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immigration - Page 630

  • Italie, les Italiens ont toujours confiance en Salvini

    Malgré, ou grâce à son éviction de l’exécutif italien, Matteo Salvini peut se vanter de recueillir un taux élevé de confiance de la part des Italiens.

    Un sondage révèle que l’ex-ministre de l’Intérieur a de son côté 40 % des électeurs, bien devant certains dirigeants actuels de l’Italie, et anciens collègues de gouvernement. Tel le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Luigi Di Maio qui n’aurait que 28 % d’Italiens qui lui font confiance.

    Le sondage présenté par Agora affirme en outre que si on votait aujourd’hui la Ligue de Salvini deviendrait le premier parti (33,1%) devant le Parti Démocrate (20,2%) et l’ancien allié M5S (18,5%).

    Quand à l’actuel exécutif 48 % des Italiens n’ont pas confiance en lui, seulement 29 % ont beaucoup ou quelque peu confiance en lui. 54 % des sondés pensent que le nouveau gouvernement ne réussira pas à obtenir une nouvelle redistribution des « migrants ».

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/italie-les-italiens-ont-toujours-confiance-en-salvini/112432/

  • En Flandre, les 2 partis anti-islam et anti-Ue reçoivent près de 50% des intentions de vote

    En Flandre, les 2 partis anti-islam et anti-Ue  reçoivent près de 50% des intentions de vote !

    Marine Le Pen soutient Tom Van Grieken, Vlaams Belang 

    (...)

    Je me réjouis des derniers sondages effectués en Flandre. Les deux partis très proches de nos convictions sont en tête pour près de 50% des intentions de vote. En effet, le Vlaams Belang et la N-VA ont les couilles visant à entretenir le patrimoine légué par leurs ancêtres : l’une des régions les plus prospères au monde !

    Entre-temps, la Wallonie vient de se doter d’un gouvernement dit « Coalition arc-en-ciel » : PS + MR + Ecolo. De plus, la Wallonie aime la Macronie : Macron est un chic type (au sens vestimentaire) et son équipe, « des gens sérieux, ça se voit qu’ils sont pros » (entendu au bistro).

    Une réalité contextuelle n’est pas l’autre : autant la Pologne peut se permettre des expériences libérales-conservatrices (élections parlementaires CRUCIALES le 13 octobre), autant l’ouest de l’Europe se doit de pirouetter vers la droite et même son extrême.

    Lire la suite sur Résistance Républicaine

     

  • Scandale : l’Autriche refuse des aides au logement aux immigrés qui ne parlent pas allemand !

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    Voilà qui va encore alimenter le débat sur l’immigration. En Autriche, certains habitants d’origine immigrée se sont vu refuser une aide au logement parce qu’ils ne maîtrisaient pas bien la langue allemande. Cette mesure, instaurée en 2018 par la coalition entre la droite (ÖVP) et la droite nationaliste (FPÖ), ne s’applique actuellement que dans le Land de Haute-Autriche, mais pourrait être généralisée d’ici 2020. Les organisations humanitaires crient au scandale.

    Selon la presse, 3.000 immigrés pourraient être concernés. L’association Migrare aurait aidé une dizaine d’entre eux à porter l’affaire en justice. Le Figaro cite l’exemple d’un père de famille d’origine turque qui a obtenu gain de cause en expliquant qu’il lui était impossible de suivre des cours à cause de ses horaires de travail décalés. La Croix donne le témoignage d’une ancienne femme de ménage d’origine serbe, reconnue invalide : « J’ai travaillé dur, j’ai nettoyé partout », constate-t-elle avec amertume, se plaignant que son revenu ait été amputé de près de 150 euros d’allocation logement. Elle a décidé de porter plainte pour discrimination fondée sur l’origine ethnique et le handicap.

