insécurité - Page 375
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QUAND OLIVIER DUHAMEL VOULAIT PRENDRE LA TÊTE DES PUF... RETOUR SUR UN PERSONNAGE RÉPUGNANT DU RÉPUGNANT "CAMP DU BIEN"
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Témoignage : « Le même jour, dix de mes amies ont annoncé avoir subi un viol ou ressenti d’avoir été abusées par un homme »
À Sciences Po Bordeaux, plusieurs centaines d’étudiantes ont témoigné, sur les réseaux sociaux, d’avoir été agressées sexuellement, au moins une fois dans leur vie. Le nombre considérable de témoignages soulève d’importantes questions sur l’état actuel des relations entre les hommes et les femmes. Témoignage d’un étudiant de Bordeaux qui a découvert, par cette vague de témoignages, qu’une dizaine de ses amies étaient concernées.
Vous êtes étudiant à Sciences Po Bordeaux, pouvez-vous nous raconter ce qu’il s’est passé, ces dernières semaines ?
Nous avons un groupe Facebook de l’université, « Étudiant.e.s Sc Po Bordeaux », de 4.000 membres qui a vocation à partager les annonces pour événements internes ou des colocations, par exemple. Le 23 janvier, une étudiante, qui souhaite rester anonyme, a publié sur ce groupe un témoignage racontant qu’elle avait été violée, avant son cursus à Sciences Po. Ce premier message a été suivi de nombreuses autres publications sur ce groupe, témoignant d’expériences traumatiques : viols, incestes, violences sexuelles ou attouchements par des élèves de Sciences Po. Des témoignages provenant majoritairement de filles. Une réponse au premier témoignage qui voulait « encourager les femmes violées à témoigner, à lever le voile sur cette réalité si banale et si peu connue ». L’effet boule de neige a entraîné la publication d’au moins deux cents témoignages allant dans ce sens, en grande majorité de filles, mais aussi d’au moins un garçon.
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Masques, respirateurs, médicaments… Le vol de matériel médical bat son plein
Appareils d’échographie, respirateurs, masques, médicaments… : depuis le début de la pandémie, les voleurs ne ménagent pas leurs efforts. Et peuvent compter sur des complicités internes dans les hôpitaux.
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De l'affaire Duhamel à la démission du directeur de Sciences Po : portrait de l’oligarchie, par Natacha Polony.
"L’oligarchie elle-même n’aura sans doute qu’à se reconstituer une figure présentable..."
© Hannah Assouline.La démission du directeur de Sciences Po, Frédéric Mion, suite aux révélations de "Marianne" ? "L’occasion de comprendre quel rôle joue l’Institut d’études politiques dans la perpétuation d’un système oligarchique dont le principal fait d’armes est l’émergence d’une défiance profonde des citoyens envers les institutions et leurs représentants", pour Natacha Polony.
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Différend entre automobilistes à Montreuil (93) : il aurait sorti un M16 et crié “Allah Akbar”
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Alexandre Langlois : « On met sous protection policière un professeur plutôt que de régler le mal à la racine »
« Brasser de l’air pour éviter de régler les problèmes avec des lois existantes » : Alexandre Langlois dénonce l’impuissance des pouvoirs publics face aux questions séparatistes, et notamment avec l’affaire du professeur de Trappes.
Le professeur de philosophie Didier Lemaire, enseignant à Trappes, fait le tour des plateaux depuis ce matin. Il a alerté l’opinion sur les menaces qui pèsent sur lui. Il est, en effet, sous protection policière. Son tort : avoir tenu des propos, soutenant Samuel Paty, en cours.
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De l’affaire Duhamel à la démission du directeur de Sciences Po : portrait de l’oligarchie
Le directeur de Sciences Po, Frédéric Mion, a donc fini par démissionner à la suite des révélations de Marianne puis de celles du Canard enchaîné sur ses mensonges dans l’affaire Duhamel. Et, tout à coup, c’est un des temples des élites politico-médiatiques qui tremble sur ses fondations. Ou plutôt sur sa Fondation, celle dont Olivier Duhamel a quitté la présidence, confiée par intérim à Louis Schweitzer, et qui se retrouve désormais privée de son administrateur. Un salutaire nettoyage des écuries d’Augias, penseront tous ceux qu’horrifie le silence pudique utilisé comme arme des puissants pour garantir l’impunité et perpétuer un pouvoir. Et l’occasion, peut-être, de comprendre quel rôle joue l’Institut d’études politiques dans la perpétuation d’un système oligarchique dont le principal fait d’arme est l’émergence d’une défiance profonde des citoyens envers les institutions et leurs représentants.
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Sur Marianne TV, Trappes : sous protection policière, un prof alerte sur une « guerre de terreur ».
Le 16 octobre dernier, Samuel Paty mourrait décapité pour avoir fait un cours sur la liberté d’expression. Aujourd’hui, d’autres professeurs poursuivent son effort. A Trappes, c’est au prix de menaces de mort qu’un professeur tâche de faire son travail.
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Ce que l’affaire Richard Berry dit de notre société…
À peine avions-nous le temps de reprendre nos esprits après le « scandale Olivier Duhamel » qu’une autre affaire surgit dans l’actualité. Cette fois-ci, c’est Coline, la fille de l’acteur Richard Berry, qui annonce porter plainte pour « inceste » contre son père. Les réseaux sociaux s’emballent, le show-biz se déchire : Josiane Balasko soutient la fille, Carla Bruni le père, l’enquête est ouverte, nous voilà donc occupés pour quelques jours… Effet Camille Kouchner ou Vanessa Springora ? Peu importe le temps qui a passé, les langues se délient, l’heure est à la vérité. Pour le meilleur ou pour le pire. Ces deux dernières affaires quasi simultanées nous en apprennent, en tout cas, beaucoup sur l’état de notre société.
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Grand déballage (viols, incestes), suite
Le président du Centre national du cinéma et de l’image animée est accusé par son filleul de 22 ans. Le suspect conteste les faits. Dominique Boutonnat, président du Centre national du cinéma (Proche d’Emmanuel Macron, donateur pour sa campagne présidentielle), a été placé en garde à vue mercredi matin pour soupçons d’agression sexuelle et tentative de viol.
Toutes les Sciences Po de France sont concernées par les viols et agressions sexuelles. Dans la foulée de révélations d’agressions sexuelles dans différents Instituts d’étude politique (IEP) en France (Bordeaux, Toulouse, Grenoble…), celui de Lille est confronté depuis le début de la semaine à une vague d’accusations à caractère sexuel sur les réseaux sociaux.