insécurité - Page 242
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Info : Oliv Oliv a pris une grenade dans la tête lors des manifestations du 1er mai
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1er Mai : le pouvoir profite de la violence des antifas
Bernard Germain
Lundi avaient lieu de multiples manifestations, à travers toute la France, contre la réforme des retraites de Macron. Comme d’habitude, les cortèges de manifestants furent calmes et sans incident. À l’exception de quelques accrochages avec les antifas, regroupés en blackblocks, qui entendaient pouvoir rentrer dans les cortèges syndicaux afin de se cacher après avoir agressé les policiers. Pas de chance pour eux, les services d’ordre des syndicats ne l’entendaient pas de cette oreille et les antifas ont vite compris qu’ils n’étaient pas les bienvenus.
On assista donc à cette situation incroyable : un « pré-cortège » comme disent les journalistes, constitué d’énergumènes ultra-violents qui cassaient tout sur leur passage, mettaient le feux à tout ce qu’ils pouvaient et attaquaient à intervalles réguliers les policiers.
Et pour ces gens-là, il n’y a pas de limite. Ils sont là pour casser et… tuer !
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Un procureur sur les casseurs d’extrême gauche : “Impossible de vérifier leur identité dans les délais. Ces procédures mobilisent toute la chaîne judiciaire et engendrent des dégâts collatéraux énormes : des pans entiers de la délinquance sont impactés”
L’État éprouve des difficultés à judiciariser ses renseignements. Mettre un visage et un nom sur une personne appartenant à un groupe est une chose. Démontrer, pénalement, que cette personne a personnellement commis une infraction en est une autre. Sur le terrain, le problème n°1, c’est l’identification. La plupart des infractions sont commises à l’abri des regards, derrière des parapluies ou des bâches spécialement déployées. Elle rend impossible la capacité de dire avec certitude qui a fait quoi. Sans cela, toute procédure judiciaire est vouée à l’échec. C’est la loi.
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Meurtre de Rose : politiques et juges doivent être tenus pour responsables
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Pont-l’Évêque (60) : lors d’un mariage dans une salle des fêtes, un Algérien ivre en situation irrégulière tranche la jugulaire de la mariée et blesse des invités ; connaissance d’un des proches, il est en France « pour suivre une formation »
Le suspect n’a pas été jugé aujourd’hui. L’homme de 22 ans a pourtant comparu ce jeudi 27 avril 2023 devant le tribunal judiciaire de Compiègne dans l’Oise, pour des faits de « violences aggravées », après l’incident survenu le samedi 22 avril dernier lors d’une soirée de noce de mariage à Pont-l’Evêque près de Noyon.
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Far West à Marseille : mais que fait la police ?
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Fillette de 5 ans tuée dans les Vosges : chronique de Charlotte d’Ornellas explique comment un dangereux déséquilibré a pu être laissé libre (MàJ : une “marche rose” organisée)
Après le choc, le recueillement. Une marche “rose” en mémoire de la petite fille du même nom, âgée de 5 ans, retrouvée morte mardi dans un appartement, est prévue samedi à Rambervillers, dans les Vosges, où elle vivait avec sa famille.
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Calais (62) : moins d’une semaine après une bagarre comportant des migrants, une « petite rixe interethnique » éclate sur un quai ; deux migrants soignés à l’hôpital, aucune interpellation
Plusieurs véhicules de police et une ambulance. Voici le dispositif engagé par les secours, ce jeudi vers 18 h, quai de la Tamise, à la suite d’une alerte pour une altercation avec blessés.
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Vaux-le-Pénil (77) : armé de ciseaux, le Guinéen en situation irrégulière crie “Allah” et brandit le Coran tout en se dirigeant vers la BAC, qui finit par le maîtriser au taser
Branle-bas de combat, au centre d’hébergement d’urgence Le Germenoy, à Vaux-le-Pénil, en Seine-et-Marne !
Le lundi 24 avril, vers 19 h 20, un résident de cet hôtel social de la rue Raymond-Hervillard, qui accueille des gens en situation de précarité, s’est armé de ciseaux et a proféré des menaces de violences envers un pensionnaire de 74 ans.
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Vaux-le-Pénil (77) : armé de ciseaux, le Guinéen en situation irrégulière crie “Allah” et brandit le Coran tout en se dirigeant vers la BAC, qui finit par le maîtriser au taser
Branle-bas de combat, au centre d’hébergement d’urgence Le Germenoy, à Vaux-le-Pénil, en Seine-et-Marne !
Le lundi 24 avril, vers 19 h 20, un résident de cet hôtel social de la rue Raymond-Hervillard, qui accueille des gens en situation de précarité, s’est armé de ciseaux et a proféré des menaces de violences envers un pensionnaire de 74 ans.