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immigration - Page 629

  • La thématique de l’immigration profite plutôt… au Rassemblement national

    […]

    Emmanuel Macron a-t-il bien fait de venir chasser sur les terres habituelles du Rassemblement national ? En annonçant solennellement des mesures plus fermes (que celles, historiquement sévères, déjà mises en place sous son mandat) en matière d’immigration, le président de la République ne semble pas avoir convaincu, et pourrait même avoir favorisé ses adversaires.

    Son mouvement La République en Marche ne convainc sur cette thématique que 25 % des personnes interrogées…

    […]

    France Inter

    http://www.fdesouche.com/1266145-la-thematique-de-limmigration-profite-plutot-au-rassemblement-national

  • Macron et l’immigration : une réappropriation du discours sécuritaire de droite afin de renforcer la politique migratoire

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     (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Lundi dernier, Emmanuel Macron a déclaré : « Les bourgeois n’ont pas de problème avec l’immigration. Ils ne la croisent pas. Les classes populaires vivent avec ». Jean-Marie Le Pen a qualifié de « grâce » ces propos du président de LREM. Les propos de Macron sont en apparence critiques envers l’immigration. Il est vrai que le phénomène migratoire commence à se voir, même pour les plus aveugles des Français. Mais Macron est-il vraiment contre l’immigration ?

    Quels sont ses véritables objectifs ?

    Dans son habitude de l’ « en-même-temps », vendredi dernier, Macron a été capable de pointer du doigt des conséquences négatives de l’immigration, tout en allant signer en Italie avec Giuseppe Comte un accord sur la répartition automatique des clandestins en Europe.

    En vérité, on voit bien que Macron adopte un discours sécuritaire non pas pour faire réduire l’immigration légale ou illégale, mais pour mettre en place un programme migratoire européen qui encadrera, protégera et multipliera les arrivées. De nombreux médias de réinformation ont abordé cet aspect macronien de l’immigration, comme le dernier épisode d’I-Média sur TV Libertés avec Jean-Yves Le Gallou.

    https://fr.novopress.info/215562/macron-et-limmigration-une-reappropriation-du-discours-securitaire-de-droite-afin-de-renforcer-la-politique-migratoire/

     
  • C'est passé au JT de TF1 : "Migrants : enquête sur un trafic de faux certificats médicaux..."

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    (envoi de lecteur)
    JT 20H - Chaque année, la France reçoit 40 000 demandes de titre de séjour provisoire pour des raisons médicales, dont deux tiers, en moyenne, sont acceptées.

    Des médecins ont fourni à des sans-papiers de faux certificats médicaux pour leur permettre d'obtenir frauduleusement un titre de séjour. Un trafic qui a occasionné un important préjudice à l'Etat, se chiffrant en dizaines de millions d'euros. C'est ce que vient de révéler l'enquête très fouillée, menée depuis plusieurs semaines par notre équipe. 

    Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 20H du 06/03/2018 présenté par Gilles Bouleau sur TF1 (il est passé à 20h20). 

    Il ne date donc pas d'hier : notre lecteur nous l'envoie en faisant remarquer que personne n'a publié, depuis, le moindre démenti !...

    https://www.lci.fr/societe/migrants-enquete-sur-un-trafic-de-faux-certificats-medicaux-2080901.html

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/21/h-6171106.html#more

  • Pour le président de SOS Racisme, le racisme anti-Blanc ne serait donc que de la rage…

    sopo.jpg

    Dominique Sopo, président de SOS Racisme, vient de donner une tribune dans Le Monde sur le racisme anti-Blanc. Le quotidien du soir met en exergue cette citation : « La notion de racisme anti-blanc est l’héritière de ces notions de racisme anti-français ou anti-chrétien. » Le ton est donné.

    Le postulat du président de SOS Racisme se résume dans cette phrase : « On notera cependant que l’hostilité que peuvent exprimer des Noirs ou des Arabes envers les populations perçues comme blanches est une rage ou une haine qui ne sont que rarement du racisme au sens propre du terme, car elles ne sont généralement pas sous-tendues par une idée de domination, difficilement pensable pour des groupes minorisés. »

    Or, donc, pour Dominique Sopo, le racisme anti-Blanc n’est pas du racisme mais une rage ou une haine…

    Avez-vous compris quelque chose ?