    Ce n’est sans doute pas un hasard si cette information sort dans les médias huit jours avant les élections anticipées du 29 septembre, où les conservateurs sont donnés largement en tête et pourraient reconduire leur alliance avec les nationalistes. On peut trouver cette mesure injuste, surtout pour les travailleurs légaux qui sont installés en Autriche depuis plusieurs années. La région de Haute-Autriche réfléchirait, d’ailleurs, à des exemptions. Mais si l’on pense à la situation française, cette affaire pose la question de l’attrait que peuvent représenter, pour les immigrés, les diverses allocations auxquelles ils ont droit.

    Selon Le Monde du 9 mars 2019, les demandeurs d’asile peuvent bénéficier d’une allocation de demandeur d’asile (ADA), d’un montant de 207 euros, pendant toute la durée du traitement de leur dossier. Les étrangers réguliers peuvent, à partir de 25 ans, prétendre au revenu de solidarité active (RSA), d’un montant mensuel de 551 euros, après cinq ans de détention d’un titre de séjour. Les clandestins ont droit à la prise en charge gratuite des principaux soins médicaux au titre de l’AME. Les demandeurs d’asile bénéficient de la protection universelle maladie (PUMA), qui s’est substituée à la CMU.

    Il faut savoir aussi qu’en matière de logement, les clandestins peuvent théoriquement bénéficier d’un hébergement d’urgence, tandis que les demandeurs d’asile, à défaut d’être logés, touchent une allocation de 225 euros par mois. Enfin, si les clandestins ne perçoivent aucune prestation spécifique à la taille de leur famille, les demandeurs d’asile touchent, en plus de l’ADA, une allocation mensuelle d’environ 100 euros par personne supplémentaire dans leur foyer. Et que dire des « mineurs non accompagnés » qui se multiplient, dont la protection aurait coûté 2 milliards d’euros en 2018 ?

    Il ne s’agit pas de juger si toutes ces prestations sociales sont ou non justifiées. Mais il paraît évident qu’elles peuvent attirer un certain nombre de migrants économiques, qui y trouvent des revenus plus importants que dans leur pays. Faut-il s’étonner si les Français sont de plus en plus nombreux à penser que l’État en fait beaucoup pour les migrants et peu pour leurs compatriotes qui sont le plus dans le besoin ? Finalement, l’Autriche n’a peut-être pas tort d’exiger la maîtrise de l’allemand. Elle cherche, ainsi, à dissuader ceux qui n’ont pas la volonté de s’intégrer. C’est, en tout cas, plus efficace que de verser sans discernement des allocations.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/scandale-lautriche-refuse-des-aides-au-logement-aux-immigres-qui-ne-parlent-pas-allemand/

  • Changement de ton présidentiel sur l'Immigration ? : Macron va-t-il vraiment "faire quelque chose" ou seulement "faire semblant" ?

    Les chaînes de radio/télé nous le ressassent presque en boucle depuis plusieurs jours : vous allez voir ce que vous allez voir, le Président a changé, du moins son discours; il a compris qu'il fallait faire quelque chose sur l'Immigration, qu'il fallait répondre aux inquiétudes des gens etc... etc...On pourra nous reprocher ce qu'on voudra, mais nous, à lafautearousseau, ce n'est pas hier ou avant-hier que nous avons découvert, pour parler clair, qu'avec l'immigration, il y avait un problème.

    Et même, beaucoup plus qu'un simple problème...

    Notre page facebook a bien été "bloquée" vingt fois (au moins, et pour une semaine à chaque fois) à la suite de notes, pourtant ni outrancières ni même contestables, mais qui disaient toutes que la politique menée depuis les décrets Chirac de 1976 était folle; que l'irruption ininterrompue depuis plus de quarante ans d'un flot très majoritairement issue de l'Afrique noire et du Maghreb aboutissait à concentrer dans des banlieues devenant de plus en plus des "zones de non-droit" (doux euphémisme !) des populations désireuses de conserver leurs différences, au lieu de s'intégrer; ce qui créait toutes sortes de tensions (aussi bien économiques que culturelles, religieuses, démographiques... ) partout en France...

