depuis trente ans le tiers d'un autre Etat membre de l'Europe ?

    Pas de réaction officielle en France, du moins pour l'instant. Macron a pourtant la dent dure, lorsqu'il veut : n'a-t-il pas employé le terme de "lèpre" et d'autres mots tout aussi fleuris pour insulter dirigeants et peuples de plusieurs pays d'Europe, qui ont, il est vrai, commis le crime de dire qu'ils ne voulaient pas que l'Europe cesse d'être elle-même à cause de l'invasion migratoire, et d'agir en ce sens.

    Cette arrogance-là, pour Macron, semble être, doit être, beaucoup plus grave que l'inadmissible ingérence d'un dictateur dans nos affaires intérieures...

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/01/le-senat-interdit-le-voile-lors-des-sorties-scolaires-la-tur-6187111.html

  • De l'immigration de travail à l'immigration de colonisation.

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    L'avis de Jean-François Touzé

    Loin des propos lénifiants d'un Hervé Le Bras ("L'immigration est stable en France depuis vingt ans") ou de la désinformation d'un Filippo Grandi, directeur de l'Instance des Nations Unies pour les réfugiés ("L'impression d'une ruée migratoire vers l'Europe est fausse"), la démographe Michelle Tribalat s'efforce depuis des années de rétablir la vérité en se basant sur l'étude historique rigoureuse et la réalité des chiffres, ne serait ce, a minima, que ceux, officiels, du ministère de l'Intérieur ou de l'Insee.

    Dans une tribune intitulée "Non, la France n'a pas toujours été une terre d'immigration", publiée ce 1er Novembre dans le Figaro, elle restitue de manière limpide la clarté des faits statistiques : alors qu'en 1851, seuls 381 000 étrangers résidaient sur notre sol, soit à peine 1% de la population, alors qu'au cœur même des années 1960 et 1970, marquées par la volonté pompidolienne de recourir à une main d'oeuvre bon marchée, ce taux n'atteignait pas les 5%, il s'élèvera progressivement, à l'approche du troisième millénaire, à 10%. Nous en sommes aujourd'hui à 21%, avec 14 millions d'étrangers installés en France dont 46% d'Africains contre 33 % d'Européens (En 1982, pour une population étrangère globale de 7%, la proportion était inverse, avec 56% d'Européens).
    Ce que ne dit pas Michelle Tribalat qui, à juste raison, reste dans son rôle d'observatrice et de chercheuse, c'est que l'immigration, en France, a changé de nature.
    D'immigration de travail, elle est passée avec le regroupement familial décidé par Giscard d'Estaing et Chirac, au stade d'immigration d'installation puis, avec l'échec programmé de l'assimilation, à une immigration d'affirmation et de revendication vers 1990 avec les premières manifestations communautaires.
    Nous sommes aujourd'hui confrontés à une immigration de captation et de colonisation.
    Captation de notre identité par dislocation de la cohésion nationale, effacement de nos valeurs et de nos principes, et par dévoiement de notre Histoire.
    Colonisation par la mise en sécession de fait de pans entiers de notre territoire, par la conquête des esprits, des âmes et des corps,  par l'islamisation, mais aussi par l'africannisation ou l'orientalisation sourdes et progressives de nos mœurs.
    Face à cette menace mortelle, c'est donc bien un combat POLITIQUE de libération nationale que nous devons mener. Et gagner.
    Faute de quoi, nous connaîtrons les horreurs d'une guerre qui ne sera pas civile, puis, vaincus par notre anémie et notre déficience démographique, nous disparaîtrons dans les lises de la soumission qui engloutissent les peuples qui renoncent.
  • Zineb El-Razaoui accusée d'être responsable de l'attaque de la mosquée de Bayonne

  • Les preuves de la réalité du grand remplacement, par Jean-Yves Le Gallou

    Les preuves de la réalité du Grand Remplacement

    Si la désinformation est extrêmement répandue, l’immigration est assurément le domaine où elle est la plus forte, notamment sur la question du grand remplacement.  Sur ce point, curieusement, les grands médias tiennent conjointement des propos contradictoires puisqu’ils affirment à la fois que le grand remplacement n’existe pas… mais également qu’il n’est pas voulu !

    2133997750.jpgJean-Yves Le Gallou

    1. « Le grand remplacement n’existe pas »

    Pour discréditer ceux qui affirment l’existence du grand remplacement, les médias utilisent, là encore des arguments contradictoires puisqu’ils soutiennent d’une part que la France a toujours été une terre d’immigration mais, d’autre part, que la structure de la population n’a pas fondamentalement changé.

    « La France a toujours été une terre d’immigration »

    638039703.jpgComme il ressort de la monumentale étude (1) dirigée par Dupâquier (2), c’est une contre-vérité. En réalité, pendant 5.000 ans, la population française issue d’un peuplement indo-européen a très peu varié : quelques pourcents en quelques siècles. L’essentiel des mouvements migratoires s’est fait à l’intérieur du continent européen, y compris ce que l’on a nommé « les grandes invasions ».

