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Génération Identitaire Lyon rend visite à SOS Méditerranée
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Mila : qui n’a dit mot consent
59% des jeunes soutiennent les harceleurs et se prononcent pour l’interdiction du blasphème. Céline Pina s’inquiète: l’Affaire Mila nous parle de la fin de notre république, selon elle.
En ce début février, le sondage révélé par Charlie Hebdo suite à l’affaire Mila et portant sur le droit au blasphème a de quoi faire frémir. Une jeune fille risque sa vie alors qu’elle n’a rien fait de mal et 50% des Français, au lieu de la soutenir, défendent la sacralisation d’une religion en utilisant les mots des islamistes, dont un qui fut naguère beau mais justifie aujourd’hui toutes les soumissions : le respect.
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Pompier lynché au bal du Chat Noir à Dunkerque : 6 suspects interpellés
Kevin Desmidt, 27 ans, professeur de sport et sapeur-pompier volontaire au centre de secours de Malo, a été roué de coups par plusieurs agresseurs dans la nuit du 1er au 2 février alors qu’il était en repos, en marge du bal du Chat Noir à Dunkerque (Nord).
Quatre mineurs et deux jeunes majeurs ont été interpellés par la police ce lundi dans l’agglomération dunkerquoise a annoncé le parquet de Dunkerque.
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Grèce: des ONG accusées d’avoir attisé les troubles dans un camp de réfugiés
Luttant pour arrêter les flux migratoires vers Lesbos, le gouvernement grec déclare maintenant la guerre aux ONG, les accusant d’avoir attisé les troubles entre les habitants et les réfugiés. Les fonctionnaires disent qu’ils sont assis sur un baril de poudre.
Lorsque la nuit tombe, les lumières brillent dans le village agricole de Moria. Les plaisanteries de la police dérivent à travers la campagne d’hiver, et les hommes de la Moria – des adolescents aux aînés – se promènent jusqu’à un carrefour, gardant à tour de rôle leur village.
« C’est ce à quoi il est parvenu », explique Ioannis Mastroyiannis, président de la ville. « Nous récupérons nos vies, nos maisons et nos biens. Nous ne voulons plus que les réfugiés y mettent les pieds. Ils nous ont détruits. »
Les 1000 habitants de la Moria ont mis en place un point de contrôle sans précédent, lançant récemment des patrouilles nocturnes après que des milliers de demandeurs d’asile se soient précipités hors d’un camp voisin pour protester contre les expulsions forcées, les conditions de vie épouvantables et les retards dans les procédures d’asile.
Après des heures d’escarmouches avec des policiers qui ont également tiré des gaz lacrymogènes, certains des migrants se sont finalement retirés dans le camp à la périphérie de Moria, un endroit tellement congestionné et inhumain, qu’il a valu à l’île grecque de Lesbos la réputation d’accueillir les plus redoutés d’Europe installation pour migrants.
dw.com (article en anglais)
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[VIDÉO] Débat Eric Zemmour/Marlène Schiappa : « Ah bon ? Mohammed c’est un prénom islamique ? »
Eric Zemmour : « Il y a des départements comme la Seine-Saint-Denis où se sont les prénoms islamiques qui sont en tête.
Marlène Schappa : – C’est quoi un prénom islamique ?
– Mohammed c’est un prénom islamique, c’est un prénom qui sort du Coran.
– Ah bon ? »Face à l’info sur CNews : à regarder en replay ici
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Albi : des drapeaux du Maroc, de la Tunisie et de l’Algérie accrochés sur le toit de l’Église, le prêtre porte plainte
Ce dimanche 9 février, dans le quartier de Rayssac d’Albi (Tarn) un groupe de jeunes a été surpris alors qu’ils accrochaient des drapeaux du Maroc, de la Tunisie et de l’Algérie sur le toit de l’Eglise- Saint -Jean-Baptiste.
Le curé de la paroisse, le Père Paul de Cassagnac a déposé plainte ce lundi 10 février exprimant son soutien aux témoins de cette scène. En réponse l’archidiocèse publia un communiqué où ils reprennent les mots du Curé qui appelle à : « rechercher la paix et à réveiller le sens religieux »Suite à l’appel d’un riverain la Police s’est immédiatement rendue sur les lieux mais les jeunes étaient déjà partis et les drapeaux décrochés.