    Donc, pour nous, parler de l'immigration, découvrir "le problème de l'immigration", c'est bien loin d'être du nouveau... : "Ca finira mal !" disait le perroquet du conte de Jacques Bainville. Gérard Collomb, ne disait pas autre chose, en fait, lorsqu'il quittait - désabusé - son Ministère de l'Intérieur : "Aujourd'hui on vit côte à côte... Je crains que demain on vive face à face"

    Voilà donc que Macron (enfin ! enfin ?...) a découvert l'eau tiède !

    Et qu'il s'est mis à "virer à droite" (dixit BFM ) : il n'a quand même pas appelé à voter Le Pen, mais si l'on écoute les chaînes de radio/télé susnommées il va être énergique, avancer des propositions, dire et faire du concret...

    Façon de reconnaître - soit dit en passant - que, jusque là, il ne l'avait pas fait : les journalistes n'ont, semble-t-il, pas mesuré la portée de leur propos ! Mais passons... et revenons à l'essentiel.

    Mais, à bien y regarder, à bien lire et relire ses propos, que trouve-t-on ? Certes, une reconnaissance bienvenue du fait qu'il y a un problème avec l'immigration et que, donc, il faut en parler, sous peine d'être "un parti bourgeois". Et puis... eh, bien ! c'est à peu près tout...

    Au fond, au lieu d'aller au fond des choses, le Président s'est surtout centré sur l'AME... pour dire ce que l'on s'attendait à entendre, vu que...

    En réalité, Le Monde en avait parlé dès le jeudi 1er août (et nous nous en sommes fait l'écho ici-même) : le gouvernement a commandé à deux services étatiques un rapport sur l'aide médicale d'État (un milliard d'euros versé chaque année pour soigner les migrants illégaux, soit 300.000 étrangers : un comble, qui revient à favoriser ceux qui se mettent hors-la-loi et qui envoie un curieux message à tous : plutôt que de respecter la loi, les lois, bravez-les, vous ne serez pas perdants...).

    Ces deux services sont l’inspection générale des finances (IGF) et l’inspection générale des affaires sociales (IGAS); les conclusions de ces travaux, débutés cet été, devaient être rendues en octobre, soit au moment de l’examen parlementaire du budget de l’État : nous y sommes. Et voilà pourquoi Macron parle de l'immigration...

    L'une des personnes auditionnées a déclaré : "Ils répondent à une commande politique, qui est de réformer l’AME pour en limiter les abus... Ils estiment que la France a le système le plus généreux en Europe. Ils posent des questions sur les filières d’immigration et nous ont parlé des Géorgiens, des Albanais et des Algériens qui viennent se soigner, notamment pour des pathologies coûteuses comme le cancer et l’hépatite B."

    Une autre de ces personnes auditionnées a déclaré : "J’étais étonné de constater à quel point le discours des inspecteurs était politique. Ils veulent rendre le dispositif plus acceptable pour éviter que le Rassemblement national ne s’empare du sujet."
     
    Parmi les pistes envisagées, écrivait déjà Le Monde, en août, "la mise en place d’un ticket modérateur (un reste à charge pour le patient, ndlr), des centres de santé dédiés ou encore la réduction du panier de soins pris en charge". La dernière mesure pourrait inclure, par exemple, l'exclusion des soins psychiatriques de l'AME.
     
    Pour nous, tout ceci n'est que poudre aux yeux : c'est l'AME elle-même, dans son principe, qu'il faut supprimer, et il faut renvoyer immédiatement tout clandestin vers son pays d'origine. Mieux, il faut les empêcher de venir chez nous, en décrétant qu'une demande d'asile se fait dans le pays d'origine, EXCLUSIVEMENT
     
    Voilà une mesure qui ne coûterait rien, qui serait d'une application très aisée et qui réduirait considérablement le flot de réfugiés purement économiques, qui ne viennent en France que pour toucher des allocations. 
     
    Quand "le tam-tam de Jonathan" - pour reprendre le titre du livre de Jean Raspail - avertira les candidats au départ en Afrique ou ailleurs que "en France, c'est fini", la pression migratoire diminuera forcément, chez nous...
     