    Le béotien que je suis a pourtant toujours cru que la manifestation du racisme s’exprimait via la haine de l’autre et engendrait une rage face aux personnes haïes.

    Je dois revoir mes humanités car, sur ce coup, le sieur Sopo remet en question des années d’études, des lectures d’experts et des théories bien établies.

    Le président de SOS Racisme ose l’incroyable, la rage et la haine des Noirs et des Arabes qu’il défend ne sont pas du racisme, c’est hallucinant. Mais, pire, il justifie son assertion en arguant de ce que cette rage et cette haine ne sont pas sous-tendues par une idée de domination… impensable (toujours selon lui) pour des minorités.

    En vérité, on se demande si Dominique Sopo ne démontre pas, dans cette tribune, un racisme anti-Blanc et, sous le couvert de son association, s’il ne distille pas ses noires idées.

    D’accord, le concept de racisme anti-Blanc a été initié dans les années 80 par des leaders et des théoriciens de l’extrême droite. D’accord, les Blancs sont majoritaires en France. D’accord, la France a été impliquée dans l’esclavage et le commerce triangulaire. D’accord, la France a été colonisatrice. D’accord, la France a une relation particulière avec ses anciennes colonies mais, pour autant, est-ce qu’on peut faire une croix sur la haine et la rage des populations minoritaires face aux populations majoritaires ?

    Est-ce qu’on peut minorer le racisme des uns tout en brandissant le racisme des autres ?

    Ce que n’a pas compris Dominique Sopo, c’est qu’on ne peut pas dénoncer le racisme en faisant le choix de décerner une prime aux populations minoritaires. Ce bonus initie un biais malsain pour les uns et le malus, une posture arrogante pour les autres. Évoquer le racisme en circonscrivant ses conséquences, notamment sociales, sur les victimes, c’est se tromper de prisme quant aux impacts de ce mal sur le plan psychologique et physiologique.

    Monsieur Dominique Sopo, toutes les formes de discriminations doivent être dénoncées et combattues, le racisme n’a pas de couleur ni d’excuses, ses auteurs sont tous à mettre au même niveau.

    Il y a un seul racisme, et vous le savez, alors il est temps que SOS Racisme dénonce le racisme.

    https://www.bvoltaire.fr/pour-le-president-de-sos-racisme-le-racisme-anti-blanc-ne-serait-donc-que-de-la-rage/

  • Malte : sommet entre ministres de l’UE sur la la récupération des clandestins en mer

    Les ministres de l’Intérieur de cinq pays de l’UE se réunissent lundi à Malte pour s’entendre sur une répartition automatique des migrants, un mécanisme réclamé par l’Italie pour mettre fin aux négociations au cas par cas, à chaque sauvetage opéré en Méditerranée.

    Réunis pour une journée, les ministres de l’Intérieur allemand, français, italien, finlandais – en tant que président tournant de l’UE – et maltais doivent élaborer un dispositif qui permettra aux pays européens volontaires de se répartir de façon systématique les personnes secourues en mer.

    RTS

    https://www.tvlibertes.com/actus/malte-sommet-entre-ministres-de-lue-sur-la-la-recuperation-des-clandestins-en-mer

  • L'immigration peut devenir fédératrice des droites

    6a00d8341c715453ef0240a4d518ae200b-320wi.jpgL'hypocrisie a toujours constitué une sorte d'hommage que le vice rend à la vertu. Sans croire le moins du monde, par conséquent, à l'efficacité des discours de nos politiciens quand ils se veulent démagogues[1], y compris quand ils dirigent l'État, on peut donc et on doit observer le terrain sur lequel ils situent leurs promesses. Et les contorsions de leurs courtisans nous indiquent, comme aussi les girouettes le sens du vent, les vrais sujets qui fâchent.

    En cet an de grâce 2019, après quelque 50 ans de campagnes, hélas infructueuses, consécutives à celle de Tixier-Vignancour, qui disait déjà en 1964-1965, devant des salles pleines et des urnes vides, "nous voulions l'Algérie française, pas la France algérienne", le sujet migratoire est devenu [presque] politiquement correct.