    Il est vrai qu’à la fin du XIXème et au début du XXème siècle la France a connu des phénomènes d’immigration mais il s’agissait pour l’essentiel de populations catholiques venues de Pologne, d’Italie, d’Espagne ou du Portugal. Cela est resté vrai jusqu’aux années 1960.

    « La population immigrée est stable »

    Même à s’en tenir aux statistiques officielles, c’est faux. En 1911, la population étrangère représentait 3 %, aujourd’hui 5 à 6 %. Cette évolution pourrait sembler minime mais, en réalité, ce chiffre – dont les immigrationnistes se plaisent à souligner la constance au cours des dernières décennies – dissimule une réalité bien différente. A chaque fois qu’arrivent sur le sol français 100 ou 150 000 étrangers, autant sont naturalisés.

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    Jacques Dupâquier

    Dès lors, si la réalité administrative ne change pas (la proportion d’étrangers) il est une autre réalité qui change considérablement : la réalité culturelle, politique, sentimentale, civilisationnelle. Aujourd’hui le terme « Français » a perdu beaucoup de son contenu, car on peut avoir la nationalité française sans avoir le moindre attachement à la France, en tous cas en ne participant guère à sa civilisation.

    On peut évaluer à 20 %, la part de la population qui n’est pas originaire de France ou d’Europe. Chiffre que plusieurs sources viennent confirmer. Ainsi, le CSA a reproché aux médias de ne faire apparaître dans les émissions de télévision « la diversité » que pour 18,5%, preuve qu’il considère qu’en réalité son poids démographique est bien supérieur !

    De même l’INED et l’INSEE chiffrent à 19,5 % les étrangers et descendants d’étrangers.
    Certes, ces chiffres prennent en compte les descendants d’européens parfaitement assimilés et donc ce chiffre devrait, dans une certaine mesure, être revu à la baisse. En fait, pour l’essentiel, c’est à la hausse qu’il doit être revu !
    D’abord parce que l’étude en question remonte à la période 2008-2011 et que depuis la situation s’est aggravée.
    Ensuite parce que la population d’origine extra européenne est mal connue. Un rapport parlementaire admet qu’à 30 % près, on ne connaît pas la population de Seine-Saint-Denis !
    Enfin parce que cette étude ne prend en compte que trois générations : les parents, les enfants et les petits enfants d’immigrés, supposant qu’après l’assimilation est complète. Cela était assurément vrai dans le contexte d’une immigration européenne, cela l’est beaucoup moins s’agissant d’une immigration extra-européenne.

    On prétend également que les entrées sont stables alors qu’en 2008 on a recensé 210 000 entrées et en 2018 410.000 (3) entrées soit près du double !

    Ce chiffre de 20 % que j’évoquais plus haut est également corroboré par 2626626302.jpgJérôme Fourquet dans son dernier livre au titre d’ailleurs très révélateur : L’Archipel français – Naissance d’une nation multiple et divisée (4). Le directeur du département Opinion et Stratégies d’Entreprise de l’institut de sondages IFOP constate que 18,5 % des nouveau-nés de sexe masculin ont un prénom musulman. Ce chiffre, il faut le souligner, ne tient pas compte des prénoms ambigus et ne donne une idée que de l’immigration musulmane et non pas extra-européenne dans son ensemble, tant il est vrai que celle-ci n’est pas exclusivement musulmane.

    Autre indicateur : le test de la drépanocytose intéressant parce qu’il est effectué à la naissance et qu’il s’agit d’une maladie concernant essentiellement les extra-européens.
    Ce chiffre assurément est à prendre avec prudence car nos compatriotes antillais et une petite minorité de nouveau-nés européens peuvent être concernés, mais à l’inverse les Chinois par exemple ne le sont pas.  Ce qu’il faut retenir, c’est que ce test qui était positif pour 20 % des nouveau-nés en 2001 en concerne 38 % en 2017.

    Toutefois les chiffres de la démographie, assurément très révélateurs, sont loin de dire toute la réalité du grand remplacement. Ce n’est pas seulement une partie de la population qui change, c’est notre civilisation : la part croissante du ramadan dans la société, la charia qui devient la loi dans certains quartiers, la progression du port du voile, la généralisation du halal (50 % des animaux de boucherie qui sont abattus selon ce rite).

    2. « Le grand remplacement n’est pas voulu »

    Les médias, tout en niant l’existence du grand remplacement, affirment que l’immigration massive n’est pas la conséquence d’une volonté politique, ce qui serait une vision « complotiste ».