    Et cela sera bien plus efficace que les paroles, manoeuvres et gesticulations de Macron : quoi qu'il dise et fasse, maintenant, c'est trop peu, trop tard...
    Et en fait de "durcir le ton", le Président, en ne parlant quasiment que de l'AME, et pas de l'Immigration "au fond", on peut dire, en parodiant le titre d'un roman célèbre :"A la tête de l'Etat, rien de nouveau..."
  • Immigration : Macron n’est pas crédible, par Ivan Rioufol

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    Miracle ! Emmanuel Macron a recouvré la vue ! Il a dit, lundi devant les élus de La République en Marche !, parlant d’immigration : “Nous n’avons pas le droit de ne pas regarder ce sujet en face“. Le chef de l’Etat laisse comprendre qu’il entend désormais venir sur le terrain de Marine le Pen, dans un manichéisme qu’il a déjà construit : à elle “le repli” ; à lui “une solution ouverte mais pas naïve”. S’il fallait démontrer l’absence de doctrine du macronisme, ce revirement en serait une illustration. Au prétexte de suivre l’air du temps, voici Narcisse qui ferraille un jour contre les populistes, se fait leader de la planète le lendemain, épouse la cause écologiste le jeudi et finit sa semaine en se découvrant attentif aux détresses des “classes populaires”, laissées en première ligne face à la diversité bénie. C’est sous sa présidence que l’immigration a explosé : en 2018, le pays a reçu 122.000 demandeurs d’asile et a délivré 255 .000 titre de séjour.

    Ce mercredi, Macron rencontre le nouveau gouvernement italien, qui s’est débarrassé de Mattéo Salvini au prétexte qu’il réclamait la consultation du peuple. Sous sa politique, l’arrivée des clandestins a chuté de 80% en Italie. Mais Macron exècre cet antimondialiste qui dit que l’immigration non désirée pose un problème. En revanche, le président avait soutenu Angela Merkel quand, en 2015, elle avait unilatéralement ouvert l’Allemagne à plus d’un million de clandestins venus du Moyen- Orient.

    Mais, après tout, Macron aurait bien le droit de changer d’avis. Cependant, il se garde de reconnaître ses erreurs d’analyse sur l’immigration vue comme une “chance”, et sur la ringardise des nations souveraines. Son combat contre les populistes s’en prend à ceux qui se confrontent aux réalités et tentent d’y apporter des remèdes pragmatiques. En réalité, Macron reste un immigrationniste. Son progressisme, construit sur la protection des nouvelles minorités ethniques ou sexuelles, l’empêche de remettre en cause le modèle multiculturel qui effrite la cohésion nationale. Il se dit que le président aurait dans l’idée de réduire l’assiette de l’Aide médicale d’Etat (AME) et d’être plus vigilant sur le droit d’asile, détourné à des fins économiques.

    Très bien. Mais l’immigration ne se résume pas à ces cas annexes. Si elle est vue comme un problème par les Français, c’est parce qu’elle s’accompagne d’un refus d’adhésion à la culture d’accueil. 66% des sondés estiment que les immigrés ne font pas d’efforts pour s’intégrer en France (Le Monde, mardi). Or Macron se garde d’aborder ce terrain, qui nécessiterait de réduire les facilités d’accession à la nationalité et de combattre l’idéologie islamiste qui pousse à la sécession des cités musulmanes. En fait, le cynisme de Macron montre un homme prêt à tout pour sa survie politique face à la droite. Mais son insincérité devient débordante. Il n’est pas crédible.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 18 septembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/215552/immigration-macron-nest-pas-credible-par-ivan-rioufol/

  • Selon une enquête IFOP, le communautarisme musulman progresse en France

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    La bien-pensance répète que les musulmans sont des Français comme les autres. C’est vrai pour une partie d’entre eux. Mais les autres ? Dans un entretien au Point, Jérôme Fourquet, l’auteur de L’Archipel français, tire les enseignements d’une enquête IFOP sur les musulmans en France.