    Le tournant a commencé en 1981 quand Mitterrand, incontestable roi des tordus et parrain des pourris, avait imaginé d'introduire une division mortelle et durable au sein de l'opposition de droite, alors même qu'il avait construit une alliance avec un parti communiste, clairement raccordé à l'URSS et, spécialement avec l'Allemagne de l'Est, de funestes mémoires. Sa doctrine stratégique mérite d'être rappelée. Il l'a plusieurs fois résumée : la gauche est minoritaire en France, elle ne peut gouverner qu'en se rassemblant et en divisant les droites.

    C'est simple comme l'œuf de Christophe Colomb.

    Ça a marché pendant 40 ans, et l'argument [prétendument] "antiraciste" a servi de lubrifiant. Ce beau succès pour le malheur, l'abaissement et la dénaturation d'un pays qui fut, dans un passé désormais révolu, grand, généreux et beau.

    Or, nous en sommes arrivés au point que la question de l'immigration extra-européenne et de l'identité des diverses régions de France, facteur de division pendant 40 ans, est devenue aujourd'hui, au contraire unificatrice des oppositions à la gauche, c'est-à-dire de ce que l'on désigne comme constitutif des droites.

    Un article choc publié par le Figaro, en date du 17 septembre, sous la signature de Jean-Marc Leclerc, vient à point pour nous le rappeler Ce texte peut être considéré en lui-même significatif comme rappelle quelques éléments de réflexion. Certes, on pourrait en rajouter des tonnes, mais dans le cadre de cette modeste chronique on s'en tiendra aux faits incontestables qu'il évoque.

    Résumons les constats de ce qui paraîtra sans doute à certains lecteurs habitués de cette chronique comme un enfoncement de portes ouvertes.

    Globalement, dit-il, "le poids de l’immigration pour les finances du pays atteint un tel niveau, déplorent aujourd'hui nos technocrates, qu’il obère l’efficacité de bien des réformes visant à assainir les comptes publics."

    Quelque 100 000 clandestins sont ainsi soumis à une obligation de quitter le territoire mais leur taux de retour effectif dans leur pays d’origine atteint péniblement plus de 15 %. Donc plus de 80 % des illégaux "officiellement constatés" restent. L'État échoue à renvoyer les étrangers jugés indésirables.[2]

    En 2014, la Cour des comptes estimait le coût de l’asile à 1 milliard d’euros par an pour les demandeurs et à 1 milliard d’euros supplémentaires pour les déboutés, restés sur place. À l’époque on accueillait 65 000 demandeurs d’asile par an. Ce nombre s'est multiplié par deux.

    En 2018 le seuil a été franchi des 100 000 ménages bénéficiaires de l’ADA, allocation pour demandeurs d’asile.

    Un seul député, Claude Goasguen, LR, s'est attaché à évaluer le coût, dans deux rapports consacrés au sujet, de l’aide médicale d’État. Il la chiffre à hauteur de 1 milliard par an[3]. Or, elle se veut destinée aux seuls illégaux. Or, en 2019, elle a bénéficié à 330 000 allocataires. Ils étaient évalués à 150 000 sous le gouvernement Jospin.

    Les seuls mineurs isolés étrangers, baptisés administrativement MNA mineurs non accompagnés sont passés en 20 ans de 264 à 40 000. Leur coût assumé par les départements, l’État ne participant qu’à hauteur de 15 % des frais, se chiffre à "pratiquement 2 milliards d’euros"[4].

    Or, souligne élégamment le Figaro, pourtant entreprise de ménagement bien connue, "il ne suffit pas de nommer les problèmes".

    La volonté de les résoudre devrait désormais pouvoir unir les droites.

    JG Malliarakis  

    Pour retrouver le petit livre La Droite la plus suicidaire du monde publié en 1998...

    Apostilles

    [1] En grec le mot démagogue désigne celui qui cherche à conduire [ἄγειν] le peuple [δῆμος]. "C'était, écrit Bossuet, dans Athènes et dans les états populaires de la Grèce certains orateurs qui se rendaient tout-puissants sur la populace en la flattant""Dans les sociétés modernes, définit Littré, celui qui est du parti populaire contre l'aristocratie, et agit dans les luttes politiques par la presse ou par la parole." L'usage, politiquement correct, du doublon "populiste" se révèle par conséquent inutile, voire nocif. Il devrait disqualifier plutôt celui-là même qui l'emploie.

    [2] cf. rapport parlementaire des députés Jean-Noël Barrot, MoDem, et Alexandre Holroyd LREM.