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Djihad politique aux Municipales
Les Municipales seront-elles marquées par l’émergence de listes islamistes ? Le phénomène inquiète, mais il est encore incertain. Il ne représenterait en tous états de cause que la partie émergée de la pénétration islamiste dans nos communes.
« Non aux listes communautaristes » ! Cri d'alarme ou écran de fumée ? À l'approche des Municipales, nombreux sont ceux qui se sont émus de la possibilité de listes communautaires - comprendre « musulmanes », en Nov-langue - dans le scrutin de mars prochain.
Le 8 novembre, Bruno Retailleau déposait une proposition de loi pour l'interdiction des listes communautaires. Alors que Macron se prononçait contre le 19 novembre dernier, Gérard Larcher, président du Sénat, confiait qu'« aux Municipales de 2020, le problème [de l'infiltration de salafistes ou de Frères musulmans dans les listes électorales] pourrait se poser en certains points du territoire ». Céline Pina, militante de gauche laïque engagée contre l'islamisme, publiait une tribune appelant à interdire de telles listes. Dans son collimateur, l'Union des démocrates musulmans français (UDMF), pointant justement que « cela dépasse la question de la laïcité. C'est une question civilisationnelle. »
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La délinquance en hausse, et c’est un élu du système, ancien ministre de l’immigration, qui le dit
Brice Hortefeux, était l’invité hier de BFM Politique sur BFMTV.
Au sujet de la sécurité, il assure que « la réalité, c’est que tous les clignotants sont en train de virer au rouge » : « +8% de coups et blessures volontaires, +12% d’agressions sexuelles, +9% d’homicides » en 2019. « Si vous faites la synthèse, vous avez 700 agressions par jour en moyenne, 100 de plus qu’il y a deux ans. C’est ça la réalité des chiffres, il y a une pression de plus en plus importante » souligne-t-il.
Un constat facile à poser pour l’ancien ministre de l’immigration de Nicolas Sarkozy, les chiffres parlent d’eux-mêmes, mais en préciser les raisons reste une tache insurmontable pour ce politicien du système : sa politique immigrationniste, dans la ligne idéologique de ses prédécesseurs et successeurs même si tempérée par quelques mesurettes, n’est-elle pas la première cause de ce délitement social ?
Francesca de Villasmundo
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Cet islam politique qui s’installe en France
Depuis une dizaine d’années seulement, un islam intégriste noyaute les banlieues et obtient un pouvoir grandissant grâce à son investissement électoral et associatif, décrit François Pupponi.
Maire de Sarcelles pendant vingt ans, de 1997 à 2017, et habitant de cette ville depuis plus de cinquante ans, François Pupponi a tout vu : la pauvreté grandissante de certains quartiers, l’écart qui se creuse entre ce territoire perdu de la République et les grandes métropoles, « l’ensauvagement des “ jeunes issus de la diversité” », l’une des plus violentes manifestations antisémites depuis 1945 et enfin l’irruption il y a peu d’un islam radical gangrenant tous les milieux, associatif, cultuel, sportif et social. C’est donc avec les yeux de l’expérience qu’il décrit dans un livre témoignage, les Émirats de la République, comment des musulmans fondamentalistes prennent le pouvoir dans les municipalités et finissent par être une menace pour la République, au grand dam de la communauté musulmane elle-même et des autres habitants. Un récit instructif et riche d’enseignements.
Découvrez cet entretien paru dans Valeurs Actuelles. -
Avec l’affaire Mila, l’islamophobie en prend un coup
L’« affaire Mila » se dégonfle peu à peu. Nicole Belloubet est allée à Canossa en passant par Le Monde pour expliquer que le délit de blasphème n’existe pas en France, que « juridiquement, l’insulte à la religion n’existe heureusement pas dans notre République. Seules sont réprimées les injures faites à autrui en raison de son appartenance à une religion déterminée, comme celles adressées à une personne en raison de ses origines, de ses orientations sexuelles, de son sexe… » Dont acte.