    On y apprend que, parmi les musulmans français de naissance, « seuls 18 % estiment que la charia devrait s’imposer ». Proportion qui monte à 26 % chez ceux qui ont acquis la nationalité française et à 46 % chez les musulmans venant de l’étranger. Ces chiffres sont parlants. Selon le politologue, « cette revendication d’une suprématie de la charia est donc d’abord portée par les nouveaux arrivants qui viennent de pays où l’empreinte de l’islam est très forte ». Autrement dit, même s’il ne prononce pas le mot, la montée de l’islamisme est bien liée à l’immigration et une forte minorité, depuis longtemps sur le sol français, est acquise à ses principes.

    On apprend également qu’« un petit tiers de femmes d’origine ou de confession musulmane disent porter le voile » aujourd’hui. Elles étaient 24 % en 2003. Jérôme Fourquet précise que 19 % portent toujours ce vêtement. On se souvient de la polémique suscitée, en mars 2019, par Aurélien Taché, député LREM qui avait, sur France 5comparé le port du voile islamique à celui d’un serre-tête par une jeune fille catholique. Contraint de présenter ses excuses pour ce rapprochement incongru, il n’en continue pas moins de défendre l’idée d’une laïcité « inclusive ». Que veut-il signifier par cette épithète ?

    Lors de sa conférence de presse à l’Élysée, en avril 2019, Emmanuel Macron, tout en mentionnant l’existence d’un « islam politique, qui veut faire sécession avec notre République », utilisa le même adjectif en prônant un patriotisme ouvert et « inclusif ». Autant dire que la laïcité doit savoir s’adapter à la culture islamique. C’est, précisément, ce qui ressort de cette enquête IFOP. Les musulmans « ne sont que 41 % à estimer que la pratique de l’islam doit être adaptée et aménagée pour se conformer à la laïcité à la française », mais ils sont 37 % à juger que « c’est au contraire la laïcité française qui doit s’adapter » : une progression de 8 points par rapport à 2011 !

    Libre à chacun de penser que cette progression objective des valeurs musulmanes est naturelle, qu’elle n’est qu’une manifestation d’un multiculturalisme souhaitable et ne représente aucun danger pour l’unité de notre nation. Mais cette enquête semble donner raison à ceux qui estiment que l’islam est une religion conquérante, qui veut étendre son emprise politique sur le maximum de territoires. Le nier, c’est accepter d’avance la défaite, c’est se soumettre.

    Le devoir de nos gouvernants n’est-il pas de favoriser l’intégration de tous les Français de confession musulmane qui sont fiers d’être français, mais de s’opposer fermement à toutes les pratiques communautaristes qui détruisent progressivement la cohésion sociale ?

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/selon-une-enquete-ifop-le-communautarisme-musulman-progresse-en-france/

  • Féminicide : histoire d’une mascarade – Journal du vendredi 20 septembre 2019

    Féminicide : histoire d’une mascarade

    Entre culture de l’émotion et surenchère, le “féminicide” envahi l’espace public. Loin de protéger les femmes, cette nouvelle marotte médiatico-politique met une nouvelle fois en exergue les contradictions féministes.

    La Vapoteuse dans le collimateur

    La cigarette électronique est-elle dangereuse pour la santé? L’état de New-York et l’Inde ont interdit sa commercialisation à des fins sanitaires.

    Nigéria : un autre drame de l’immigration

    Chaque année des centaines de milliers d’Africains tentent de rejoindre l’Europe. Parmi eux, de nombreux nigérians qui restent à quai en Libye dans des conditions déplorables. Les plus chanceux rentrent chez eux, mais sont ruinés et parfois même brisés.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/feminicide-histoire-dune-mascarade-journal-du-vendredi-20-septembre-2019

  • Débat sur l’immigration : échange tendu entre Jordan Bardella (RN) et les autres invités sur le plateau de la nouvelle émission de France 2 (Vidéo)

    Lors d’un débat sur l’immigration dans l’émission Vous avez la parole, jeudi 19 septembre, l’eurodéputé Jordan Bardella (RN) débat de l’immigration dans un échange houleux avec les autres invités.