    Cette question mérite assurément le débat, même s’il existe des indices difficilement contestables. En premier lieu, chacun peut constater que, à rebours de l’opinion publique (ainsi que le révèlent tous les sondages), le pays légal est infiniment plus favorable aux partisans de l’immigration qu’à ses adversaires. Ces derniers n’auront pas beaucoup accès aux principaux médias ni aux grands éditeurs. En revanche, ils seront souvent accueillis devant les juridictions notamment la fameuse XVII° chambre correctionnelle !
    L’actualité fourmille d’exemples révélateurs. Ainsi, récemment, des identitaires se retrouvent 48 heures en garde à vue pour avoir manifesté pacifiquement. À l’inverse, pour un militant favorisant des entrées illégale sur le territoire, le Conseil constitutionnel fait obstacle à la loi pénale en donnant valeur constitutionnelle au principe de fraternité !

    La comparaison des moyens dont disposent les différents acteurs est également très révélatrice. L’agence européenne Frontex, en charge de la protection des frontières de l’Europe se voit attribuer moins de 500 millions d’euros, somme inférieure à celle dont disposent les associations immigrationnistes subventionnées par des milliardaires comme Soros mais aussi par des institutions publiques, comme l’Union européenne, des États et des régions.

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    Georges Soros

    Alors, qui veut ce grand remplacement ? Il est vrai que de plus en plus de responsables politiques affirment publiquement vouloir limiter l’immigration mais, en la matière, le droit est pour l’essentiel de nature jurisprudentielle. Il relève donc de la Cour européenne des droits de l’homme, du Conseil constitutionnel, du Conseil d’État, de la Cour de cassation ou encore de la Cour nationale du droit d’asile.
    Cette supériorité des juridictions sur le pouvoir politique a été particulièrement bien illustrée par la question du regroupement familial : instauré par le gouvernement Chirac en 1976, le gouvernement suivant a tenté de l’abroger ; en vain, car le nouveau décret a été annulé par le Conseil d’État. Ainsi, depuis quarante ans, le regroupement familial continue de s’appliquer. De même concernant le droit d’asile prévu à l’origine pour protéger des petites minorités persécutées dans leurs pays. Il est devenu un moyen commode pour s’installer en France car les juridictions construisent, décision après décision, un droit extrêmement favorable aux étrangers. C’est ainsi que contrairement au droit commun, ils n’ont pas à faire la preuve de leurs allégations que ce soit concernant leur identité, ou pour établir la réalité des persécutions dont ils se prétendent victimes dans leurs pays d’origine.

    Est-ce à dire que les pouvoirs politiques sont impuissants ?
    En réalité, sur la question de l’immigration des mesures énergiques sont indispensables : il faut privilégier non plus les droits individuels de l’homme, mais le droit des peuples à leur continuité historique et à leur civilisation ; l’État doit cesser de subventionner les associations immigrationnistes et abroger les lois Pleven et autres qui empêchent le libre débat sur une question aussi vitale pour l’avenir de notre peuple.

    En refusant de prendre de telles mesures, gouvernement et parlement permettent, qu’ils le veuillent ou non, la poursuite du Grand Remplacement.

    (1) : Histoire de la population française, Paris, PUF, 4 volumes, 1988

    (2) : Jacques Dupâquier, (1922 – 2010) est un historien français et membre de l’Institut (Académie des sciences morales et politiques), spécialiste de l’histoire des populations et de démographie historique.

    (3) : 240.000 titres de séjour délivrés, 120 000 demandes d’asile et 50 000 « mineurs isolés ».

    (4) : Éditions du Seuil, Février 2019

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/01/les-preuves-de-la-realite-du-grand-remplacement-par-jean-yve-6186830.html#more

  • I-Média n°270 – Attentat de Bayonne : la fin du « pas d’amalgames » ?

     

    L’image de la semaine

    02:04 En dépit des conséquences médiatiques potentiellement funestes, Louis de Bourbon, duc d’Anjou était au premier rang des porteurs du cercueil de son arrière-grand-père, le général Franco.

    Attentat de Bayonne : la fin du « pas d’amalgames » ?

    04:34 L’attaque d’une mosquée à Bayonne par un homme psychologiquement instable de 84 ans a provoqué un véritable tsunami médiatique. L’assaillant avait en effet été candidat local FN en 2015. Du pain béni pour les médias !

    Revue de presse

    18:15 L’émission de Zemmour en différé et Yassine Belattar, l’ancien conseiller d’Emmanuel Macron, en plein discours islamiste virulent. Voilà deux sujets qui seront notamment traités dans la revue de presse de la semaine

    Quotidien en croisade contre Nadine Morano

    31:04 Encore un beau reportage totalement biaisé de Quotidien. Cette fois, c’est pour tourner en dérision Nadine Morano, revenue dans le quartier de son enfance avec Valeurs actuelles. Yann Barthès a enchaîné les bobards !

    Coup de chapeau

    37:23 En Allemagne et en Italie, les derniers résultats électoraux ont démontré que les partis identitaires avaient le vent en poupe. Au grand dam des médias français !

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n270-attentat-de-bayonne-la-fin-du-pas-damalgames