    [3] Aux 935 millions officiels de la loi de finances, Claude Goasguen ajoute, à titre d'exemple, les 100 millions d'euros que coûte le service des urgences du beau département de Mayotte, devenu première maternité de France.

    [4] Evaluation de Pierre Monzani directeur général de l’ ADF, Assemblée des départements de France.

    https://www.insolent.fr/2019/09/limmigration-peut-devenir-federatrice-des-droites.html

  • Migrants accusés de viols, tortures et meurtres en Libye désormais en France

    Chronique de l’immigration-invasion :

    Damoclès@Damocles_Fr

    Un navire italien « porte secours » à des « migrants » en Méditerranée. Trois d'entre eux sont accusés de tortures, de viols et de meurtres en Libye.
    Désormais, ils séjournent en Europe.https://www.welt.de/politik/ausland/article200367042/Libysche-Lager-Migranten-wegen-Foltervorwuerfen-in-Italien-festgenommen.html 

    Libysche Lager: Migranten wegen Foltervorwürfen in Italien festgenommen  - WELT

    In einem libyschen Lager sollen drei Männer Migranten aus Nordafrika vergewaltigt und umgebracht haben. „Wer nicht bezahlt hat, wurde mit Elektroschocks gefoltert“, zitiert die Polizei ein Opfer....

    welt.de
    236 personnes parlent à ce sujet

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/migrants-accuses-de-viols-tortures-et-meurtres-en-libye-desormais-en-france/112473/

  • 46% des musulmans étrangers présents en France veulent appliquer la sharia dans le pays (sondage)

    Parmi les musulmans français de naissance, 18 % estiment que la « sharia devrait s’imposer »

    46% des musulmans étrangers présents en France veulent appliquer la sharia dans le pays, révéle un sondage effectué par l’Ifop pour le magazine Le Point dans le cadre d’une enquête sur les musulmans de France.
    Le sondage indique également que parmi les musulmans français de naissance, 18 % estiment que la « sharia devrait s’imposer ».
    Une proportion qui monte à 46% chez les musulmans de France originaire de l’étranger.
    « Cette revendication d’une suprématie de la sharia est donc d’abord portée par les nouveaux arrivants qui viennent de pays où l’empreinte de l’islam est très forte », analyse le politologue Jérôme Fourquet.
    L’enquête de l’Ifop révèle aussi que les musulmans « ne sont que 41 % à estimer que la pratique de l’islam doit être adaptée et aménagée pour se conformer à la laïcité à la française ».
    À l’inverse, ils sont 37 % à considérer « que c’est au contraire la laïcité française qui doit s’adapter », poursuit le politologue.
    Éric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes, a réagi au sondage sur les réseaux sociaux ici.

    Emmanuel Macron avait attaqué « l’islam politique » qui voudrait « faire sécession » avec la République, et a promis de « réaffirmer » la loi de 1905 sur la laïcité.

    Gaia - Dreuz via http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/46-des-musulmans-etrangers-presents-en.html

  • Quand Macron parle d’immigration, on rigole !

    macron immigration.jpeg

    Le billet de Patrick Parment

    Voici de nouveau le thème de l’immigration sur la sellette. Et c’est Emmanuel Macron qui monte en première ligne. Une ligne évidemment politique. Deux approches s’additionnent en matière d’immigration et dont seul Jean-Marie Le Pen a su faire la synthèse : le politique et le culturel.

    La première est politique qui consiste à dénoncer le phénomène pour mieux l’enterrer. C’est cette calamité que fut Jacques Chirac qui a bien résumé la situation en refusant tout référendum sur le sujet, au motif, disait-il, et avec raison, « qu’on connaît la réponse ». Et pour cause, la majorité des Français y sont opposés et surtout n’en peuvent plus à l’heure où les migrants font la Une des « faits divers » pour des actes allant du simple vol à l’assassinat le plus froid. Raison pour laquelle Marine Le Pen a réitéré sa proposition de référendum.

    Côté Macron, c’est une posture purement politique. Dans un paysage politique dévasté, avec un Mélenchon à la dérive, des Républicains sans idées et donc sans avenir, Marine Le Pen est, de facto, l’unique adversaire du Président. Nécessité pour lui, donc, d’aller sur son terrain afin de le déminer. Nicolas Sarkozy avait, en 2012, réussi à siphonner une partie de l’électorat frontiste. Malheureusement, comme on devait le constater par la suite, Sarkozy s’est révélé n’être qu’une grande gueule, incapable de passer à l’acte. Quant à Marine Le Pen elle a rapidement montré ses limites face à Macron.