    https://www.tvlibertes.com/actus/

  • Immigration : Macron daigne s'intéresser aux classes populaires…, par Christian Vanneste

    853142317.jpgL’immigration ! Il en a parlé ! Quel courage ! Macron enfourche son nouveau vélo tout neuf pour la seconde partie du quinquennat, celle qui permettra sa réélection face au candidat du Rassemblement National, puisque les Républicains sont dans les choux, et il parle de l’immigration ! Alors, on hésite entre le regret de le voir céder à la lepenénisation des esprits, comme le fait l’aile gauche de Lrem avec Sonia Krimi,  et l’admiration pour une prise de conscience tardive mais lucide qui ne peut que séduire un électorat conservateur déjà tenté pour le macronisme aux municipales.

    En fait, le regret est superflu car Macron en parle, mais il va demeurer sur la ligne qui est la sienne : dans la mondialisation inéluctable, l’expansion démographique africaine exercera une pression sur le continent européen, et sur le plan économique, ce sera une bonne affaire en raison de l’afflux de main d’oeuvre et de la tendance à la stagnation des salaires que cela entraîne. Quant à l’admiration pour l’éclair de clairvoyance, elle ressemble à la joie des croyants entendant un athée citer le nom de Dieu, sans rien changer à son comportement ni à ses convictions profondes. Simplement, à partir du moment où on considère la politique comme un marché, il faut éviter de se contenter d’une clientèle, par définition minoritaire. Macron a conscience d’être le candidat de la bourgeoisie urbaine plus progressiste aujourd’hui qu’hier, qui réclame de la compétence économique, même illusoire, et exige le confort écologique, mais il se dit avec raison qu’une élection présidentielle avec deux candidats en lice au second tour laissera un jour toutes ses chances à celui des « périphériques », lorsque le Front dit « républicain » aura cessé d’agiter les fantômes des heures sombres dont pas un électeur ne se souvient. Il faut donc penser aux classes populaires, celles qui sont rétives à l’immigration parce qu’elles en subissent les conséquences, notamment en termes d’insécurité, alors que les beaux quartiers les ignorent. Ne soyons pas seulement le parti des élites intelligentes, tournons-nous vers les pauvres en esprit, ceux qui écoutent volontiers les sirènes populistes parce qu’ils vivent au quotidien les difficultés que nos électeurs actuels ignorent. Soyons charitables pensons à eux, au moins le temps d’être réélus.

    Autrement dit M. Macron pratique l’aumône verbale dans un discours de dame patronnesse. Un peu comme Sarkozy faisant son ouverture à gauche avec le succès que l’on sait. La même démarche, mais en sens inverse pour mettre en avant la lutte pour la sécurité publique et contre l’immigration illégale à travers la fraude au droit d’asile alors que la violence s’accroît partout tandis qu’elle règne déjà dans de nombreux quartiers perdus de la République. Comment croire un seul instant à cette fable alors que sur le plan européen, le Président français est l’allié de ceux qui ouvrent leurs frontières aux débarquements d’illégaux, en Espagne, depuis le retour des socialistes pouvoir et maintenant en Italie, après le changement de coalition parlementaire qui a mis momentanément Salvini dans l’opposition. Cocteau disait qu’en amour, il n’y avait que des preuves d’amour. C’est pareil en politique : les mots ne suffisent pas.

    L’immigration illégale doit être stoppée en amont, par le rétablissement d’un Etat maître de l’ensemble du territoire en Libye comme en Syrie, par le traitement des demandes d’asile dans nos ambassades et nos consulats. Une fois parvenus en France, les demandeurs, pour la plupart, ne repartiront pas, et seront aidés pour rester. Mais c’est l’immigration légale qui doit être endiguée, notamment celle qui est le fruit du regroupement familial. On imagine mal un thuriféraire de l’Europe remettre en cause ce principe suicidaire qui encourage l’incrustation de communautés imperméables culturellement. De même, on ne pense pas que le président issu d’un courant mondialiste du PS, celui d’Attali et consorts, mondialistes avant tout, et contempteurs des vieilles nations et de leur identité, remette en cause le droit du sol, c’est-à-dire la fabrication de Français de papier, non pas seulement indifférents au sort du pays où ils sont installés, mais parfois même hostiles. Pas davantage on ne doit espérer de déchéance de la nationalité pour ceux qui peuplent les prisons alors que leur casier montre amplement que leur « nationalité » française ne les a jamais conduits à obéir aux lois de la République.

