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“Le contexte était celui d’une soirée alcoolisée entre membres de la communauté tunisienne, au cours de laquelle une altercation a opposé la victime à un jeune homme, qui a appelé ses deux frères arrivés rapidement sur les lieux“, selon le parquet.
Gérard Corneloup est décédé, annonce le quotidien lyonnais Le Progrès, ce 27 juillet. Plongée dans le coma après son agression « présumée » le 18 juillet dernier avant d’avoir pu décrire ce qui s’était passé, cette personnalité lyonnaise très appréciée n’a pas survécu à ses blessures. « À ce jour, si l’hypothèse d’une agression crapuleuse a été envisagée par les enquêteurs, dès la découverte de l’ancien journaliste, d’importantes zones d’ombre planent encore sur les circonstances dans lesquelles il a été grièvement blessé », écrit le quotidien lyonnais du 27 juillet. En l’absence de témoins directs, un appel à témoins a été lancé. La sacoche du journaliste et écrivain a été retrouvée à 400 mètres du lieu de son décès. « Est-il tombé suite à l’arrachage de sa sacoche ou a-t-il été victime d’une chute accidentelle, suivie du vol de sa sacoche par un individu qui aurait profité de la situation et se serait abstenu de lui porter secours ? », interroge le quotidien. Des expertises médico-légales devraient permettre d’éclairer les faits. « Il était si foncièrement gentil et avenant qu’il a pu laisser entrer une personne », glisse un résident de son immeuble au Progrès.
Comme chaque année depuis 2003, l’Observatoire de la sécurité des médecins livre une étude relative aux actes de violence subis par les médecins. En 2021, 1 009 déclarations d’incidents ont été remontées par des praticiens, contre 955 en 2020, soit une hausse de 5,6 %. 2021 est donc l’une des années record en terme de violence notamment engendrée par les actes enregistrés dans le département du Nord.
Le Nord Pas De Calais dans le top 15 des départements les plus touchés
Devenir le nouveau Nicolas Sarkozy ? Gérald Darmanin s’en était quasiment fait une marque de fabrique. Ludion médiatique, il entendait toujours être là où on ne l’attendait pas, persuadé qu’il était de maîtriser les réseaux sociaux mieux que personne, quitte à tweeter avant de parler, à communiquer avant de réfléchir.
À ce titre, les émeutes du Stade de France, lors de la finale de la Ligue des champions opposant Liverpool à Real Madrid, jouée ce 28 mai, demeure un assez beau cas d’école. Alors que Saint-Denis est le théâtre de véritables scènes d’émeutes urbaines, avec touristes détroussés et femmes victimes de harcèlement sexuel, quand ce n’est pas de viol, notre ravi de la crèche macroniste tweete : « Le mal à la racine à l’origine de la situation. Une fraude massive et industrielle. 30.000 à 40.000 supporters britanniques se sont présentés devant le stade, sans billet ou avec un faux billet. »
A bord du Mettis, à Metz (Moselle), un homme a agressé sexuellement une jeune fille avant de la suivre une fois descendue à un arrêt. Elle a immédiatement prévenu les contrôleurs.
Alors qu’elle voyageait en Mettis, un homme s’est installé à côté d’elle avant de « se coller à elle en lui touchant la cuisse et frottant l’épaule », relate une source policière.
Un individu s'est introduit dans une église de Saint-Germain-en-Laye (78), ce dimanche. Il s'est répandu en cris et invectives avant de s'en prendre à un paroissien, rapporte78 Actu.
« Il est entré et a jeté ses affaires dans un coin. Il y avait un sac à dos, des clés et un téléphone. Puis, il s'est mis devant l'autel. Il s'est agenouillé. Il s'est allongé. Personne ne prêtait attention à lui », rapporte un paroissien. Mais devant la bordée d'insanités proférées par l'individu, un paroissien est venu à sa rencontre pour lui demander de partir. L'homme lui aurait alors décoché un coup de tête en plein visage et lui aurait cassé deux dents.
Ce vendredi 22 juillet, la police municipale a interpellé deux cousins de 13 ans dont l’un était au volant d’une voiture dans le quartier des Cévennes.
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À l’intérieur, deux mineurs âgés de 13 ans, cousins ! Ils ont été interrogés par la police et expliqué qu’ils avaient emprunté la voiture à une copine de la mère de l’un, qui leur avait demandé de la déplacer. Le passager était rassuré car son cousin avait l’habitude de conduire dans le campement de gens du voyage où il vit.
Dans le véhicule, les policiers ont retrouvé un couteau papillon, un pied de biche et le passager était en possession d’une bombe lacrymogène et d’une tête d’herbe de cannabis et il fumait un joint. Les deux ont été remis en liberté. Ils devront répondre de ces faits devant le juge des enfants.
Avocat fiscaliste et essayiste, Thierry Bouclier a écrit des romans et des biographies sur des personnalités telles que Pierre Drieu la Rochelle, Jacques Benoist-Méchin, Alphonse de Châteaubriant, Jean-Louis Tixier-Vignancour et ADG. Son dernier livre, La Gauche ou le monopole de la violence, recense les événements de l’Histoire contemporaine qui ont permis à la gauche d’imposer son magistère moral à l’ensemble de la société, en dictant les règles et en fixant les interdits. Nous proposons ici quelques-uns des thèmes évoqués dans l’ouvrage.
Le clivage gauche-droite
Le 28 août 1789, au moment de se prononcer sur l’attribution d’un droit de veto au roi Louis XVI, les députés de l’Assemblée constituante se séparent en deux parties antagonistes situées respectivement à gauche et à droite.
Chroniqueuse dans l’Heure des Pros, Charlotte d’Ornellas sur la capacité du ministre de l’Intérieur en poste, à « prévoir » la sécurité des JO de Paris 2024.
Après le chaos du Stade de France et les mensonges dans la communication du gouvernement, l’opinion publique s’interroge sur la question sécuritaire de cet évènement planétaire. Alors qu’un sondage OpinionWay pour Le Parisien, montre que 47% des Français se déclarent « indifférents » aux JO 2024, à moins de deux ans.
Pour Charlotte d’Ornellas, ce n’est pas tant la stratégie de communication de Gérald Darmanin à remettre en cause, mais sa « capacité à prévoir » les moyens humains et matériels pour assurer la sécurité des spectateurs français et étrangers.
« Tout le monde me dit que j’ai bien fait, mais les gens ne sont pas à ma place », murmure cet agriculteur charentais. Au soir du 25 mars dernier, ce trentenaire et père de famille a ouvert le feu sur des cambrioleurs occupés à fracturer son domicile à Longré, un village de 200 habitants situé aux confins de la Charente. « Un homme a perdu la vie », résume son avocate, Me Marianne Atrous-Lemouellic, en complétant les phrases de ce taiseux de nature.