    Il n’empêche, l’élection de 2022 n’est pas jouée pour autant si l’on s’en tient aux embûches que connaît ce Président inféodé au système libéral : crise sociétale des Gilets jaunes, opposition marquée des syndicats à la réforme des retraites, crise de notre système de santé, malaise dans la police, justice débordée, sans parler d’une délinquance exponentielle que vivent très mal les Français et dont les migrants sont l’un des vecteurs majeurs. Et jusqu’à preuve du contraire la population des « gilets jaunes », autrement dit gauloise, est encore majoritaire dans ce pays. Ses réactions sont imprévisibles par les temps qui courent.

    Valérie Pécresse, la présidente de la région Ile-de-France, qui sort pour une fois de son rôle de Bécassine francilienne a pointé du doigt les principales pommes de discorde (AME, regroupement familial, aides sociales, etc.)* Il y a fort à parier qu’Emmanuel Macron ne sera pas plus efficace que ses prédécesseurs. Il faudrait pour se faire s’en donner les moyens et inaugurer une politique répressive d’un côté, culturelle de l’autre. Mais Macron s’imagine qu’il peut mordre sur l’électorat frontiste et se faire réélire « finger in the nose ».

    L’autre versant du problème migratoire est culturel. Nous avons souvent évoqué ici ce sujet. L’immigration, c’est d’abord une souffrance pour tout migrant qui sort de son environnement culturel traditionnel, qui conditionne son imaginaire, pour se retrouver soudain dans un monde dont il ne connaît pas les codes. C’est pour ignorer cet aspect essentiel que la gauche et sa cohorte de bobos sont des criminels.

    Si la plupart émigrent pour des raisons économiques, l’immense majorité d’entre eux ira grossir les rangs d’un lumpenprolétariat dont se gave le système libéral et les jouisseurs du CAC 40. Les autres seront condamnés à une clandestinité qui les mènera tout droit aux divers trafics qui vont nourrir les chiffres de la délinquance. Par ailleurs, le laxisme et surtout la veulerie de la classe politique à baisser son froc face à l’islam a eu pour conséquences l’implantation de mosquées et de zones de non droit. Par ailleurs, la prégnance des juges droit de lhommiste qui désavouent trop souvent l’action des policiers, participe de ce climat délétère. Seuls quelques pays de l’Est, comme le groupe de Visegrad, ont pris conscience de cette dimension culturelle en affirmant d’abord leur identité. Paradoxalement le communisme les a protégé du déclin dans lequel s’enfoncent les démocraties d’Europe de l’Ouest qui virent de plus en plus à la ploutocratie.

    On voit mal comment super Macron pourrait apporter des solutions, autres que musclées, à cette gangrène qui nous tue plus sûrement que le climat.

    (*) Interview de Valérie Pecresse 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Hongrie – Peter Szijjarto sur les quotas de redistribution des migrants: « Nous rejetons! »

    P-ter-Szijjrt-5.jpg

    Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a déclaré que la Hongrie continuerait à défendre ses frontières au milieu de nouvelles tentatives de l’Union européenne d’imposer des quotas de redistribution de migrants obligatoires, sur ses Etats membres.

    « Nous ne céderons pas au chantage des ONG, que ce soit Soros, les gouvernements occidentaux (européens) ou à Bruxelles, » Szíjjártó a déclaré lors d’ une interview accordée à Die Welt .

    « Nous ne mettre en pas œuvre le quota de règlement obligatoire et nous continuerons à nous y opposer comme nous l’avons fait jusqu’à présent. »

    Dans la même interview, le ministre Szíjjártó a dit qu’il serait inutile de parler d’une position européenne commune, tant que les frontières extérieures de l’Union européenne ne sont pas correctement surveillées, rapporte le média About Hungary.

    Szíjjártó a également dit que le problème de la migration ne peut être résolu que par les Etats membres individuels, et non par le renforcement de l’agence de protection des frontières de l’Union européenne, Frontex, qui  « fonctionne comme une agence de Voyage ».

    https://www.alterinfo.ch/2019/09/20/hongrie-peter-szijjarto-sur-les-quotas-de-redistribution-des-migrants-nous-rejetons/