    Allons plus loin : le Président veut écouter les Français qui ne vivent pas comme ses électeurs dans les beaux quartiers ? Qu’il leur donne la parole à travers un référendum sur l’immigration et qu’il mette en oeuvre le choix de la majorité des Français. Ce serait nouveau, et à voir l’acharnement des amis de M. Macron pour empêcher les Britanniques de voir leur choix se réaliser, on a déjà une idée de la réponse.  » Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. Cette leçon vaut un second quinquennat, sans doute… »

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/09/18/immigration-macron-daigne-s-interesser-aux-classes-populaire-6176785.html

  • Camp de migrants de Grande Synthe : Paris déverse ses clandestins afro-musulmans dans le Pays Rennais !

    NEVEZINTIOU (18/09/2019) Si l’opinion bretonne avait besoin d’une preuve supplémentaire pour réaliser que Paris veut faire de la Bretagne une décharge du tiers-monde, la voici.

    Ouest-France (source) :
    Etrelles, près de Vitré, en Ille-et-Vilaine, accueille 25 migrants, évacués d’un campement dans le Nord de la France, au sein de l’ancien lycée agricole.
    Le bâtiment était inoccupé. Ils resteront sur place quinze jours.
    Vingt-cinq migrants, évacués ce mardi 17 septembre d’un campement de Grande-Synthe, à proximité de Dunkerque (Nord), sont arrivés cet après-midi à Étrelles, près de Vitré, nous a indiqué la préfecture.
    « Ils sont très fatigués par le voyage. À l’heure où nous parlons, leur état de santé a été contrôlé et tous se portent bien », explique Didier Doré, le sous-préfet de l’arrondissement de Fougères-Vitré.
    « L’objectif est de pouvoir les réorienter en fonction de leur statut. Certains sont demandeurs d’asile, d’autres sont des primo-arrivants, ajoute le sous-préfet. Tout le monde travaille à ce que ces personnes soient en sécurité et en bonne santé. »
    Six préfectures de région, dont la Bretagne, ont été mobilisées pour accueillir 600 personnes (100 par région) issues de ce campement.
    « Dans ce cadre, l’Ille-et-Vilaine accueille vingt-cinq personnes au maximum pour une durée de quinze jours. Elles seront hébergées au sein de l’ancien lycée agricole, situé à Étrelles, propriété du groupe Antoine de Saint-Exupéry qui a accepté de mettre ses locaux à disposition, gracieusement », indiquent les services de l’État.
    Ils ajoutent également que « l’arrondissement de Fougères-Vitré a été choisi pour sa proximité avec Rennes, où sont situés les services préfectoraux en charge du séjour, de l’asile et de l’éloignement ».
    La disponibilité immédiate d’un bâtiment a ensuite conduit à choisir la commune d’Étrelles.
    La maire, Marie-Christine Morice, en a été informée hier.
    « L’encadrement sera assuré par Coallia, opérateur désigné par la préfecture pour gérer le site. Cette association nationale d’aide et d’accompagnement social, sous convention avec le ministère de l’Intérieur, gère notamment des centres d’accueil de demandeurs d’asile partout en France », poursuit la préfecture.
     « Une présence jour et nuit sera effectuée par des agents de sécurité afin de veiller à ce que ces personnes n’aient besoin de rien durant ces quinze jours », conclut le sous-préfet.
    La machine à repeupler la Bretagne par la natalité débordante de l’Afrique mahométane tourne à fond : ce sont les préfectures, bras armé de la République, qui applique cette politique d’anéantissement progressive.

    Le plan est connu, les effets visibles, l’évolution claire pour ceux qui ne se voilent pas – encore – la face.
    breizatao